Vus en live

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Théâtre de Fourvières, Lyon juillet 2019
Génial, grandiose, d'une virtuosité rare, bref (re)voir les patrons du rock progressif, c'est toujours un réel plaisir. C'est simple, je n'ai pas vu passer les presque 2h qu'a duré le concert de Robert Fripp et sa bande, et je n'aurai pas dit non à une heure de plus. Le groupe avait un son absolument monstrueux, résolument metal par moment (Level Five extraordinaire !), avec toujours cette originalité de proposer 3 batteurs en total symbiose (roooh ce drums battle de folie, c'était grand !), les autres musiciens n'étant pas en reste, Collins superbe notamment sur 21st, tout comme Toni Levin et son stickman et Jakko Jakszyk impeccable au chant (je n'ai pas fait attention, mais un ami m'a dit qu'il avait toutefois perdu me fil sur 21st, Fripp l'ayant aidé à reprendre la mesure).
J'avoue être toujours un peu déçu néanmoins du final de Starless, mais Bruford avait tellement placé la barre haute lors de sa présence dans le groupe... mais vu la beauté du solo final de Gavin Harrison (toujours sur 21st), ils sont largement pardonné.
Les années passent mais Fripp et sa troupe sont toujours aussi impressionnants. J'espère avoir encore l'occasion de les revoir et pourquoi pas d'entendre un nouvel album...

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Théâtre de Fourvières, Lyon juillet 2019
Très franchement, je n'arrive pas à rentrer dans l'univers de ce groupe, la faute certainement au chant trop omniprésent et dans une langue créée par Magma. Je ne remet pas en cause le niveau (extraordinaire) des musiciens, ni l'originalité de leur musique, mais ça n'est définitivement pas fait pour moi.

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Transbordeur, Lyon Mars 2019
Je connais plutôt assez mal Haken, mais le peu que j'en ai écouté, j'apprécie le metal progressif de ce groupe anglais, même si parfois ils lorgnent un peu trop de Dream Theater à mon goût.
Quoiqu'il en soit, je garde un excellent souvenir de ce concert durant lequel les musiciens du groupe ont fait montre de toute leur technique et de la qualité de leurs compos. Cerise sur le gâteau, on les a vu gratuitement, mais c'est une autre histoire, tout comme le fait qu'il clôturait une journée mémorable entre amis entre achats de vinyles et restaurants dans la capitale gastronomique française, mais je m'égare...
Ce sera un plaisir de revoir le groupe sur scène en novembre prochain en première partie de Devin Townsend, salle Pleyel.

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La Machine du Moulin Rouge, Paris Novembre 2018
Je vais de moins en moins à des concerts, et je vais souvent voir les mêmes groupes (habiter Montélimar n'aide pas forcément), mais de Diou que c'était bien ! Le meilleur des 3 concerts du groupe auxquels j'ai assisté, clairement. Le groupe commence une nouvelle histoire comme l'a souligné Marius, et de leur propre avis, ils ont retrouvé la pêche qu'ils avaient perdu depuis quelques temps. Le temps du deuil entre autre. Mais même lorsque je les avais vu du vivant de Piotr, je ne les avais pas senti aussi énergique à l'image d'un Left Out dantesque (putain ! enfin j'entends un morceau de ADHD sur scène, quel pied !) Le groupe joue encore 2h et impressionne de par sa dextérité. C'était toujours un plaisir de voir Marius jouait et chantait en même temps. Quel bassiste ! La part belle de la setlist est faite au nouvel album, qui le vaut bien. Un véritable plaisir d'entendre Wasteland ou River Down Below quand le groupe s'éclate. Et puis ils m'ont également agréablement surpris en jouant un titre de leur EP Memories in my Head, avec l'excellent Forgotten Land, en mentionnant les problèmes que traverse actuellement l'Europe politiquement. C'était beau, et je retournerai avec plaisir les revoir lors de leur prochaine tournée. Merci Riverside. cœur cœur
Mention spécial au jeu de lumières qui était impeccable.

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L'Olympia, Paris Juin 2018
Tournée d'un album que j'ai honnêtement peu écouté depuis sa sortie en avril dernier. Pas qu'il soit mauvais en soi, mais il lui manque (manquait ?) la petite étincelle qui me ferait revenir dessus plus régulièrement. Et alors que j'étais super heureux d'avoir obtenu le saint Graal pour ce concert du 26 juin à l'Olympia, j'étais paradoxalement peu enjoué à l'idée de les voir sur scène, certainement dû à un léger manque d'intérêt pour ce dernier disque en date.
Verdict ?
Ben j'ai kiffé la p#@$%n de sa race !
Quel plaisir de réentendre la voix de Maynard, que je n'avais pas revu sur scène depuis 2007 au Canada à Saskatoon. Dès ses premiers vers, j'ai senti ce petit plaisir qui te fait frissonner, le Monsieur sachant toujours aussi agréablement se servir de sa voix suave et enivrante. Et même si j'ai finalement peu écouté ce Eat the Elephant, j'ai vraiment apprécié l'interprétation des morceaux joués en live, auxquels le public était bien réceptif par ailleurs (notamment sur The Doomed et Disillusioned). Et puis exit la petite heure du concert au Transbordeur il y a 14 ans, le groupe a joué une grosse heure et demi, piochant dans son ancien répertoire avec plus ou moins de brio, Orestes, Tres Libras (version remixé, à laquelle j'ai pas forcément accroché) et surtout The Noose et The Outsider qui ont fait tremblé les murs de l'Olympia, le public reprenant les paroles du sieur MJK. A noter la petite déception sur la basse anomarlement peu puissant de The Package, le morceau restant néanmoins magique.
Concernant les musiciens, je regrette la non présence de Josh Freese. Loin de moi l'idée de dire que Jeff Friedl n'est pas bon, j'aime bien son jeu jazzy, mais même si lui aussi sait jouer sur la finesse, Josh Freese c'était quand même le niveau au dessus. Dommage aussi que James Iha soit occupé avec les Smashing Pumpkins... En tout cas, Billy Howerdel nous a gratifié de ses petites touches de mélancolie et de son jeu aérien, le tout vraiment, je le répète, sublimé par la voix de Maynard absolument splendide. Ce dernier a également beaucoup joué avec les fumées et les lumières donnant un aspect fantomatique à sa prestation.
Le groupe repasse le 6 décembre, mais malgré mon plaisir de les revoir, je pense faire l'impasse, la question financière rentrant en jeu.

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Ninkasi Kao, Lyon Novembre 2017

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Théâtre Romain de Plovdiv (Bulgarie), Septembre 2017
On va mettre les choses au clair tout de suite : il s'agit du plus beau concert auquel j'ai assisté. Devin a vu les choses en grand pour fêter les 20 ans d'Ocean Machine en organisant un concert avec l'orchestre philharmonique de Plovdiv pour la première partie du set, consistant en une liste de morceaux choisis par les fans via son site internet (liste que j'ai raté pour l'anecdote), puis une deuxième partie avec seulement le Devin Townsend Project ET JR Harder, bassiste originel du groupe. Un grand moment émotionnel, complété par l'annonce du décès de Marty Chapman, également présent à la batterie sur la galette, et à qui Devin dédiera Hide Nowhere (si je ne dis pas de bêtise).
La première partie aura été parfaite, avec toutefois un léger bémol pour le mixage de l'orchestre philharmonique, que l'on entendait pas toujours bien, le son du groupe étant plus mis en avant, notamment la batterie monstrueuse de Ryan. Il est certain que ce sera corrigé à la sortie du blu-ray, mais c'est un peu dommage, surtout quand on se remémore la beauté extraordinaire (et encore le mot est vraiment faible) d'un Failure, avec son solo et sa montée finale magnifiquement accompagnée par les violons. A pleurer. Dans un autre registre, l'endiablé Bad Devil aura été mon autre claque de la soirée. J'attendais de pouvoir enfin le voir sur scène, j'ai été plus que ravi, le titre se prêtant admirablement à l'exercice ! Cette première partie qui aura également vu des titres comme Gaia, OM, Deadhead ou bien encore Canada (celle-ci aussi je l'attendais !), se finit par, à mon sens le meilleur titre de Devin, Deep Peace, dont la structure classique ne pouvait pas mieux terminer cette setlist.
L'orchestre est alors démonté pendant une demi heure, Devin en profitant pour venir saluer le public venu du monde entier. J'ai croisé notamment des australiens, et des canadiens pour ne citer que des personnes extra européennes.
S'ensuit à nouveau plus d'une heure de musique avec l'intégralité d'Ocean Machine. Cet album est particulier pour moi, puisque c'est le disque avec lequel j'ai découvert Devin Townsend. Et pour le coup, je n'ai pas eu l'impression d'assister à un concert du DTP actuel, mais bien à un concert du Devin de 1997, tant il s'est montré juste et précis durant toute la durée de cette seconde partie. Il était dans sa bulle, solennel et totalement pris par sa musique. Un pur moment incroyable.
Merci Hevy Devy.

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MJC, Rilleux-la-Pape 2017
Le retour de Riverside après la tragique disparition de Piotr Grudziński. Concert particulier par conséquent. Pas de première partie, un groupe qui joue un peu plus de 2h dans une petite salle (où il a fait chaud bon sang !). J'avoue avoir peu écouté l'avant dernier album, et pas du tout celui-ci pour l'instant, mais ça n'en reste pas moins sympa à voir sur scène. C'était un peu plus mollasson que lors de leur passage en novembre 2015, avec un choix important de morceaux calmes,mais les passages énergiques semblaient libérer les musiciens. Mention particulière pour Towards the Blue Horizon, jouée en avant dernière, où Mariusz Duda se lâchait sur sa basse en fin de titre, Piotr Kozieradzki cognant avec force sur ses cymbales et fûts, et Michał Łapaj allant même jusqu'à sauter sur son clavier. Même si le morceau a été écrit du vivant de Piotr Grudziński, le groupe s'adressait clairement à leur compagnon disparu. Très émouvant. Son remplaçant, Maciej Meller, même si il n'a pas le touché magique de Piotr, et qu'il est apparu timide en début de set (Second Life Syndrome) a bien rempli son job. Et c'était cool d'entendre Before en live. Un bon moment avant le rappel.
Par contre, je suis déçu qu'ils n'aient joué aucun morceau de mon disque favori, Anno Domini: High Definition... Je rêve d'entendre un Egoist Hedonist ou Hybrid Times sur scène.

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Le Moulin, Marseille 2017
Ça faisait un peu plus de 4 ans que je n'avais pas revu le bonhomme et sa bande sur scène, la faute peut-être à un Z² auquel j'ai moyennement accroché, Skyblue principalement, qui n'apporte pas grand chose dans la discographie du gus. Et c'est bien sûr avec Rejoice, issu de cet album, que Devin ouvre les festivités... mais voila, y a un truc qui fait que Devin est à part : ce mec respire la joie de vivre sa musique sur scène, affichant un énorme sourire communicatif. C'est ce qui ressort de ce nouveau concert à mes yeux : le plaisir de partager une communion avec ses fans, lâchant régulièrement des conneries (le summum ayant été le rappel avec Ih Ah, le bonhomme interrompant à plusieurs reprises la musique pour balancer un énième truc drôle). Ce type sent la sincérité tout simplement. Et en plus, c'est un PUTAIN de musicien et un chanteur hors normes ! Sa prestation vocale sur Stormbending était tout juste extraordinaire, tout comme sur le dernier morceau de la setlist, Higher. Je suis heureux également d'avoir pu voir Suicide sur scène, ce morceau comportant de sacrés bons riffs et un solo de toute beauté. N'oublions pas également de saluer la prestation globale du groupe, mené par un Ryan Van Poederooyen en grande forme. Bref un très grand moment encore une fois.
Allez, si j'ai un reproche à faire durant ce live, ce ne sera même pas au groupe que je le ferai : les gens vous cassez les c******s avec vos téléphones portables !

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Le Moulin, Marseille 2017
Dire que j'attendais de voir ce groupe sur scène est un doux euphémisme. Je les avais raté en tant que tête d'affiche lors de leur dernier passage en France cet été 2016, c'est donc avec un plaisir certain que j'allais pouvoir découvrir leur musique en live. J'avais même plus de hâte de les voir eux que de revoir Devin. Et malheureusement, j'ai été un peu déçu. Attention ! Pas par la performance globale des musiciens, les mecs sont des bruts et retranscrivent à la perfection leurs morceaux sur scène. C'est des purs malades pour ça ! Non la déception est venu des réglages sonores. C'est simple, la double grosse caisse de Blake Richardson était surmixée et écrasait du coup tout le reste, à commencer par la voix de Tommy Giles Rogers. Ce qui, il faut bien l'avouer, gâche quelque peu une partie de la prestation. Pour le coup, j'ai pensé que ça pouvait venir de l'acoustique de la salle, mais la prestation du Devin Townsend Project dans la foulée, a complétement balayé cette option. Dommage. A revoir en tant qu'headliner, ça ne peut qu'être meilleur. A noter que contrairement à la dernière tournée américaine avec le DTP, où le groupe jouait Coma Ecliptic dans son intégralité, le groupe a fait un patchwork de ses différents albums avec un titre tiré de Colors, 2 de The Parallax II : The Future Sequence, et 3 de leur dernier bébé en date.

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Le Moulin, Marseille 2017
Première partie du Devin Townsend Project, je me suis déjà essayé à plusieurs reprises à l'écoute de ce groupe, mais j'avoue avoir un peu de mal. Pour moi, le groupe gagnerait à raccourcir ses morceaux, pour gagner en intensité. Y a de bonnes idées, c'est même très carré comme musique, mais ça reste globalement monotone par manque de variétés dans les plans. Et puis j'accroche pas vraiment à la voix du chanteur.

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Coopérative de Mai, Clermont Ferrand 2016

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Jas'Rod, Les Pennes Mirabeau 2016

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Jas'Rod, Les Pennes Mirabeau 2016
(première partie Enslaved)

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Arènes de Nîmes, 2016

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L’Épicerie Moderne, Feyzin 2016
Ce qu'il y a de bien avec Russian Circles, c'est qu'on est jamais déçu, avec des ambiances bien maitrisées, des riffs bien puissants secondés par une basse métallique à souhait (mais saturant un poil trop en tout début de concert), et surtout un batteur qui tient le groupe, techniquement (putain mais quelle frappe !) tout comme visuellement. Ce mec tient de Bonham et de Dave Grohl.

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Marché Gare, Lyon 2015
J'avais oublié à quel point cette salle pouvait être intimiste ce qui aide bien avec un groupe comme Riverside. Un son au top, une musicalité impressionnante et puis des musiciens qui plaisantent sur scène tout sourire, c'était vraiment cool. On n'aura pas eu d'Egoist Hedonist dans la setlist (joué lors d'autres concerts), mais ça a tout de même envoyé du lourd avec Hyperactive ou bien encore Escalator Shrine et un super moment de communion entre le groupe et le public sur Discard your fear.
Voila, dorénavant j'ai enfin pu voir le dernier groupe que je voulais voir sur scène et c'était génial. Même le dernier album passe bien. Vivement leur prochain passage.

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L'Olympia, Paris 2015
Concert magistrale, avec les musiciens les plus techniques que j'ai du voir jusqu'à présent. D'une grande précision avec des breaks de fous furieux mené d'une main de maitre par un Robert Fripp sourire aux lèvres devant la qualité de ses musiciens. Un Collins nous gratifiant de superbes solos de saxo (fabuleux sur 21st century schizoid man) et de flute traversière (dont un petit passage de la Marseillaise) ; un Tony Levin égale à lui même (quel puissance sur Starless) ; Jakko Jakszyk qui assure derrière sa guitare et derrière le micro reprenant à merveille le répertoire des différents chanteurs du groupe (sauf Belew) ; et un surtout un trio de batteries MO-NU-MEN-TALE avec Pat Mastelotto jouant d'une baguette main droite, et des percus de la gauche, Bill Rieflin se chargeant également de la partie électronique, et un Gavin Harrison que je trouvais légèrement en retrait jusqu'au final de 21st Century Schizoid Man sur laquelle il nous a gratifié d'un solo de batterie aux petits oignons.
Un concert qui restera dans les mémoires des gens présents, et dont j'ai choisi la pochette du 1ier album pour l'illustrer aucun album n'étant sorti récemment, et puis parce que cette pochette est mythique.

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Théâtre Antique d'Orange 2015
Après la tête en 2011, voici venu le temps de voir le cœur de Pink Floyd. Je n'aurai jamais pensé voir Gilmour un jour, et quoi de mieux qu'un concert dans un lieu antique pour certainement une unique fois.
Concert grandiose alternant ses morceaux solos (découverte en partie de ce nouvel album, la veille de sa sortie, mention spéciale à Faces of stone et the girl in the yellow dress) et ceux de PF. Grosse claque sur l'enchainement d'un furieux Astronomy Domine et du planant Shine on you crazy diamond. Les morceaux tirés de DSOTM sont sublimés avec Us and Them, Money ou encore le superbe Time/Breathe en rappel. Fat Old Sun, unique morceau joué d'AHM, est électrique à souhait et le finish sur Comfortably Numb nous achève avec ses solos venus d'ailleurs.
Il pleuvait hier sur la région, mais il semble que même les Dieux aient décidé de libérer la scène pour un concert qui restera mythique pour ma part, avec des frissons dès la première note de Sieur Gilmour.

/!\ en parlant de concert mythique, 5 jours après concert de King Crimson à l'Olympia !

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Les oreilles du renard, Mirmande (Drôme) 2015
Ça faisait plaisir de revoir le groupe après leur passage sur Viviers il y a quelques années. Le groupe joue moins sur les images, mais plus sur le jeu de lumière, absolument époustouflant et en adéquation avec la musique. Toujours aussi agréable pour les esgourdes et les mirettes.

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Les oreilles du renard, Mirmande (Drôme) 2015
Au delà du fait, que c'était vraiment sympa à découvrir sur scène avec une musique électro couplée à du Yiddish, je m'en rend compte que je n'avais pas vu de groupe sur scène depuis plus d'un an... quand même. (bon par contre, cette année, y a du lourd en perspective avec Gilmour et King Crimson en Septembre)

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Transbordeur, Lyon 2013
TDEP, ou après un 2nd concert, je peux clairement affirmer que ce groupe est le meilleur groupe de rock n'roll du monde sur scène.

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Rock en Seine, Paris 2013
Une set list classique avec tous les tubes du groupe pour une performance énorme.