Vus en 2022

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MK2 Bibliothèque

https://www.senscritique.com/film/Lamb/critique/261706180

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Le Louxor

https://www.senscritique.com/film/Copyright_Van_Gogh/critique/252402122

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À l'école

C'est vraiment le genre de films avec lequel j'aurais pu avoir un problème, où on sur-esthétise la détresse humaine au service d'un petit film expérimental joli pour les yeux et agréable à l'oreille. Sauf qu'ici, le texte justifie à lui seul le parti-pris formel : la narratrice a assisté à ce qu'elle raconte, les scènes se déroulent de nuit, dans un épuisement et un stress constants, elles se répètent inlassablement, au point de ne plus savoir ce qui est réel ou non. Dès lors, le dispositif est pleinement cohérent avec ce qui est raconté. Et puis il y a la scène de manifestation en contre-point, dans laquelle la musique s'arrête pour laisser place à l'ambiance agitée, ce qui fonctionne très bien. Le court-métrage est fort et prenant, j'ai adoré !

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À l'école

Exactement comme pour "Le Foot-girafe ou l'alternative" : le film est dans un premier temps très drôle et inventif, délicieusement absurde, on sent que Jean Rouche et son acteur se sont vraiment amusés lors du tournage. Le message se fait vite comprendre, sans doute un peu trop, et c'est ça le problème : le court-métrage dure bien trop longtemps, et une fois qu'on est lassé du concept, il ne reste plus grand chose sous la dent...

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À l'école

Exactement comme pour "VW Voyou" : le film est dans un premier temps très drôle et inventif, délicieusement absurde, on sent que Jean Rouche et ses acteurs se sont vraiment amusés lors du tournage. Le message se fait vite comprendre, sans doute un peu trop, et c'est ça le problème : le court-métrage dure bien trop longtemps, et une fois qu'on est lassé du concept, il ne reste plus grand chose sous la dent...

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À l'école

Le film est magnifique visuellement, et j'adore cette idée de voyage avec les pensées spontanées de ses protagonistes. Néanmoins, ça ne tient pas la longueur : il n'y a pas de liant, les voix-off sont en freestyle constant, on n'écoute souvent plus, et ça n'essaye jamais d'être autre chose que drôle. Honnêtement, je serais curieux de savoir qui est capable de rester concentré devant un tel film. On ne peut pas non plus se laisser porter car les voix sont irritantes, elles ne s'arrêtent jamais, on dirait parfois le rythme d'un blockbuster. Au final, "Jaguar" est une belle idée qui aurait gagnée à être réduite de deux tiers, car en l'état, c'est difficilement regardable...

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À l'école

Le court-métrage est drôle et mignon, mais c'est quand même très peu, pas de quoi se taper le cul par terre.

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À l'école

Une succession de portraits drôle et touchante, qui ne tourne jamais ses sujets en ridicule.

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À l'école

Difficile de donner un avis sur un film que j'ai eu tant de mal à regarder, les images étant très dures. J'en retiens surtout de magnifiques moments de vie, qui en font un film mille fois plus sympathique que le très moyen "L'ordre" de Jean-Daniel Pollet.

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À l'école

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À l'école

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À l'école

Le film est objectivement intéressant de par son parti-pris et son discours, il faudrait être de mauvaise fois pour le nier. Néanmoins, je le trouve très théorique : c'est moins palpitant que de la fiction, ça ne sonne pas vrai comme un documentaire, et le rythme est particulièrement lent sans qu'on ne soit dans la contemplation. Seule la sous-intrigue autour du pistolet m'a réellement intéressé, car j'aime la façon dont la fiction se glisse dans le documentaire par le biais de l'anecdote. Quelques pointes d'humour pointent le bout de leur nez, mais elles tombent vite à plat (le faux-western m'a semblé assez vain). La proposition est tellement théorique que je l'ai trouvée parfaitement hermétique.

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Cinematek

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Cinematek

https://www.senscritique.com/film/Fermeture_de_l_usine_Renault_a_Vilvoorde_la_vie_sexuelle_des/critique/263069686

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Cinematek

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Cinematek

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Cinematek

Le synopsis est prometteur, mais la fascination de Jan Bucquoy pour Noël Godin (qui est également une forme d'égocentrisme, les deux hommes partageant les mêmes idées et le même humour) rend le film assez faux : ce n'est pas un documentaire au service de son sujet, mais bien au service du réalisateur, ses amis et son mouvement. Dès lors, le film perd en sincérité.

Assez étonnamment, c'est plutôt les séquences suivant le parti "Vivant" qui fonctionnent : on assiste au développement d'un mouvement politique dans tout ce qu'il a de plus classique, et cette description d'une forme de libéralisme vaguement progressiste est d'autant plus parlante aujourd'hui. On voit comment un parti soi-disant jeune et nouveau use de méthodes classiques, et que le renouveau n'est qu'un leurre. Malgré tout, que ce soit chez "Tarte" ou "Vivant", Jan Bucquoy ne laisse jamais vivre ses sujets et ses situations, et y accole coûte que coûte son regard partial et son humour lourdingue. Pour du documentaire, ça fait tâche.

Et même si on finit par se lasser de cette auto-satisfaction Bucquoy / Godin, le film regagne en intérêt lors de la découverte des résultats : on a un parti de bouffons contents d'avoir fait moins d'1%, et un chef d'entreprise déçu d'avoir fait seulement 2%. Cette façon de traiter la politique comme une blague est finalement relativement séduisante, et même si on sort déçu du docu, on est quand même un peu satisfait.

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Cinematek

Un court-métrage qui se résume à son titre, il aurait gagné à être plus libre et plus drôle, en décrivant le mode opératoire par exemple... Ici, on a juste l'impression de voir une bande de copains filmer ça juste pour marquer le coup, sans réel but. Et étant donné que Jan Bucquoy devient de plus lourd, difficile d'y adhérer...

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Chez moi

Pas mal, une bonne ambiance avec un trio d'acteurs efficace. Les relations sont entre les personnages sont très bonnes : le serial-killer conscient de lui-même mais gentleman et attachant, le frère dégueulasse aux relents incestueux, la jeune femme traumatisée attirée par le psychopathe. Le récit est tragique : on aimerait vraiment que la relation amoureuse fonctionne, mais le traumatisme lié à la sexualité d'Henry l'empêche d'avoir une relation sexuelle, et ses pulsions meurtrières ne semblent jamais bien loin. Malheureusement, le film manque d'inventivité dans la forme pour marquer, tout est très sage et parfois même peu inspiré (les successions de plans de cadavre vont dans ce sens), les faux snuff-movies auraient gagné à prendre plus de place. L'intrigue manque également un peu de liant. Mais sinon, c'est une découverte sympathique.

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Chez moi

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Chez moi

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Cinéma Palace

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Chez moi

C'est tellement poseur (les plans fixes se la jouant docu), décousu (il n'y a pas de réelle évolution) et théorique (la scène de la photo au téléphone) que le court-métrage est raté. Le plan de l'homme prenant sa douche reste marquant, mais il intervient avant que la fiction ne trahisse le docu.

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Chez moi

Quebramar est un docu militant ennuyeux sur tous les points. Sur le fond, le court-métrage brasse toutes les thématiques chères au féminisme intersectionnel : sexisme, homophobie, racisme et violences policières. Pour un film de moins de trente minutes, le programme est chargé, c'est la raison pour laquelle aucune thématique n'est traitée en profondeur et ne fait l'objet que d'un dialogue (ou plus souvent un monologue) bien précis. Les personnages expriment simplement leurs ressentis purs liés à des anecdotes. Sur la forme, le film est hermétique au réel. Tout semble mis en scène au centimètre près et les discussions n'ont rien de naturel : le cadre est toujours réfléchi, elles se racontent des choses qu'elles se sont évidemment déjà raconté (elles agissent donc pour la caméra), elles n'interagissent pas entre elles, bref, ce qui compte c'est plus ce qui est dit que comment c'est dit (peut-on encore parler de documentaire ?) Et puis il faut voir comment tout ça est poseur, avec ces plans de femmes qui bronzent parfaitement cadrées et ces gros plans de leurs corps qui hurlent au body-positive. Le message semble légitime (même si l'on regrette l'absence de la thématique des classes sociales), mais le film est raté. Finalement, Quebramar ne vaut plus que pour sa délicieuse ambiance estivale, qui nous rend impatient d'être en juin.

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UGC De Brouckère

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UGC Toison d'or

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UGC Toison d'or

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Cinematek

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Cinematek

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Cinéma Aventure (2 fois, dont 1 en présence du réal)