Une année ; un film

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Je mets en lumière celui-ci car l'écriture de Noah Baumbach est époustouflante dans ce film, de même que la performance de ses acteurs.
Il me manque beaucoup de films de 2019 que je compte rattraper (notamment Midsommar).
Pour les mentions il y a évidemment Mid 90's qui est mon film préféré de l'année, The Forest of Love de Sion Sono, Parasite.

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Oui, je fais partie des personnes qui ont adoré ce film et qui pensent sincèrement que Kechiche a créé ici une expérience de cinéma inoubliable.
Trois autres excellents films le talonnent : Climax, How to talk to girls at parties, et High Life. On peut citer également le court-métrage "Les Îles" de Yann Gonzalez présent dans le film Ultra Rêve.

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Ainsi que le retour de grands réals avec de grands films, tels que Song to Song (Terrence Malick), Thelma (Joachim Trier), Mother! (Darren Aronofsky, après le nullissime Noé)... et de sublimes découvertes : Carré 35, The Square, Dunkerque.

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J'ai rarement été frappée par la beauté de manière si viscérale.
En 2016 il y a pour ma part beaucoup de très très bons films : Personal Shopper, Elle (l'un des meilleurs rôles d'Isabelle Huppert), The neon demon, Tête de chien, Comet, Belgica, Spring, Paterson, Toni Erdmann, le traumatisant The Strangers, Évolution, Mademoiselle, ou même encore Divines.

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Love est le film le plus mature de Noé, également son plus beau, avec une utilisation du sexe explicite au paroxysme de son sens.
En 2015 il y a deux documentaires que j'adore : Montage of Heck, et The Wolfpack. Dans les films on trouve entre autres Youth, Asphalte, Mustang, ou encore l'expérimental Le Dos Rouge...

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L'expérience qu'a fait Linklater de tourner un film sur 12 ans est d'une beauté et d'une pertinence incroyables.
Il y a encore beaucoup de films que j'adore de 2014 (Mommy, le retour de Larry Clark avec The Smell of us, de même pour Godard avec Adieu au langage, White Bird d'Araki, Nightcrawler, Goodnight Mommy, Xenia, Siti que j'ai découvert il y a quelques mois sur Outbuster, Maps to the stars, L'étrange couleur des larmes de ton corps...).

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Ainsi que Spring Breakers, Le Congrès (que je préfère même à Valse avec Bachir), La vie d'Adèle, Le conte de la princesse Kaguya, The Fake, The place beyond the pines, Nymphomaniac, Her, Charlie Countryman... Je n'ai même pas les mots, donc désolée de faire simplement du "name dropping".

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J'ai un véritable amour pour le cinéma de Léos Carax. Holy Motors est dans une veine très différente de ses précédents films. C'est probablement l'une des oeuvres cinématographiques les plus belles, mélancoliques, contemplatives, voire hypnotisantes, qui existe.
2012 c'est aussi : Ginger & Rosa, Alabama Monroe, Dans la maison, Laurence Anyways, Kotoko (que j'ai découvert très récemment), Cosmopolis, et le sublime court-métrage de Yann Gonzalez "Nous ne serons plus jamais seuls".

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Je ne vais pas m'étaler, mais simplement citer d'autres monuments de l'année : Melancholia, The ballad of Genesis and Lady Jaye, Martha Marcy May Marlene, La piel que habito, Super 8, The tree of life, Guilty of romance...

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J'ai choisi celui-ci car c'est un véritable doigt d'honneur à toute l'industrie cinématographique. Joaquin Phoenix y a créé une expérience sociale folle et complètement unique.
Je dis ci-dessous que 2009 est une année riche ; mais alors là 2010 c'est encore plus fou. Il y a tellement de films que j'adore que ça en devient incompréhensible : Black Swan, Beyond the black rainbow (qui est 10ème dans mes films favoris), Notre jour viendra, Tournée, Somewhere, Kill me please, et bien évidemment l'un des films les plus magistraux du point de vue de la mise en scène : Enter The Void.

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La question ne se pose même pas.
2009 était une année extrêmement forte de mon point de vue ; Mr Nobody, 500 jours ensemble, J'ai tué ma mère, Coraline, Le bal des actrices, et même le très glauque Metropia de Tarik Saleh qui mérite clairement, malgré ses nombreuses imperfections, d'être plus visionné.

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De la même année j'ai adoré "The Wrestler" ainsi que "Les noces rebelles", deux films qui m'ont profondément marquée.

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"Control" est un film beaucoup trop important pour ne pas le sélectionner. C'est lui qui m'a fait découvrir et aimer les Joy Division. Ian Curtis a clairement marqué mon adolescence et ce grâce à ce film.
Du côté des documentaires il me semble hyper important de mentionner "Jesus Camp".
C'est aussi l'année de "Into the wild" que j'adore, ou encore de "Paranoid Park".

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Dans la même veine que "9 songs" (Michael Winterbottom, 2004), on a ici une utilisation du sexe explicite plus que justifiée ; à fortiori John Cameron Mitchell créé ici l'un des plus beaux films sur le sexe tout court.
2006 est aussi l'année de "Pardonnez-moi" de Maïwenn que j'aime beaucoup, ainsi que de l'immense "Les fils de l'homme".

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Ce n'est pas mon film préféré de l'année, mais en regardant les films de 2005, je me suis rendue compte que je vouais un amour particulier à Last Days. Sans vraiment de raison, j'ai donc décidé de le mettre en lumière ici.
À ses côtés se trouvent "Les seigneurs de Dogtown" (le plus grand film jamais réalisé sur le skate, dans l'époque où la réalisation de Catherine Hardwicke était encore furieuse, spontanée, intuitive, pure et sincère), Les poupées russes (je suis fan de la trilogie), l'exceptionnel "Match Point" (probablement l'un des seuls Woody Allen que j'apprécie), ou encore "Strange Circus" de Sion Sono.

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Aucun suspens là-dessus ; si vous êtes rendus à ce stade-là de ma liste, ou si vous avez vu mon "top 100 films", vous savez pertinemment que je suis une grande admiratrice des films d'Araki. Celui-ci est son chef d’œuvre, son coup de maître.
2004 est également l'année de "9 songs" de Winterbottom que j'ai évoqué au-dessus, l'un des meilleurs films mettant en scène du sexe explicite, de par le fait qu'il en fait une utilisation d'une liberté presque affolante.

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J'ai à la base voulu choisir "Thirteen" de Catherine Hardwicke, car c'est un cinéma que je trouve vivant et par conséquent puissant. Mais il était impossible de ne pas mettre en lumière le Lars Von Trier de cette année-là, tant "Dogville" est un monstre.
Mention spéciale aux incroyables "Elephant" (Gus Van Sant) et "Ken Park"(Larry Clark), qui sont tous deux des films d'une importance capitale.

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Ce n'est pas mon film préféré de l'année, mais il me semblait hyper important de le mettre dans ce top, tant Gaspar Noé a renversé le cinéma avec celui-ci. En termes d'appréciation subjective pure, 2002 était l'année de L'auberge espagnole (mais je citerai un Klapisch pour une autre année), 28 jours plus tard, ou encore La Cité de Dieu.

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2001 fut une année extrêmement riche. J'ai choisi ici l'incroyable film de Richard Kelly, car il est indétrônable, mais on peut noter également les suivants : Waking Life, Le voyage de Chihiro, La pianiste, Millenium Mambo, Downtown 81, Visitor Q...

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L'entrée dans un nouveau millénaire marque la sortie de mon film favori

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Aux côtés de "American Beauty", "Fight Club", "Virgin suicides"...

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C'est également l'année de "Festen".

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Il me semble aussi important de mentionner le "Kids" de Clark, immense film.

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Mon 2ème Araki préféré, mais pour cette année on avait aussi "L'eau froide" d'Assayas qui est sublime...

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Car ce film est gravé en moi, mais il y avait aussi "The Living end" d'Araki (encore lui), et "C'est arrivé près de chez vous".