Une année, 52 jeux, version 2024

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Je n'étais pas spécialement intéressé par "l'expérience Classic" de WoW, en partie parce que j'ai connu WoW Vanilla, mais le concept de Season of Discovery semblait intéressant sur papier.

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J'avais déjà eu l'occasion d'y jouer à la sortie PC, mais je m'étais arrêté au début de l'acte 3 qui transformait New York en Gotham City. Du coup, refait au complet, avec les DLC. Histoire que j'ai trouvée sympa, mais le jeu a les défauts des open-worlds modernes qui misent sur la quantité des activités plutôt que sur la qualité de celles-ci. D'où une note qui a oscillé entre 7 et 8.

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Un autre de ces nombreux puzzle-plateformer qui oublient que dans "narration environnementale", il y a "narration". En découle une histoire dont on se fout totalement et des personnages auxquels on ne s'attache pas. Et comme le gameplay se révèle bien trop basique, ça donne un jeu aussi vite oublié que fini.

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Boxes se contente de remplir le cahier des charges du genre des The Room-like sans y mettre ni panache ni difficulté. Du coup, c'est assez fade. Pour le même prix, vous pouvez choper les 3 The Room originaux qui n'ont pas pris une ride.

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Bien aimé. Le fait que rien ne soit jamais blanc ou noir dans le jeu rend les choix à faire pour sauver (ou non) Antea plus compliqué que prévu. Peut-être un poil trop long.

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L'histoire d'un malentendu puisque j'attendais un point'n'click et que je me retrouve avec un jeu qui a encore moins de gameplay qu'un jeu Telltale. Ceci dit, si j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans les deux premières histoires, les deux suivantes se sont montrées plus réussies, ce qui permet au jeu d'atteindre le 6. Mais tout juste.

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Rien à faire, j'ai beau essayé, j'y arrive pas. Grim Dawn est mécaniquement un bon hack'n'slash, mais c'est un hack'n'slash qui ne me donne pas les sensations que je recherche.

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Refait en prologue de son remake.

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Un Remake banal. Banal, parce qu'il se contente d'améliorer les graphismes mais ne cherche pas à améliorer les défauts de l'original. Or ce que je pardonnais en 2013 (c'est un de mes rares 10/10 sur S.C.), j'ai plus de mal l'excuser en 2023.

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Un puzzle-game philosophique tout mignon, assez facile dans son genre.

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L'idée est sympa : un roguelite-deckbuilder où les cartes sont remplacées par des dés dont on customise les faces. Mais le contenu ne suit pas : les runs sont bien trop long et ne récompensent pas assez le joueur. J'ai buté le boss de fin avec un build archi-fumé, j'ai aucune envie de recommencer.

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Ou "apprendre l'Assembleur en s'amusant". Un jeu de programmation ludique et logique où le joueur devra résoudre une 40aine de puzzles en utilisant des commandes simples comme lire, écrire, additionne, soustrait, etc. Mon seul petit regret : les conditions proposées étant limitées ("si =0" et "si négatif"), le code peut vite devenir imbuvable quand vous voulez en fait "si et seulement si positif".

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Grim Fandango est un bel exemple d'un de ces jeux meilleurs dans mes souvenirs que dans la réalité d'aujourd'hui. Car il faut avouer que le jeu, en bon représentant de son époque, cumule des défauts qui m'exaspèrent. Un jeu qui n'est aussi pas aidé par un Remaster paresseux qui fait le minimum, pas plus.

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Un H&S prometteur avec de grosses qualités mais aussi de gros défauts. Faut par exemple d'urgence un autre moyen d'atteindre le end-game que de se farcir la campagne avec un nouveau perso.

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C'est un jeu Annapurna, donc il a des qualités artistiques. Par contre, le jeu s'arrête au moment où l'histoire devenait intéressante. C'est con.

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Coup de coeur perso, mais pas pour tout le monde. J'ai connu deux phases avec ce jeu : les débuts délicats puis le moment où tu commences à maîtriser le perso et ses déplacements et où ça devient vraiment fun.

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Du post-apo mais en Australie, mais avec un accent mis sur la narration pour un jeu qui se voulait plus Disco Elysium que Wasteland. Hélas, le jeu aurait probablement du sortir en accès anticipé pour obtenir des retours des joueurs sur les nombreux systèmes cassés du jeu.

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Un jeu qui se veut casual mais qui risque surtout de donner envie à ses joueurs de faire autre chose de plus intéressant tant le jeu réussit à être à la fois trop simple et régulièrement trop difficile à comprendre.

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Moins dépassé visuellement que je l'aurais pensé, mais il reste quand même assez moyen par rapport à ses extensions.

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J'aurais adoré aimé ce jeu, mais j'ai eu en y jouant le même ressenti que devant The Witness : c'est un jeu qu'une minorité de joueurs vont finir sans aide. Alors oui, on sent intelligent quand on décode une énigme. Mais aussi profondément stupide quand on tourne en rond plusieurs heures parce l'illumination ne vient pas.

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Pauvre en terme de circuits, une orientation arcade grand spectacle que j'ai trouvée sans fun et un habillage dont on a vite rien à foutre. Dirt 4 est meilleur.

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Agréable surprise, et pourtant ça partait mal. La faute à un détail de gameplay énervant : il n'y pas d'attaques directionnelles. Dans un jeu dont une bonne part des ennemis volent. Mais ce point mis à part, j'ai quand même été pris par le jeu qui ne révolutionne rien mais reste abordable pour mon modeste niveau dans les metroidvania.

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J'aimerais un remake de ce jeu. C'est un des jeux les plus sous-estimé de Bioware, dont la version PC n'est qu'à moitié compatible avec les pads, même aujourd'hui.

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Le jeu a abandonné le côté fun et outrancier des précédents pour une sorte de pastiche des films d'action, mais la sauce ne prend pas.

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Un classique, refait avec un nouveau moteur et un mode de déplacement plus moderne qu'à l'époque. Après, ça reste un genre de jeu dont je ne suis pas convaincu qu'il rencontrerait encore le même succès aujourd'hui, avec son approche lente et contemplative qui dénote des Myst-like modernes.

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Challenge "j'ai joué à tous les jeux Spiders" de nouveau à jour avant la sortie de Greedfall 2. et... ben c'est un peu comme pour tous les jeux Spiders : y a toujours un "mais" derrière le "c'est pas si mal".

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Sympathique petit jeu d'enquête où l'on incarne l'homme de l'ombre, l'agent derrière son bureau qui apporte un soutien technique aux agents de terrain.

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Ca partait comme un walking-sim en tenue de Big Daddy, mais y a eu un twist : le côté narratif est aussi un jeu d'enquête où l'on doit essayer de comprendre comment notre ancien navire a coulé. Y a des défauts, surtout sur la manière dont le jeu rend accessible certaines objets, mais dans l'ensemble, c'est plutôt sympa.

Annotation :

Une de mes déceptions de l'année. SCHiM, c'est un peu l'exemple du jeu qui marche au stade du concept, moins une fois transformé en jeu. Le jeu peine beaucoup à se renouveler une fois passée la découverte.