Une année : un jeu

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- 1992
L'un de mes premiers fps, et le jeu qui m'a fait découvrir le nazisme et les croix gammés ! Quel angoisse ce jeu, il me faisait très peur, mais tout de même beaucoup de plaisir à y jouer.

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- 1993

Un de mes premiers jeux sur Master System, je n'en ai que de vagues souvenir, sinon de gros fous rire sur la vie en plus quand on va sur les oreilles de Mickey, et les toilettes dans les tentes en fond du décor.

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- 1994

Aussi une de mes premières expériences vidéoludiques sur Master System, je me souviens surtout de la difficulté incroyable que j'ai eu à progresser, je crois que je n'ai pas dépassé le niveau où les buffles chargent dans le canyon.

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- 1995

Un jeu auquel j'ai joué durant des heures, et pourtant, à l'époque j'étais à mille lieues de me douter qui étaient Jacques Chirac ou encore Edouard Balladur. J'en ai encore des souvenirs incroyablement précis, de missions que je connais encore par coeur, où de répliques qui font mouche comme le "A que coucou" de Johnny !

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- 1996

Mon premier fps sur pc, je trouvais ça très drôle à l'époque, bien que je ne comprennais vraiment pas tout, je prenais un plaisir fou à jouer au RPG ou avec l'arme qui rétrécit !

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- 1997

J'ai eu deux périodes avec ce jeu, l'époque où je n'entravais encore rien au rpg, et où je croyais que les types dans la rue allaient me faire des duels de pokémons. Et la seconde, où je me suis pris à rêver de sortir des taudis de Midgar, pour vaincre la Shinra, où je me suis attachés aux personnages si profonds, et où j'ai dégusté un scénario profond et si riche en rebondissements.

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- 1998

Là aussi, une énorme claque, on touche là à la quintescence de tout ce qui me plaît dans un fps, un gameplay riche et très facile à prendre en main, de beaux graphismes,e t l'univers incroyablement réussi de Black Mesa, on songera aussi que ce petit trésor à donner vie à Counter-Strike, Day of Defeat, Team Fortress Classic...

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- 1999

J'ai toujours pris un grand plaisir à traîner dans les différents mondes d'Avalar avec SDpark, ma fidèle luciole, pour occir quelques ennemis aussi drôle que coriaces, afin de récolter ces fameuses gemmes qui me permettront de me faire repartir chez moi. A noter que c'est aussi le premier jeu que j'ai fini à 100%.

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- 2000

Mon premier jeu de stratégie, et quel jeu ! Des centaines d'heures à finir les différentes campagnes (avec ou sans cheat codes, selon mon âge au moment d'y jouer) ou à jouer inlassablement contre des bots ou bien à faire ma propre campagne truffée de mes pires ennemis (à savoir mon grand frère, le judo ou l'école...). Je prends encore beaucoup de plaisir à y jouer en local avec des amis, et j'attends de pied ferme la réedition en HD ! Même si je n'ai jamais apprécié jouer les mayas ou les aztèques.

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- 2001

Je ne vous présente plus le jeu qui a bercé l'enfance de tout ceux qui sont nés dans les années 90, à savoir les Pokémons, qui arrivent encore en 2013 à rester indémodable ! Bien entendu, chacun sait qu'Héricendre est le meilleur pick pour commencer une partie dans la joie et l'alégresse !

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- 2002

Parcourir la ville en voiture, en hélico, à moto, à bord d'un bateau ou d'un scooter sera toujours un réel plaisir plus de 10 ans après, en écoutant de la musique de qualités et une ambiance 80's que l'on peut ressentir dès le lancement du jeu. N'oubliez pas d'écouter V-Rock !

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- 2003

Mes premiers pas dans les RPG tactics, et quel souvenir ! Le monde d'Ivalice est vraiment incroyable, et peuplé de créatures fantastiques et d'ennemis en tout genre. Un système de job qui rend le jeu torchable à trd et à travers sans aucune retenue ni lassitude. Je me plais encore à repenser à March, tentant de regagner son monde et la confiance de ses amis.

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- 2004

Un hack'n'slah incroyablement addictif, et jouable à plusieurs sur PS2 ! Reprenant dans les grandes lignes les Baldur's gate sortis sur la même console, celui-çi est encore plus perfectionné, encore plus addictif et encoe plus passionnant que les autres. On peut encore le ressortir au cours d'une soirée entre potes, avec quelques bières et des chips.

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- 2005

On touche pour moi là, simplement au meilleur fps multi sur console : une gameplay si facile à prendre en main, une grande variété de niveaux, de personnages et d'armes, un univers extrêment riche en époques et régions, un générateur de cartes, une bonne et longue campagne solo. Peut-on seulement faire mieux de nos jours ? Quoi qu'il en soit, Gaston Boucher reste le personnage le plus cool du jeu !

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- 2006

Un mix entre l'univers de Disney et de Final Fantasy ? mais ça ne pourra donner qu'un monde difforme et infâme ! Que nenni ! L'univers arrive à la fois à être profond et cohérent, et n'est qu'enrichit par cet immense cross-over, dans le quel tout le monde arrive à se retrouver, petits et grands. Et quel bonheur de le parcourir cet univers, à quand la (vraie) suite ?

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- 2007

Un must du fps multi sur pc, avec plus de 3000h dessus, c'est certainement le jeu auquel j'ai le plus joué, et c'est toujours un plaisir d'y jouer en 2013, c'est dire si le jeu est solide, avec un gameplay équilibré, un univers génialement drôle et du contenu gratuit encore aujourd'hui. Et comme chacun le sait, le scout est, sans conteste, la classe la plus intéressante à jouer.

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- 2008

Comment révolutionner le genre de la plate-forme ? En le dotant de beaux graphismes, en implémentant plusieurs plans pour pouvoir avoir un jeu en 2,5D comme on dit plus communément, et surtout en rendant ce jeu customisable à souhait ! De ce fait, il y a plusieurs millions de niveaux différent en ligne ! Tous très différents les uns des autres et usant d'idées toutes plus originales que les autres ! Quel bonheur de replonger dans cet univers coloré à base de Sackboy afin de faire une partie, tout seul ou à plusieurs, et c'est ça qui est le plus beau : un des meilleurs jeux de coopération à jouer avec ses amis.

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- 2009

Je me suis toujours imaginer en train de tout démolir dans un jeu vidéo, les cinématiques où tout explose m'ont toujours laissé un arrière-goût d'insatisfaction en voyant la démolition se passer toujours de la même manière. Ce jeu a réalisé l'un de mes rêves vidéoludiques. Quel bonheur de faire s'écrouler un batiment en sélectionnant minutieusement les piliers que vous allez briser afin de le voir s'applatir sur le sol telle une crêpe pas cuite. Et c'est encore plus drôle en utilisant des lances-roquettes ou des missiles nucléaires, bref, ce jeu est un gros délire à ce niveau là !

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- 2010

Une ambiance sombre, des protagonistes attachants, un scénario très bien ficelé, et des frissons à chaque QTE, voilà ce qui va vous attendre lorsque vous jouerez à Heavy Rain. Je me suis rarement aussi investit dans un jeu vidéo comme ça, au point que je peste chaque fois que mes doigts glissent sur la mauvaise touche. Une expérience unique.

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- 2011

Un jeu qui ne rentre dans aucune case, un étrange mix de fps, de jeu d'énigmes et de plate-forme. Possédant un scénario tordu, mais où toutes les pièces du puzzle s'mbriquent si bien ensemble. Un gameplay qui tient en deux lignes, mais qui peut occasionner des heures et des heures de tortures pour le cerveau. Un univers épuré, et pourtant si travaillé jusque dans ses moindres détails. Chose encore incroyable, après que vous ayez fini Portal , losque vous rejouerez au premier, vous aurez l'impression de jouer à un vieux mode fait par des amateurs. Portal 2 vous fait vivre une expérience encore plus intense que celle de Portal premier du nom, quatre ans après.

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- 2012

Un jeu intriguant qui, dès le début, de par son scénario empli de mystères, ses musiques psychédéliques et son gameplay exigeant, mais juste, vous happe à l'intérieur et ne vous permet pas d'en sortir, sauf au prix de plusieurs heures de try acharnés sur des niveaux parfois assez longs. C'est aussi une bombe au niveau de l'ambiance que dégage le jeu, de par ses graphismes rétros et ses filtres roses fluos tout droit sorti des années 80. Un must, pour un prix dérisoire.

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- 2013

Il a fait beaucoup couler d'encre, mais pour moi, c'est tout vu : une direction artistique du tonnerre, un environnement lumineux et qui nous fait rêver quand il ne devient pas très oppressant. Un scénar' un peu capilotracté, mais qui arrive tout de même à surprendre. J'ai eu beaucoup d'affection pour le couple de personnages Booker/Elizabeth, notamment pour Elizabeth que j'ai trouvé très attachante, de par sa personnalité, et de par le fait que pour une fois on ait une IA qui arrive à se rendre très utile dans tout un tas de situation, une prouesse à signaler !

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- 2014

Ma rencontre avec les rogue-like. Du random, de la rage et de la difficulté, un mélange détonnant qui permet de rendre chaque run aussi unique qu'intense. Et je pense qu'avec Binding of Isaac on touche à un des maîtres dans le domaine, la direction artistique, l'ambiance et la musique géniale sont pour beaucoup là-dedans. Un jeu que je peux me permettre de jouer n'importe quand, pendant plusieurs heures d'affilés tant ce cocktail est addictif.

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- 2015

Le jeu vidéo c'est aussi des expériences uniques. Assez des FPS, des MOBA et autres RTS, ici on joue au limier avec une bibliothèque d'enregistrement vidéo afin de démêler le vrai du faux dans une banque d'extraits d'interview. C'est extrêmement prenant et ça fait partie des jeux qui me questionne sur la nature de ce média. Un petit indie qui nous ouvre encore une porte sur une multitude de façon de concevoir de futurs jeux révolutionnaires !

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- 2016

Quoi mais c'est pas un jeu, c'est un DLC ?? Que nenni ! Rarement je n'ai vu un contenu additionnel vendre autant de rêve, tant au niveau de la quantité de contenu en lui-même (wow une nouvelle map gigantesque avec plein de quêtes pour un prix dérisoire). Mais en plus, ce second DLC de The Witcher 3 réussit à nous faire tout un tas de clin d'oeil sur l'aventure qu'on a déjà effectué auparavant. Clins d'oeil qui seront très appréciés, et qui sont très juste car il n'aurait peut-être pas eu leur place dans le jeu original qui appuierait un peu trop fort sur l'auto-référence.
Je suis un moi-même un gros client des DLC car j'aime beaucoup voir les développeurs aller plus loin dans leurs idées, un DLC pouvant parfois permettre de rajouter un grain de folie dans le jeu vidéo basique. CD Projekt ont ici parfaitement rempli cette mission.

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- 2017

Overwatch, Battlefield one... En tant que grand fan de fps il faut dire qu'on est plutôt mal servi ces dernières années. Les grandes franchises multi ne me plaisant guère, j'y jouais de moins en moins. Mais le jeu de Tripwire a réussi le tour de force de me réconcilier avec le genre en se payant le luxe de le faire avec un jeu plutôt réaliste. Ici, c'est le vietnam, on ne bunny-hope pas, et la moindre flammèche vous fait rôtir comme un vulgaire gigot en moins d'une seconde. L'ambiance du jeu est dingue, le gameplay est équilibré au niveau des deux factions, et la coopération et le teamplay sont bien récompensés. De plus le jeu est vraiment suivi par les développeurs et la communauté plutot moins débile qu'ailleurs donc c'est toujours un plaisir d'y jouer !