Van Halen, du pire au meilleur

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La voix de Cherone ne collepas vraiment à la musique (peu inspirée) du maître. Il n'y a pas de mélodie, le son est très différent du passé. On s'ennuie ferme. Un comble.

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Le Van Hagar plein de synthés. Je n'ai rien contre, mais encore faut-il savoir le faire avec goût. Ce qui n'est pas du tout le cas d'Edward sur cet album qui contient, néanmoins, de bons voire très bons titres. Mais trop peu.

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On revient à la guitare (sauf sur le titre "Right Now", Totoisant). Oui mais... On tourne en rond. Déjà entendu, prévisible.

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La suite de 1984 se jouera donc sous l'enseigne Van Hagar. Un album bien dans son temps (batteries électroniques, synthés) totalement ringardisé aujourd'hui par sa production. Il s'agit logiquement du trait d'union entre Van Halen et Van Hagar. On a l'impression que certains titres ont été écrits pour Roth (Good enough, Get Up, Summer Nights, 5150...). C'est nettement moins swing et fou mais, malgré tout, un album de bonne facture, y compris les titres aux synthés.

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Le meilleur Van Hagar et de très loin. On retrouve le grand Eddie qui a quelque peu lâché ses claviers. Efficace.

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L'album tant attendu avec le retour du messie : Roth. De nombreux titres faisaient partie des premières démos du groupe, d'où le net sentiment de retrouver l'ambiance des deux premiers albums. Alors oui, Eddie tourne un peu en rond, l'informatique a aidé Roth mais c'est un album de hard US bien classique qui fait plaisir aux oreilles. A noter : la presence du fils d'Edward à la basse, Wolfgang.

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Le début de la fin. Succès immense qui introduit le groupe dans le courant mainstream. Deux titres aux claviers : Jump et I'll wait plus un instrumental. La pochette est pompée sur Heaven and Hell. Et tous les titres à la guitare sont déments, à exception du curieux Top Jimmy. mention spéciale à Hot for Teacher, du Van Halen swing pur jus.

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Ils ne font rien comme les autres. La preuve : plein de reprises et un morceau à la clarinette. Et de la pyrotechnie guitaristique en veux-tu en voilà. L'album de la crise avec Warner qui les a forcés à sortir vite cet opus. Pas grave, il est dingue.

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Un ton en dessous du premier, par le son et les titres même s'ils sont très proches. Mais toujours la classe internationale.

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Un album débridé et dingue, commun pour Van Halen. Certains morceaux ressemblent à des improvisations, des démos. Le côté décousu sied à merveille à cet album peuplé de performances vocales et guitaristiques.

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Rien à ajouter à ce qui a déjà été dit. Avec cet album, Van Halen a sauvé le hard rock et la guitare électrique. Rien que ça. Un festival.

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Le plus sombre (bizarre pour ce groupe toujours positif et fun) mais le plus abouti. Les titres sont tous des bombes magistralement interprétées. Le solo du début (Mean Street) est un truc dingue pour l'époque et le solo de fin, une giclée d'acide dans la face. Du très grand hard rock.