Victor Marie Hugo

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Sera indéniablement et irrémédiablement mon premier. Poésie, exhaustivité, monument.

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Une réponse tonitruante à tous ceux qui ne voyaient dans la poésie qu'une façon de contourner les piliers du classicisme.

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Un monument de poésie qui retranscrit parfaitement cette belle passion du poète pour la mer ! la plus belle déclaration d'amour à l'océan...

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Quand c'est l'oeuvre d'une vie, on n'a que trop peu de mots...

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L'invention de la modernité théâtrale

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Et c'est seulement le plus abouti, puisque la peine de mort est dénoncée dans toute son oeuvre

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Premier volet du dyptique sur les Révolutions (avec Quatrevingt-treize) et finalement assez dans la même veine. Hugo forge un véritable monument littéraire (830 pages de Hugo fiou), avec des fondations on ne peut plus solides (ce qui dessert l'oeuvre à mon avis). Il a à coeur de nous décrire exactement tout ce qui a amené chaque personnage, y compris les personnages secondaires, à avoir le rôle qu'ils ont. Et c'est cela qui m'a le plus déçu : la trame narrative doit constituer, en tout et pour tout, un cinquième du livre !! Alors on doit pouvoir apprécier cette rigueur méthodologique, mais dans l'écriture d'Hugo, c'est beaucoup trop lourd et à la limite de l'indigestion...
Pour ce qui est des points positifs : une métaphore particulièrement réussie de la dichotomie entre riches et pauvres, un portrait méticuleux de l'Angleterre du début du XVIIIe siècle, et toujours cette prose épique que j'admire chez cet écrivain. Un régal.

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Le dernier roman de V. Hugo, et qui pourtant ne nous emporte pas suffisamment dans son monde...

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Tout y est tellement démesuré, ç'en est épuisant presque !