Vus en 2017

Annotation :

Aux Etoiles, avec Raph, avant d'avoir perdu mes clés et ma CB en salle et de demander au resto juste le dessert
_
Loin d'être le premier film vu de l'année, mais il valait la peine d'ouvrir la liste pour y poser quelques mots.
La claque ! 1h à me cacher derrière ma main, tant le cannibalisme est insupportable. (Est-ce le réalisme qui lui est associé ?) Des scènes mémorables, une OST digne de celle d'un Tarantino.
On se cramponne, on a envie de voir jusqu'où la faim ira - ça va assez loin quand même.
Derrière la caméra et ses mouvements, de l'intelligence, si bien qu'on a hâte de voir ce que donnera ses prochains longs-métrages.
Bravo !

Annotation :

Chez Djami, dans sa couette et avec un chocolat chaud
_
La fin, longue à s'en dégouter, est désespoir, et on y ressent un profond malaise. Une composition de la décomposition, justement, de cette société d'après-guerre. On va de désillusion en désillusion.
Pas d'espoir. Même pas cette magnifique femme qui semble échapper au fer de la réalité et qu'on est prêt à suivre éperdument toute une nuit. Même pas cet homme en qui on admire l'intelligence et le savoir, et qui s'est finalement suicidé après avoir tué ses deux enfants.
Pas d'espoir. L'idéal s'échappe entre les doigts qui ne tiennent que du momentané.
Onirique, et allant toujours plus au fantasmagorique et au cauchemardesque, je n'ai pu que penser à David Lynch.

Annotation :

Céline Sciamma, merci.
(Arte aussi)

Annotation :

Aux Capucines, avec Raph, et en lançant sans faire exprès un YES lorsque la fille...
_
Alors là, chapeau.
Bluffant jusqu'au bout. On le croirait presque basé sur une histoire vraie, ce scénario.
Un petit regret que la voiture du flic n'aboutisse à une scène ahurissante de plus - quoique toujours réaliste : un flic, blanc, raciste, sort et le tue. hihi
Mais c'est mon côté morbide qui parle.

Annotation :

Côté Capucines, avec une place offerte : Cadeau !
____

C'est beau, c'est quand même bien foutu, esthétiquement. Côté scénario, c'est un peu incohérent non ? Une mission prévue pour des années si légèrement détournée... je suis bien heureuse que dans la réalité, les conducteurs sont avant tout des astrophysiciens, qui n'auraient pas des caprices de ce genre. Par contre, le complexe des clones androïdes est super intéressant. D'autant plus Ridley Scott les différencie par la musique, ça, c'est fascinant.

Annotation :

Aux Fauvettes
__
Belge. Et rencontre avec Jean-Pierre Bacry.

Annotation :

Aux Fauvettes, mon premier Terrence Malick
___
Vraiment pas ma tasse de thé cette caméra. J'aurais cependant aimé l'histoire, et les personnalités des personnages.
J'aurais jamais été aussi impatiente de sortir de la salle...

Annotation :

Opéra Premier
__
Euh.... Une pub géante pour les Tokyo 2020 et les voitures autonomes comme modèle suprême du progrès ?
Des choses bien sympathiques, mais pas mal de débordements (jusqu'au cosmique/et comique pour le coup) liés à la liberté utile de passer de la réalité au rêve, c'est pas tellement abouti.

Annotation :

Musée dans le musée, tout dépasse justement du cadre qu'on tente d'organiser (The Square).
Ah pour sûr ! On ne reste pas passifs. Nous sommes visiteurs pour une agréable mais aussi déstabilisante exposition. :)

Annotation :

Au Pathé-Boulogne (comment ça, j'ai la carte Gaumont ?)
_
Où j'ai compris, en comparaison avec The Square, ce qu'est une caméra au service du personnage (et non pas d'un propos/concept dans laquelle elle évolue). J'adore.

Annotation :

Raimu..... !