Vus en 2025

Annotation :

Premier film que j'ai vu en 2025 c'est Conclave, j'ai un bon d'avoir passer un bon moment, malger les début un peux lent, même si les chose que je retiens le plus c'est la lumière du film que j'ai particulièrement apprecier, je trouve que le casting est vraiment bon avec le trio Ralph Fiennes/Stanley Tucci/John Lithgow (ce dernier m'avais tellement marquer sur la série dexter). bref je trouve qu'on arrive vraiment bien a être en conclave et ne plus avoir de news de la vie qui est dehors.

Annotation :

Vu par curiosité et franchement, malgré quelques longueurs typiques du cinéma d'auteur franco-belge, j'ai été agréablement surpris. Du Welz livre ici un thriller qui sort des sentiers battus, même s'il prend son temps pour nous y emmener.

Le truc qui m'a le plus marqué, c'est la performance d'Alexis Manenti en Luis Catano - une vraie claque à chacune de ses apparitions. Anthony Bajon, dans son rôle ambigu entre révolte anti-système et aspirations policières, crée un personnage complexe qui, même si parfois difficile à cerner, apporte une vraie profondeur au propos. Mention spéciale à Béatrice Dalle qui, même si on la cantonne encore une fois au rôle de la junkie (on aimerait la voir ailleurs), apporte cette intensité qui n'appartient qu'à elle.

Certes, il y a des moments où le film s'étire un peu trop, mais la critique sociale est bien amenée (ce côté ACAB subtilement distillé), et la réalisation est juste magnifique. Du Welz prouve encore une fois qu'il sait filmer la Belgique comme personne.

Un film qui, malgré ses petits défauts, réussit à créer quelque chose d'unique et de marquant dans le paysage du thriller européen.

Annotation :

Premier contact avec l'univers d'Almodóvar, et on sent tout de suite qu'il y a du vécu dans cette histoire. Le réalisateur transpose visiblement son expérience personnelle de la maladie, même si le cadre choisi pose question - difficile de s'identifier à des personnages qui peuvent se permettre une maison entière pour mettre fin à leurs jours. Un privilège qui créé d'emblée une distance avec le spectateur lambda.

Julianne Moore livre une performance touchante dans ce rôle d'amie aidante, un personnage auquel je me suis particulièrement identifié. Par contre, Martha, malgré la gravité de sa situation, accumule les coups bas qui rendent l'empathie compliquée. Le personnage de Damian m'a particulièrement agacé avec son discours pseudo-écologique bourgeois - on croirait entendre un représentant de la gauche caviar parisienne qui justifie ses choix de vie par une conscience environnementale de façade.

La mise en scène reste assez classique dans l'ensemble, avec quelques plans intéressants par moments mais rien de transcendant. Malgré ces réserves, le film réussit à poser des questions pertinentes sur l'amitié, la maladie et nos choix de vie, le tout porté par des performances convaincantes.