Un jour ... un album ...

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Je ne pouvais commencer que par cet album qui est sans doute le premier de ma vie que j'ai écouté en boucle, à l'époque sur K7, tout en imitant Michael JACKSON devant mon grand frère (souvenirs de vacances au ski 1983).
Cet album est bourré de tubes comme "Beat It", "Billie Jean", "The girl is mine" (en duo avec Paul McCartney) sans parlé de "Thriller" avec la participation de Vincent Price (bien connu des amateurs de films d'horreur des années 50) et dont la sortie du clip aura marqué à tout jamais toute une génération.
Il est également celui qui a réellement lancé la carrière solo de celui qui deviendra le King of Pop.
Pour résumer, ..., silence on écoute !

Restant à noter

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Voilà un album qu'écoutait souvent mon père alors que j'étais enfant. Sixième album studio de SUPERTRAMP, il représentait pour moi à l'époque (et pendant longtemps d'ailleurs) la seule et unique concentration des tubes de ce groupe, comme un "Best of". Quelle ne fut pas ma surprise, plusieurs années plus tard, lorsque j'ai appris réellement à découvrir l’ampleur de l’œuvre de ce groupe dont je suis devenu un véritable fan.
De "Gone Hollywood" à "Child of Vision" en passant par "Goodbye Stranger" ou "Breakfast in America" cet album n'a rien à jeter et reste encore aujourd'hui l'un de mes préférés de SUPERTRAMP et le plus grand succès commercial du groupe.
A consommer sans modération et pas qu'au petit déjeuner !

Restant à noter

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Il s'agit du septième (comme son nom l'indique) album studio du groupe et surtout du tout premier que j'ai personnellement écouté. A cette époque, TOTO était totalement inconnu pour moi mais pas pour mon frère. C'est lui qui m'a fait découvrir ce groupe et cet album dont le logo sur la pochette me fascinait complètement.
Depuis, j'ai besoin de ma dose de TOTO régulièrement et même s'il n'est pas mon album préféré du groupe il garde pour moi une place sentimentale à part par sa primeur et les souvenirs auxquels il est relié.
"Pamela", "Stop loving you" et "Mushanga" sont les titres phare de cet album mais pour ma part je suis très attaché à "Anna", "A thousand years" et "Home of the Brave".
Quoi qu'il en soit je l'écoute toujours avec autant de plaisir !

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C'est après avoir discuté de "Love is All" et de son clip (rappelez-vous de la grenouille qui entraine insectes et animaux dans une grande fête) qu'un collègue de bureau m'a prêté cet album de Roger GLOVER (bassiste de DEEP PURPLE).
Que dire de cette oeuvre ? Il s'agit là d'un Opéra Rock complètement atypique racontant l'histoire d'une journée au milieu des animaux et insectes organisant un bal et cela du levé du jour ("Dawn") à la fin du bal ("Homeward").
"Waiting" interprété par Jimmy Helms et les trois titres interprétés par Ronnie James Dio (Black Sabbath), "Sitting in a Dream", "Homeward" et surtout "Love is all" sont mes préférés.
Alors pour ceux qui auront le courage de découvrir cet album : Bonne écoute et bon bal !

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Bon je l'avoue, cet album devait normalement arriver bien plus tard mais voilà qu'il est le premier de la liste de ma filleule donc ...
A la base et avant que je ne connaisse réellement ses morceaux, Billie EILISH c'était pour moi une énergumène aux cheveux vert !
Voilà qu'un jour j'ai entendu une reprise de "idontwannabeyouanymore" dans un télé-crochet musical et je me suis dis "Quoi, ça c'est Billie Eilish ??!!".
Puis cette artiste, à peine agée de 18 ans, a été consacrée aux Grammy Awards (OK, c'est pas toujours une référence) et j'ai pris mon courage à deux mains.
Il s'agit de son premier album (EP pour être tout à fait précis) et franchement, j'ai ravalé mes préjugés pour découvrir une musicalité bien plus douce et agréable que ce à quoi je m'attendais.
Pleins de bons morceaux comme "party favor", "bellyache" ou "ocean eyes" mais surtout "idontwannabeyouanymore" que je trouve tout bonnement magnifique.
Grosse pensée et très gros bisous à ma filleule !

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Je n'en suis pas fière mais il a bien fallu que j'attende la quarantaine pour écouter mon premier album de PINK FLOYD.
C'est la lecture d'un roman de Stephan KING intitulé "Joyland" (que je conseil au passage) qui m'a poussé vers cet album. Dans ce livre, le personnage principal écoute en boucle DARK SIDE OF THE MOON dans son temps libre.
Et dès la première écoute, ..., le choc ! Je me souviens encore de ma première pensée : "Et j'ai failli passer à côté de ça !". Donc, merci M. KING.
Il s'agit du huitième album studio du groupe et parmi les meilleures ventes de tous les temps. Pour la petite histoire, l'ingénieur son lors de l'enregistrement de l'album était un certain Alan PARSON.
Même si j'ai une grande envie de vous citer quelques titres, pour une fois je m'abstiendrais tellement l'album doit s'écouter d'une traite, comme un morceau unique à part entière.
Attachez votre ceinture et bon voyage vers la lune !

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Voilà l'album qui a accompagné mes révisions du Bac. Lequel me diraient certains ? Et bien le deuxième. Bon ok, cette année là je l'ai raté (encore) mais c'est un détail et ça n'est surtout pas lié à ce très bel album.
Il s'agit du cinquième opus studio du groupe Californien qui est essentiellement connu pour son titre phare et éponyme "Hotel California" mais l'album ne tient pas qu'à cela puisqu'on y trouve les très bons "New Kid in Town", "Wasted Time" ou encore "The Last Resort".
Même s'il ne m'a pas aidé à avoir le mien, heureusement que cet album est sorti dans les bacs !

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"Soul" c'est avant tout un album qui me fait penser systématiquement à ma femme. Je l'ai découvert avec elle pendant les premières années de notre vie commune. Il occupe donc pour moi une place à part dans cette liste d'autant plus que certains morceaux peuvent parfaitement accompagner musicalement un repas aux chandelles en amoureux.
Il s'agit d'un album particulier dans la discographie de SEAL puisqu'il est uniquement constitué de reprises de grands standards de la musique soul noire américaine.
Porté par une voix solide, cet album permet de découvrir ou de redécouvrir des titres d'artiste tel que Sam Cooke, James Brown, Otis Redding ou Ben E. King pour ne citer qu'eux.
Seal, Soul & Swing !

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Changement d'ambiance et d'époque avec cet album qui me ramène tout droit à mon adolescence. Et bien comme il ne faut pas avoir honte du chemin emprunté, je l'avoue, j'adorais la voix de Rick ASTLEY. Me voilà donc, du haut de mes 13 ans, à acheter en K7 son tout premier album.
Avec des titres comme "Never Gonna Give You Up", "Whenever You Need Somebody" ou "Together Forever" cet album a été un très gros succès commercial. Même si je ne l'avais pas écouté depuis une bonne trentaine d'années (à oui quand même) et bien j'avoue avoir passé un bon moment.
Synthé à fond et ambiance sweat jaune et vert fluo pour un retour aux années 80 !

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J'avais décidé cet été de retravailler mon oreille à l'écoute du portugais. Je trainais donc régulièrement sur la chaîne RTP International et c'est à l'une de ces occasions que j'ai découvert ce groupe sur un morceaux en live : "O Tempo Vai Esperar" (https://www.linhadanoticia.pt/?p=8176).
Je me suis donc mis à la recherche d'autres morceaux ce qui m'a amené à écouter ce premier opus du sextuor portugais. Entre guitares acoustiques, violons, contrebasse, accordéon et percussions leur style change un peu des codes de la musique moderne.
Même si j'ai une préférence pour les arrangements de leurs morceaux en live (Ao vivo), cet album reste très agréable à écouter avec des titres comme "P'ra Frente É Que É Lisboa" ou "Minha Mãe Está Sempre Certa".
Bonus suprême, il agit sur moi comme une madeleine de Proust auditive et me renvoie tout droit en vacances chez mes grand-parents.
En prime je suis le premier à noter cet album sur le site.
Voyage au pays du Fado et des Pasteis de Nata : "Olá gelados, batatinhas fritas" !

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Première BO de ma liste. Le film est sympa et en grande partie grace à sa BO selon moi.
Porté par les titres phares "Footloose" de Kenny Loggins et "Holding out for a hero" de Bonnie Tyler cet album transpire les années 80.
Pour ma part j'ai une préférence et de loin pour "I'm Free" toujours de Kenny Loggins qu'on retrouvera d'ailleurs, à cette époque, dans bien d'autres BO (Top Gun, Rocky IV, Over the top, ...).
"Lose your blues, everybody cut footloose" !

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Quatrième album studio de ce groupe Ecossais dont le nom vient du film de Wim Wenders "Paris, Texas", "White on Blonde" représente ma période faculté à Marseille.
Outre la voix de Sharleen Spiteri je retiens personnellement de cet album les morceaux "Say What you Want", "Halo", "Black Eyed Boy" et "Breathless".
Tout comme le nom du groupe est en décalage avec son origine géographique, le visuel de la pochette est en total opposition avec le nom de l'album.
Et oui, l'habit ne fait pas le moine !

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Bon je le reconnais bien volontiers, je ne serais jamais tombé sur cet album si je ne l'avais pas entendu lors d'une soirée chez des amis.
Et pourtant ce quatrième opus de Neil YOUNG fait parti de la liste très prisée des meilleurs albums de tous les temps du magazine "Rolling Stone" (https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_500_plus_grands_albums_de_tous_les_temps_selon_Rolling_Stone).
Ambiance douce et country-folk dans cet album qui contient beaucoup de bons morceaux. Pour ma part je mets au dessus le fameux "Heart of Gold", "A Man Needs a Maid", "Alabama" et surtout ce qui est pour moi le titre star de cet album "Words", celui qui met le plus en avant les qualités de guitariste de Neil YOUNG.
En plein voyage sur la route 66 !

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Album "réécoute"
C'est son single "Read All About It, Pt. III" tiré de son premier album qui m'a amené à découvrir cette artiste bien plus connue à ce jour outre Manche qu'ici.
Sorti en 2019, "REAL LIFE" est son troisième album studio et même s'il n'a pas eu le même succès commercial que le premier, je trouve cet album très bien réussi.
Avec des morceaux comme "Human", "You are not Alone", "Honest", "Same Old Feeling", "Free as a Bird" mais surtout "Real life" cet album est une nouvelle belle fournée pour ma Playlist.

En ces temps de pandémie et de confinement, "And what about real life ?" !

Note Perso : 7,5

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Jacob BANKS c'est, à ce jour, trois EP et un album studio pour une durée totale de 2h12 uniquement. Malgré ça, ma Playlist du chanteur dépasse l'heure d'écoute.
Pour un artiste qui est peu connu en France, ça pose clairement les bases de la manière dont j'apprécie son œuvre.
Un timbre de voix à part reconnaissable entre mille et une faculté à mélanger les styles, voilà ce qui est la patte de cet auteur/compositeur britannique d'origine Nigériane.
"THE BOY WHO CRIED FREEDOM" est son troisième EP et pour moi il frôle la perfection. Les seules choses que je peux lui repprocher sont sa durée (uniquement 22 minutes) et le remix version Timbaland, pour moi totalement inutile, du titre Unknown (To You).
Mis à part ce dernier morceaux, j'aime vraiment tout mais mention spéciale pour "Unknown (To You)", "Mercy" et "Photograph".
Finalement, pas besoin que ce soit long pour que ce soit bon !

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Je suis tombé sur cet album complètement par hasard et quelque fois le hasard fait vraiment bien les choses.
"CONTINUUM", le troisième album studio de John MAYER (qui lui vaudra d'ailleurs deux Grammy Awards) nous balade subtilement entre rock, blues et folk. Peu connu malheureusement en France, je vous le conseil grandement.
Je ne vais pas citer tous les titres qui ont pris demeure dans ma playlist car cela serait trop long mais je vais quand même me mouiller un peu et mettre en avant "Belief", "Slow Dancing in a Burning Room" mais surtout "Gravity".
Album conseillé aux amateurs de très bons guitaristes mais pas que !

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J'ai acheté ce CD dans ma période achat "découverte" ou Internet n'était pas encore une source intarissable.
Il s'agit du sixième album du groupe de punk rock Californien.
Que dire, ... ? Ambiance clairement Pogo et ça n'est pas ma came. Même si l'écoute de cet album ne m'est pas foncièrement désagréable je n'y revient pas non plus avec plaisir.
Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas !

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J'ai découvert cet album quelques années après sa sortie dans les bacs, début des années 90, chez des amis lors de mon adolescence. Il s'agit du sixième opus studio du groupe mené par le duo Parsons, Woolfson qui sera d'ailleurs leur plus gros succès commercial.
Même si tout n'est pas du même niveau cet album a le mérite de nous proposer de très bons morceaux. Il démarre très fort avec "Sirius" (pour la petite histoire il s'agissait d'ailleurs du morceaux d'entrée des Chicago Bulls des années Michael Jordan) qui est conçu comme une rampe de lancement pour "Eye in the Sky".
Mais cet album ne se limite pas qu'à son titre éponyme, on y trouve aussi "Mammagamma" (un bel instrumental), "Old and Wise" (aves son Saxo) mais surtout plus de 7 minutes de bonheur avec "Silence and I" qui mèle à merveille musique moderne, guitare électrique et orchestre philharmonique.
Allez, pour le plaisir, voici l'introduction des joueurs lors du match 6 de la finale NBA entre entre les Seattle Supersonics et les Chicago Bulls. Si j'ai déjà parlé de "Sirus", les joueurs adverses étaient annoncés sur le titre de PINK FLOYD "On the Run", tiré de "DARK SIDE OF THE MOON" (https://www.youtube.com/watch?v=aKsG-4hg8d0).
"Aaaaand now...the starting lineup...for your...Chicago Bulls" !

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C'est l'écoute de l'album précédent qui m'a poussé naturellement vers ce premier opus de John MILES. Pourquoi me direz-vous et bien d'abord parce que cet album fut produit par un certain Alan PARSONS (et oui, encore lui) et surtout parce que mon commentaire sur "Silence and I" m'a clairement fait penser à "Music".
Il s'agit d'ailleurs du premier titre de l'album et c'est, encore à ce jour, l'un de mes morceaux préférés. Mais il serait indécent de limiter l'album à ce seul titre tant le reste est de bonne facture et met en avant les qualités indéniables de compositeur et de musicien de John MILES comme par exemple avec "Highfly", "Rebel" mais surtout le très bon et très méconnu "You Have it All".
"To live without my music would be impossible to do" !

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Voilà un artiste découvert totalement par hasard. Ce chanteur, également compositeur, aux sonorités soul, folk et un brin jazzy parfois, à un style qui ne me laisse pas indifférent.
Il s'agit du premier album studio de cet artiste britannique (encore) et c'est une belle première, l'ensemble étant bien agréable et reposant.
Un seul morceaux est connu en France, il s'agit du titre éponyme "Home Again". Pour ma part je vous conseil également "Rest", "Always Waiting" et "I won't Lie".
Entre 7 et 8 mon cœur a longtemps balancé, un 7,5 aurait même été plus juste.
Une nouvelle belle voix soul provenant d'outre-manche !

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Voilà un album qui fait parti des classiques de ma période Lycéen et il revenait souvent parmi ceux écoutés dans mes soirées jeux vidéo devant mon Amiga 500 (et oui la Playstation n'était pas encore sortie).
Il s'agit du quatorzième opus studio du groupe mais surtout du tout dernier avec Phil COLLINS. Alors oui, je sais, les puristes me diront que GENESIS c'est Peter GABRIEL mais n'en déplaise à certains, en tant que fan de Phil COLLINS j'aime cette période du groupe et cet album avec des titres comme "No Son of Mine", "Jesus He Knows Me" ou "Hold On My Heart".
The last but not the least !

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Groupe phare des années 80/90, A-HA est apparu avant tout avec un clip, celui de "Take on Me". Et c'est bien ce clip, qui mêle univers réel et univers de BD, qui m'a fasciné en premier.
A cette époque je n'avais qu'un Best-Of de ce groupe et pas d'album studio. Ce n'est que bien plus tard que j'ai découvert ce premier opus du trio Norvégien.
Il contient le fameux "Take on Me" mais également les titres "Hunting High and Low" et "The Sun Always Shines on T.V.".
Bienvenus dans l'univers de la pop 80's !

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Il s'agit du deuxième opus studio de celui qui multiplie les hits depuis un peu plus de 10 ans en changeant continuellement de style. Cet album ne déroge pas à la règle puisque, comme Bruno Mars l'explique : "Je suis juste rentré en studio et j’ai enregistré et écrit ce que je voulais. Cet album représente ma liberté".
Cela donne un mélange des genres avec beaucoup de bons morceaux comme "Gorilla", "Treasure", "Moonshine", "When I Was Your Man", "Natalie", "If I Knew" mais surtout "Locked out of Heaven".
Peut-être pas très orthodoxe mais un Jukebox qui me convient parfaitement !

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Il s'agit de l'album éponyme de Corinne Bailey Rae que j'avais découvert en 2006 grâce au titre "Put Your Records On". Une très belle réussite pour ce qui est d'ailleurs le premier opus de cette artiste anglaise (encore) avec des influences soul, jazz et blues.
Cet album a d'ailleurs cartonné outre manche mais également outre atlantique. Il n'a malheureusement pas connu le même succès chez nous. Cela n'empêche qu'il m'accompagne maintenant régulièrement depuis prêt de 15 ans dès que je recherche un moment musical tout en douceur.
En plus du titre qui m'a fait découvrir l'album, j'aime beaucoup de morceaux mais surtout et avant tout "Butterfly" et "Like a Star".
Non ça n'est pas un album pour dépressif ou pour amoureux transi mais juste un moment de douceur dans ce monde de brutes !

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En m'attaquant à DAFT PUNK j'ai longuement hésité à présenter d'abord "DISCOVERY" ou "RANDOM ACCESS MEMORIES". C'est ce quatrième album du groupe qui aura pris le dessus sans doute car c'est celui que j'ai le plus écouté. Le groupe n'est plus à présenter mais que dire de cet album ...
Le groupe a décidé de collaborer avec une multitude d'artistes reconnus comme, pour ne citer qu'eux, Nile Rodgers, Pharrell Williams ou Paul Williams (Monsieur "Phantom of the Paradise" de Brian De Palma). Ils ont également pris le paris d'utiliser beaucoup plus d'instruments acoustiques ou électriques qu'habituellement.
Pour la petite histoire les frenchy récolteront 5 Grammy awards en 2014 pour cet opus dont celui de meilleur album de l'année.
Même s'il est surtout connu pour "Get Lucky", il est difficile pour moi de mettre en avant un titre tant je trouve que cet album est vraiment à part et un extra-terrestre musical. Je vais quand même me mouiller et vous parler de "Touch", un morceau qui change de rythme et de style en permanence et qui résume bien cet album.
A l'image de la pochette, ambiance casque futuriste et voyage musical dans un autre monde !

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Cet album est arrivé à mes oreilles l'été 90 (si je ne dis pas de bêtises) par l'intermédiaire de mon voisin (Lio Yo) d'origine italienne. Il s'agit du cinquième album studio d'Eros Ramazotti qui est sans doute l'un des artiste pop italien le plus connu au monde.
Il s'agit du premier album en italien que j'ai écouté et il a la faculté de me renvoyer directement dans ma chambre d'ado entouré de mon grand frère et de nos deux compères Lionel et Guillaume.
Comme d'autres album écoutés à l'époque, il a une saveur particulière. Outre le titre phare "Se bastasse una canzone", j'ai un faible pour "Amarti è l'immenso per me", "Cara Prof", "Cantico" et "Andare...In Ogni Senso".
Éveille des souvenirs en mode "morning star" et tournoi de football américain sur jeux vidéo !

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J'ai découvert ce groupe américain en 2007 à l'époque de la sortie dans les bacs de cet album et du titre "This Ain't A Scene, It's An Arms Race" sur les ondes.
Groupe de punk à la base, ils ont pris une orientation beaucoup plus pop (pop punk) pour cet album qui est leur troisième studio en laissant quand même la place belle à la guitare électrique et à la batterie.
Du coup cet opus, entièrement composé par le duo Stump (compositeur, chanteur et guitariste) et Wentz (parolier et bassiste) est dénigré par les puristes du punk qui appellent ça de la soupe commerciale. Pour ma part, étant tout sauf un puriste du genre, je trouve l'album très sympa dans son ensemble.
Mention spéciale à "The Take Over, The Breaks Over", "This Ain't A Scene, It's An Arms Race", "Thnks fr th Mmrs" et "I've Got All This Ringing In My Ears And None On My Fingers".
Bien loin du punk hardcore peut-être mais beaucoup plus abordable pour mes oreilles du coup !

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Tubular Bells est le premier album en solo du compositeur britannique, il n'était alors âgé que de 20 ans et y a joué pas moins de 15 instruments différents.
Gros succès commercial, cet album fait parti des plus grosses ventes des années 70 au Royaume-Uni.
Perso je n'ai jamais réussi à rentrer pleinement dans cette symphonie rock trouvant les 2 morceaux trop longs et disparates.
Pour moi, Tubular Bells reste et restera toujours le thème mythique du film l'Exorciste !

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DIRE STRAITS c'est, à la base, un groupe qu'écoutait mon grand frère. Son tout premier CD c'est d'ailleurs du DIRE STRAITS.
Il s'agit ici du 4ème album studio du groupe britannique et c'est un concentré de tout ce que j'aime chez eux à savoir des mélodies incroyables et une grosse part laissé à l'instrumental.
Avec des morceaux comme "Telegraph Road", "Private Investigations" et "Love Over Gold" cet album est un vrai régal et à ce jour (même si je n'ai pas encore tout écouté) mon préféré de DIRE STRAITS.
L'écoute de cet album me met dans un état qui est l'antithèse de "to be in dire straits" !

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Il s'agit de la BO du film "Jonathan Livingston le Goéland" sorti en 1973, lui même tiré du livre de l'écrivain américain Richard Bach. Neil Diamond va écrire et composer l'intégralité de cette BO qui lui permettra de remporter le Golden globe de la meilleure musique de film ainsi que le Grammy Award du meilleur album écrit pour une bande originale de film.
Voilà un album que possédait mon père en 33 tours lorsque nous étions enfants (je crois bien que mes parents avaient le livre également) et il représente à mes yeux, bien plus que les autres album de mon père, son héritage musical. D'abord parce que c'était clairement son album, ensuite parce que Neil Diamond était l'une de ses voix préférées et enfin peut-être aussi pour le titre "Dear father".
Un album qui est un hymne à la recherche de la liberté !