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Annotation :

Une rigueur mythologique bercée d'un regard moderne sur la condition du personnage de Circé. Le fond et la forme. Une lenteur s'installe dans le dernier tiers qui devient un peu trop mélodramatique jusqu'à une fin ouverte toutefois satisfaisante.

Annotation :

Ma première véritable lecture d'un roman Sherlock Holmes. J'ai aimé la mise en place du mystère, bien que sa résolution arrive très tôt. L'histoire m'a eu avec le récit de McMurdo à laquelle je ne m'attendais pas. Je ne savais pas que les romans de SH pouvaient avoir cette forme. Le retournement de situation était prévisible mais j'ai vraiment été prit par la tension et la peur qu'inspire cette vallée.

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Le Joueur d'Echec me faisait un peu peur. Peur de l'ennui que j'ai pu connaître avec ces livres qu'on m'a obligé à lire . J'avoue avoir changé d'avis quand j'ai su qu'il ne faisait que 94 pages...

J'ai été surpris de l'accessibilité du livre. Il vous plante un décor plutôt original, un portrait, puis un deuxième. Pas de chapitre, pas de lourdeur. Pour l'instant, j'avoue ne pas vraiment comprendre où l'auteur veut en venir (mais le Dr B. vient tout juste d'arriver...). Je découvre une écriture simple, sans fioriture.

La fin est un peu abrupte, mais j'ai aimé le rythme. Globalement, j'ai vraiment apprécié le style de Zwieg, j'ai d'ailleurs envie de me diriger vers l'une de ses biographies par la suite. Pour l'instant, j'ai envie de creuser le livre pour mieux cerner ce que je n'aurais pas totalement cerné.

Annotation :

J'ai lu ce roman après la Vallée de la Peur et une Etude en Rouge. Ces deux opus ayant la même forme, j'ai trouvé le Signe des Quatre rafraichissant.
La partie flash back est courte mais intense et dépaysante. Surtout, la partie enquête est plutôt haletante, on suit vraiment Holmes & Watson ( et Toby ) sur la piste du tueur. J'ai aimé les personnages secondaires comme Athelny Jones, qui est tout ce que Holmes n'est pas.

Sans spoiler, la rencontre entre Watson et Mary est assez touchante et rajoute un petit quelque chose par rapport aux deux autres romans. A présent, je pense enchaîner directement avec le dernier des quatre romans de Sherlock Holmes qu'il me reste : Le Chien des Baskerville.

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Le dernier des 4 romans du canon Holmesien qu'il me restait et celui que j'ai mis le plus de temps à lire (pour des raisons persos). J'ai tout de même bien suivi le fil, j'ai apprécié que la forme soit différente des trois autres. Watson est moteur de l'histoire et sa sincérité ou son envie de bien faire le rend très attachant. Pour ce qui est du mystère du chien en lui-même, sans spoiler, on sait assez vite qui en est la cause et c'est un peu dommage. Je précise, ce n'est pas moi qui ai deviné tôt, c'est que le roman pointe très vite du doigt un personnage en particulier et on ne le lâche plus jusqu'au bout. Il y a plusieurs retournements de situation sympathiques tout au long du récit.

Ce qui place le Chien des Baskerville au-dessus des trois autres romans, selon moi, c'est bel et bien son décor. Cette lande est un personnage à part entière et Conan Doyle sait nous la rendre suffisamment effrayante, imprévisible. Quand il décrit le vent et la nuit qui tombent sur la lande, on y est. Le chien fini par être assez secondaire au final.

J'ai enchaîné les 4 romans SH, je passerais plus tard aux nouvelles. Pour l'instant j'ai envie d'essayer de nouvelles formes d'ouvrages.

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J'ai directement enchaîné la Vallée de la Peur par ce premier roman. Pour info, j'avais lu Le Monde Perdu pendant le confinement et ce fut une lecture très douloureuse car je n'ai pas été prit par l'histoire. Là, j'avais vu l'épisode de la série Sherlock et j'ai été surpris de voir les similitudes avec le roman de Conan Doyle. Bref, j'ai trouvé la mise en place très cool, l'amitié naissante entre Watson et son "compagnon" est touchante. Contrairement au Monde Perdu, ça démarre très vite, on ne s'ennuie pas du tout.
Petite déception quand j'ai compris que la forme allait être la même que la Vallée de la Peur. Je voulais lire une véritable enquête de Sherlock qui va peu à peu délier les fils du meurtre. D'autant que la forme de La Vallée de la Peur et d'une Etude en Rouge est sensiblement la même, une histoire de vengeance. Toutefois, c'est une lecture plaisante et assez poignante. Je pense me diriger vers les nouvelles de Sherlock Holmes avant de lire un autre des 5 romans.

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En cours : 6%

Écoutez c'est assez fou. Je pense ne jamais avoir accroché aussi vite à un roman. Il me regardait depuis un moment, le Harry Québert ! J'étais effrayé par la longueur, le nombre de pages, mais j'avais très envie d'un roman d'enquête, d'un thriller. Bref, la magie de la Kindle fait qu'au pire, j'arrête ma lecture. Je sortais de ma lecture du Chien des Baskerville et je suis parti sur Harry Québert.

J'ai accroché immédiatement, je me suis surpris à lire une heure d'une traite à ma première lecture. Ce qui est rare (je lis en moyenne 10 minutes à 40 mn maximum).
Le style est simple, Dicker ne cherche pas à faire des grandes phrases alambiquées. C'est également très moderne dans ce que ça raconte sur la célébrité. Là où j'en suis dans ma lecture, "l'affaire" vient tout juste d'éclater et je me surprends à avoir hâte de retrouver ma liseuse pour poursuivre l'enquête.

Annotation :

35%

Faute de trouver le Coran en eBook, je me suis dirigé vers cet ouvrage. Malek Chebel est également à l'origine de la version papier du Coran que j'ai entamé.
La lecture du Coran semble indissociable d'une étude de la vie du prophète Mohamed et ces Contes semblent en être le but.
Une lecture plus simple que le Coran mais qui développe d'autres aspects, j'aime bien. J'y reviens de temps en temps pour lire le conte suivants.

Annotation :

37%

Je fais partie des gens qui sont tombés en amour des deux films de Denis Villeneuve. Attendre plusieurs années sans savoir la suite de l'histoire de Paul Atréides m'est insupportable. Je pense que je n'étais pas prêt.
Il est de notoriété publique que Dune est une lecture difficile : principalement des dialogues et des descriptions, très peu d'action. En revanche, le livre et les films sont complémentaires. On comprends ce que Villeneuve a enlevé et c'est bien souvent des choix assez logiques. Petite déception pour le personnage de Leto Atréides qui n'est que secondaire dans le premier film. Là où j'en suis dans le bouquin (juste avant l'attaque des Harkonnen) on pourrait penser que Leto est le personnage principal de la saga.
Je continue petit à petit cette lecture mais, m'adressant à mon moi du futur, je doute fortement lire plus de deux bouquins de la saga.

Annotation :

4%

Je ne m'attendais pas à un livre drôle qui fait presque dans l'humour noir.

Annotation :

En cours

Très sympa ! Une écriture simple et de qualité.

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En cours

Je savais que je lirais ce livre sur la durée. Une lecture agréable qui aiguise le regard sur des sujets à la voix précis et macroscopique. Les couleurs sont partout et pourtant on ne les voit pas. Pastoureau est très agréable à lire, il n'en fait pas des caisses pour en mettre plein la vue.

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Arrêté

Le livre m'est un peu tombé des mains. Le problème c'est que la forme est toujours la même, les personnages sont tous stupides et se laissent enfermer dans le piège. C'est voulu, bien entendu ! Mais presque 100 ans plus tard, tout ça a tellement été reprit... Je n'ai fait que m'ennuyer.
Le pire étant que ... je connais déjà la fin. Je ne sais plus exactement ce qui se passe mais je sais... je sais ce qu'il y a à savoir sur le/la tueur.se (je spoil pas).
Ce livre m'a fait un peu le même effet qu'avec ABC contre Poirot, je ne pense pas retenter A. Christie tout de suite.

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Arrêté à 9%

L'un des premiers livres que j'ai commencé quand j'ai eu ma Kindle. N'étant pas un gros lecteur, je voulais commencer par quelque chose de simple et comme au même moment je regardais la série Percy Jackson sur Disney + je me suis dit let's go.

Pour faire simple, j'ai arrêté car je ne suis clairement pas la cible. Le côté enfant/ado se ressent énormément, je ne me suis pas senti concerné par les thèmes. J'aurais sûrement adoré il y a 15 ans. C'est justement en lisant Percy que je me suis mis à chercher un roman qui parle aussi de mythologie grecque et c'est là que j'ai trouvé Circé, que vous retrouverez assez haut dans ce classement !

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Arrêté à 6%

BOOOOORING
Quelle déception ! Le mélange de deux parcours très opposés, la cartographie du Chicago de l'époque, tout ça est très réussi ! Mais il n'y a aucun rythme, tout n'est que description.
Vous vous dites peut-être qu'on ne peut pas se faire un avis en n'ayant lu que 6% et vous avez sûrement raison. Je précise quand-même que c'est 6% de 640 pages... La forme tourne très vite en rond et je ne comprends finalement pas très bien où l'auteur veut en venir.
Je regrette un peu de ne pas avoir poussé jusqu'à la partie sur HH Holmes... j'y reviendrai peut-être un jour.