Visionnages 2014 (+ mini-critiques)

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[Janvier] La douche froide du début d'année que j'attendais pourtant avec impatience. C'est super classique dans sa gestion de l'horreur, le montage est à la ramasse, passé la scène d'intro les opposants perdent peu à peu toute crédibilité au profit de l'héroïne (un mix entre John McLane et McGyver au féminin, c'est plutôt marrant). Quelques scènes efficaces, mais dans l'ensemble c'est surtout carrément frustrant. Dommage.

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[Janvier] Revisionnage. Je pensais avoir du mal à le revoir, mais au contraire ça n'a fait que me conforter dans ma notation. Thomas Alfredson a tout compris aux enjeux du roman de John LeCarré, sa mise en scène est parfaitement fluide et s'accorde parfaitement à l'intrigue pourtant complexe, la photo est sublime. J'aime beaucoup la description que fait LeCarré de ces amis et collègues que les années de service ont rendu paranoïaques, et surtout ça fait du bien de voir de vrais espions qui communiquent, mettent le nez dans les archives quitte à prendre des risques en prenant un simple dossier. J'ai trouvé ça fascinant.

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[Janvier] Le synopsis qui promettait une histoire à la Jack Ketchum m'avait convaincu, et effectivement il y a quelques idées acides à sauver sur le monde de l'adolescence et la société ricaine. Mais dans l'ensemble on a plutôt l'impression de regarder une bête série B avec un postulat un peu plus culotté que les autres, quelques scènes gorasses (parfois gratuites) et pas mal d'incohérences. L'un des deux réals doit être fan de Donnie Darko, parce que les similitudes dans la mise en scènes sont flagrantes et la musique est un vrai plagiat de la partition de Micheal Andrews.

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[Janvier] Je suis moyennement fan des premiers films d'Álex de la Iglesia, mais là je dois admettre qu'après une première partie qui se traîne un peu il m'a bien fait rire. Il exacerbe l'absurdité de chaque situation autour de son héroïne, coincée dans un appartement qui n'est même pas le sien avec une meute de voisins irrécupérables prêts à tout pour récupérer l'argent de l'ex-voisin vainqueur du loto dont ils attendaient la mort depuis des décennies. Toutes les tares de la société espagnole y passent avec une vraie férocité, de la cupidité au machisme, et ça fonctionne plutôt bien grâce à Carmen Maura qui porte le film sur ses épaules. La scène dans la cage d'escalier avec les policiers est formidable.

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[Janvier] Toni Servillo (pire que placide) est formidable, et Sorrentino capte souvent très bien les moments de silence qui l'unissent à son "amour", Olivia Magnani (magnifique). C'est le point fort de son film, qui se ballade allègrement entre drame et film de gangster (Boards of Canada / Mogwai dans la BO ça aide pour l'atmosphère délétère). J'ai vraiment eu l'impression de voir le précurseur austère d'A Bittersweet Life de Kim Jee-Woon (sorti 2 ans plus tard), avec des tics de mise en scène assez similaires par moments.

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[Janvier] Christian Bale et Casey Affleck sont plutôt convaincants, Woody Harrelson fait sa traditionnelle bouche en cul de poule pour montrer qu'il est violent, c'est assez plaisant de retrouver Willem Dafoe (ça faisait longtemps)... Le problème c'est que leur présence ne suffit pas à remplir deux heures de film. Ça m'a fait la même impression que The Place Beyond the Pines, au début on nous place une super ambiance de coin paumé des US, avec des décors vraiment superbes (et du Pearl Jam en ouverture), mais plus on avance dans l'histoire plus elle devient vaine et classique. Et là en l’occurrence la fin laisse à désirer, et certaines séquences n'ont rien à foutre là (la descente de police ?!). Pas détestable mais déjà oublié.

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[Janvier] Étiqueté comédie horrifique (avec Jacob de Lost en nazi directeur de camp de redressement), avec un réal qui préfère filmer le cul de ses actrices que d'être drôle ou, encore mieux, de clôturer son film. Même bourré ça passe pas, aucun intérêt. C'était pas dans la base de données SC et je comptais pas créer la fiche, mais je l'ai fait juste pour parler de cette magnifique chaîne anglaise très justement nommée Horror Channel UK qui nous à fait miroiter des films comme Twisted Nerve, le Zombie de Fulci ou même une nuit Ozploitation qui aurait été vachement bien avec notre pizza et nos bières et qui à la place nous a refilés ce... truc. Salauds.

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[Janvier] Sans grand intérêt, c'est dommage. Les combats sont hyper secs et violents, c'est plutôt bien joué (putain elle a pris un de ces coups de vieux Sherilyn Fenn, horrible...), le problème c'est qu'on identifie beaucoup trop vite un personnage principal parmi les candidat(e)s. Ça bousille complètement le principal facteur de suspense: l'issue incertaine des combats. Tout finit par se dérouler sans accrocs ni surprises sur un scénario de série B somme toute assez classique dans sa trame narrative, avec une fin vraiment convenue qui gâche tout.

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[Janvier] Un film irlandais à la Petits Meurtres entre Amis qui n'en as ni l'inventivité ni le sens de l'humour. Tourné avec le caméscope de mémé avec en plus une mise en scène à chier bourrée jusqu'à la gueule d'effets clipesques, le seul élément plaisant pour l'oeil en fait c'est Kelly Reilly. Sinon aucun intérêt, à part voir le futur Moriarty de la série de Mark Gatiss et Steven Moffat en loser incapable de monter un plan correct pour se sortir du pétrin.

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[Janvier] Première fois que je mate un Bruce Lee. C'est mal branlé et la mise en scène ne suit pas toujours, du coup les combats manquent parfois un peu de souffle mais ça reste plutôt attachant. Je m'attendais pas vraiment au coup des cadavres à faire disparaître, ce serait passé nickel dans un cat III. Et surtout: que foutaient Time / Obscured By Clouds de Pink Floyd et Lark's Tongue in Aspic de King Crimson dans la bande-son ?! C'était génial !

Edit: En fait je me souviens d'un nanar dans lequel il avait joué un second rôle où il mourait bêtement en faisant un coup de pied sauté... par dessus le balcon du dernier étage d'un building. Si quelqu'un a le titre il me le faut !

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[Janvier] Vraiment intense, les acteurs sont parfaits et certaines scènes sont proprement hallucinantes (surtout pour l'époque, la séquence de la passerelle de bois notamment). Mais pourquoi rajouter cet épilogue gratuit juste pour enfoncer encore plus ses personnages ? Un fondu au noir devant le brasier (après la "palissade") aurait été parfait... Dans l'ensemble je lui préfère le remake de Friedkin (la séquence du pont de corde quoi !) mais ça reste un must-see.

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[Janvier] Ça part complètement dans la démesure et ça marche pas toujours très bien, nettement moins bien que Balada Triste malheureusement. Mais ça reste plutôt marrant dans l'ensemble, et c'est plutôt cool de voir Alex de la Iglesia repartir sur le genre de délires horrifiques qu'il avait au début de sa carrière (style Le Jour de la Bête). Le duo Carmen Maura / Terele Pavez est terrible.

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[Janvier] Revisionnage, +1. HERE COMES THE PAIN !

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[Janvier] Bon on m'avait spoilé la fin il y a fort longtemps avec le fameux t-shirt "spoiler" et ça m'a pas mal gâché le film en fait. En soit l'idée est vraiment bien, mais malheureusement bêtement développée sur une petite heure et demie avec une trame narrative basique (présentation de l'univers/enquête/twist/fusillade finale), c'est décevant. Y'avait moyen de faire quelque chose de beaucoup plus complet qu'une série B se reposant juste sur son twist. Mais ça reste sympathique et visuellement c'est pas mal du tout ce filtre vert.

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[Janvier] Souvent sympathique, les deux tourtereaux jouent plutôt bien (et puis y'a Brie Larson, Mary Elizabeth Winstead et cinq minutes de Bob Odenkirk, ça aide), et assez sincère... mais ça va chercher bien loin. Ça suit son fil tranquillement, la seule scène qui cherche à surprendre se plante lourdement (le coup de la bagnole à la fin, franchement, oui on s'y attend pas mais tout le monde semble se foutre des conséquences après) et ça se termine tranquillement. L'alcoolisme est plutôt bien traité, sinon rien à signaler mais ça se regarde...

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[Janvier] Y'a pas à dire il est sait très bien faire avec son temps le père Scorsese, avec cette idée géniale d'adapter son style de mise en scène bien particulier sur une narration éclatée qui sert parfaitement le propos. Le casting est monstrueux (McConaughey et DiCaprio sont parfaits), la BO se couple parfaitement aussi bien à la narration qu'au sujet (les nouveaux gangsters en somme). Un peu long et too much mais ça reste un divertissement loin d'être con.

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[Janvier] Un polar pas banal qui n'hésite pas à utiliser les codes du cinéma d'horreur pour mieux perdre son spectateur, avec une narration qui navigue (un peu trop) entre réalité et cauchemars. On dirait du Jean-Christophe Grangé sans les délires ésotériques qui partent dans tout les sens, avec une enquête banale rattrapée par les comédiens (Josiane Balako à total contre-emploi, Thierry Lhermitte dans un petit rôle génial) et l'ambiance ultra glauque dans laquelle ils évoluent. Imparfait, la mise en scène est parfois un peu trop stylisée mais c'est intéressant dans le paysage morne du polar français.

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[Février] Une série b sans intérêt, qui met le paquet dans le "jeu" jusqu'à en oublier totalement de mettre des péripéties et de renforcer sa trame narrative. Jeffrey Combs (marrant, comme d'hab) fait disparaître les personnages un à un de façon parfois inventive, le reste du temps de façon affligeante quand le scénariste ne sait plus quoi faire d'un personnage qui n'est pas dans le jeu. Un twist final, et bye.

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[Février] Vraiment marrant. Ça va pas chercher très loin, mais au moins John Waters a les couilles d'allers au bout de son délire plein de références ciné et de scènes absurdes qui marchent plutôt bien (la salle de projection de films d'art martiaux est géniale !). Et puis y'a Maggie Gyllenhal en sataniste, ça aide.

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[Février] Adaptation ultra classique d'un vaudeville d'Oscar Wilde fait pour le théâtre. Déjà les vaudevilles ça m'emmerde mais alors en plus avec une mise en scène plus scolaire tu meurs et une brochette d'acteurs avec un balais dans le cul, autant que ça reste au théâtre. Y'a juste Edith Evans en mère acariâtre qui est marrante, on dirait qu'elle sort d'un sketch des Monty Pythons...

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[Février] L'idée de placer un monde fantastique / horrifique complet dans un immeuble hyper oppressant et claustrophobique marche vraiment bien, malheureusement c'est souvent un peu confus (quelqu'un a compris d'où venait la procession de mecs en bleu avec des chapeaux de deux mètres de diamètre ?) et j'ai vraiment pas compris où il voulait en venir avec son histoire de suicide. Mais la mise en scène est top et c'est pas commun dans l'ensemble, assez fascinant. Et foutre le bruitage de la Witch de Left 4 Dead pour un gamin qui pleure c'est marrant aussi.

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[Février] Revisionnage, +/- 0. C'est loin d'être le meilleur film d'Argento mais il est plutôt surprenant. J'avais oublié le vieux groupe de thrash metal trop mal calé dans la BO, ça m'a bien fait rire.

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[Février] Le sujet est couillu, c'est plutôt bien joué et certaines scènes font vraiment mal... mais c'est quand même super chiant. Le rythme est complètement à la ramasse, sans doute pour mieux montrer le quotidien dans lequel s'enferme l'héroïne. L'idée est bonne mais malheureusement le film n'arrive que très peu souvent à bien l'exploiter. Juste dans la scène du restaurant en fait, qui vaut le coup d'oeil.

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[Février] Était-il vraiment nécessaire de faire un préquel au "Tour d'Ecrou" d'Henry James ? Pas vraiment, surtout que niveau adaptation le film de Jack Clayton était déjà parfait. Ici le rythme est affreux, le scénar insignifiant, et la mise en scène (du mec qui a fait les Un Justicier dans le Ville avec Charles Bronson et le très sympa The Sentinel) basique. Heureusement ça se regarde pour l'ambiance sombre assez réussie et Marlon Brando là où on ne l'attend pas. Mais ça vaut pas grand chose, en plus dans le genre film cruel dédié à la corruption de l'enfance dans une maison paumée en Angleterre Jack Clayton était encore une fois par là cinq ans avant avec le génial Our Mother's House. A bon entendeur...

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[Février] Mon premier "vrai" Fukasaku (si l'on considère Battle Royale à part), le scénario est marrant mais sans surprises, c'est l'éternel outsider qui pour se venger va foutre le bordel entre les clans mafieux établis. Mais la mise en scène dynamique a grands coups de cadrages penchés fonctionne super bien, les personnages bêtes et/ou méchants sont complètement inconsistants mais heureusement efficaces quand il s'agit de s'entre-tuer à coups de sabres ou de pelleteuses (!). Du bon divertissement.

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[Février] Assez unique en son genre. On pourrait facilement le rapprocher de Felidae dans le genre dessin-animé sombre avec des animaux non-anthropomorphisés, mais là ou ce dernier y allait franco dans le bis et le gore Plague Dogs s'attache au réalisme, avec un scénario bien crève-coeur et des animations parfois étranges (produit par United Artists après La Porte du Paradis, donc leur budget devait être vraiment restreint). Les dessins sont grisâtres, ça se passe au fin fond des montagnes d'Irlande à côté du laboratoire le plus glauque que vous verrez sur un écran, même les rêves sont en négatif... et pour tout dire dans ce conte déguisé le renard voleur et menteur est aussi le mentor positif, ça donne une idée des personnages.

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[Février] Ah j'en ai des trucs en VF à la qualité discutable qui traînent sur mon dd... Bon c'est pas comme si j'en attendais quelque chose du coup: c'est monté avec un mauvais goût assumé, bourré de faux raccords (bonjour je suis ligotée à un poteau mais dans les contre-champs je suis partie prendre un café avec le script), les combats sont moches et les persos sont à peine plus expressifs que dans le jeu. Avec Paul W.S. Anderson en producteur exécutif, ceci explique cela. Heureusement le casting féminin attire parfaitement l’œil, et ça devait être la seule vraie intention du scénariste (et celle du jeu visiblement, auquel je n'ai jamais joué).

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[Février] Revisionnage. +/- 0. Il m'impressionne toujours autant, la précision du montage et des raccords de plans me bluffe. Et la mise en scène m'a remis une claque, à part quelques utilisations discutables du soleil dans certains plans c'est nickel, et Steve Yedlin est un génie.

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[Février] Intrigue minimaliste, mise en scène clinique qui lorgne vers Cronenberg avec un montage lent à mourir et une direction photo qui tend vers le grisâtre. Clair Denis veut montrer les vampires comme des êtres sexuellement déviants obsédés par la dualité sexe/sang, c'est réussi. Mais putain qu'est ce que c'est chiant, le rythme ultra lent devient vite lassant (comme le morceau de Tindersticks, qui tourne en boucle) et on peine à oublier la vacuité du scénario... Quelques scènes réussies cependant et Béatrice Dalle est fascinante. Par contre Vincent Gallo et son unique air de chien battu c'est moins bien...

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[Février] Bon je suis quand même sec sur la note, c'est très regardable, pour une fois l'effet Spike Lee ne m'a pas fait chier. Mais dans le principe c'est un remake purement inutile, les ajouts sont juste là pour faire varier un peu le scénario et sont au mieux sympas (la baston en long plan dans l'"hotel", le coup du faux show TV) la plupart du temps inutiles (les souris au début qui n'ont rien à foutre là, les mecs sont sensés traiter leur prisonniers comme des invités alors pourquoi lui faire ça ?) mais toujours largement moins intéressants que dans l'original, malgré les tentatives constantes et infructueuses de Spike Lee pour plagier le style de Park-Chan Wook (qui font vraiment toc). Et j'aime bien Sharlto Copley mais là rien à faire, j'ai pas accroché à son jeu. Par contre c'est cool de revoir Michael Imperioli, ça faisait longtemps.