Une fois suffit

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J'ai vu, je sais, je n'ai plus besoin de savoir.

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On pourrait lui accorder quelques compliments sur la beauté des lieux de tournage et la bande sonore mais il s'agit bel et bien d'un film oubliable qui ne vit que pour son plot twist ultra prévisible et ses scènes "dégoûtantes" qui ne visaient alors qu'à engendrer une certaine tendance chez les abonnés netflixiens.

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Un zoom de 45 minutes d'une image sur un mur, fallait y penser.

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Ce documentaire est magistral ce n'est pas la question.
Seulement je ne reverrai que des extraits et pas une séance de 9h entière ("une fois suffit" comme dit la liste).

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Je veux bien admettre que l'évolution de la technique plastique est assez impressionnante, mais sinon c'est découpage humain sur découpage humain, pas forcément appétissant quand j'entame mon bœuf bourguignon.

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La bouse la plus récente que j'ai vu à l'heure où je crée cette liste, alors désolé.

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3 heures d'une caméra qui virevolte dans la campagne grâce à un appareil rotatif... Tout ce que je peux dire c'est qu'à partir de 2h30 on se demande quand se finit l'intro dont on a assez bien compris les enjeux.

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Quand il s'agit de la mise en scène fantasmagorique d'un pervers nécrophile séquestrateur, "une fois" devient même de trop...

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Vous comprendrez que la justification n'est pas nécessaire...

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Eh oui, la laideur graphique a une définiton !

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7h de muet… même avec de la musique en fond à un moment ça devient long.

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Le film n'est basé QUE sur son retournement de situation final avec la classique conclusion musicale où l'on enchaîne de nombreux plans évidents sur les personnages pour bien expliquer au spectateur ce qu'il n'aurait peut être pas compris. Hormis ça le film ne propose rien d'intéressant alors une fois suffit.

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L'apothéose de tout ce qui m'horripile lors d'une séance : comédie musicale poussive, utilisation d'une inclusion de surface qui engendre en réalité la catégorisation des personnages, hypocrisie de la réalisation, VFX bâclée et opaque, décors kitsch sans le vouloir, sûr-exploitation des champs/contre-champs lors des scènes de dialogues,...