Vus et revus en 2025

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Cette caméra qui tremble, toute cette haine et cet amour qui transparaissent rien que par un regard, ces décors magnifiques ! Andrea Arnold atteint son pinacle formel

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Monumentale daube, se revendique du réalisme et ne l'est pas pour un sous, n'est qu'une caricature stupide du réel et ce qui rend ce film vraiment détestable c'est que Vinterberg se pense intelligent en pondant ça

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2h40 c'était trop long, Andrea Arnold n'a rien à dire. Hormis les deux scènes de sexe avec Shia LaBoeuf, ce film n'a rien pour lui.

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Elle fait pipi sur un tapis... c'est le beau

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Petite claque esthétique. C'est Werner Herzog dans DayZ. J'ai beaucoup aimé la manière qu'à ce film transformé un bug en quelque chose d'absolument cinématographique et d'une grande pureté esthétique. On quitte assez rapidement le rp ennuyeux pour explorer le rapport entre les joueurs et le jeu, c'est la deuxième force du film

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Le flou c'est l'impossibilité de séparer l'homme de l'artiste... je suis très intelligent n'est ce pas

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Ressemblerais-je à cela quand j'aurais 30 ans ?

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C'était nul. Mention spéciale au moment du garage qui est probablement le truc plus ridicule que je vais voir cette année

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John Woo réussit à sublimer le mauvais goût

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Je me sens seul.

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Littéralement.

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Grosse merde.

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La jeunesse c'est l'universel et je suis devenu maoïste aussi

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J'appellerai ça un film Pinterest.

Ce n'est que l'esbroufe visuelle, une image vide de sens, vide de tout contenu. C'est juste grossier, putassier (la scène de fin tout particulièrement). Et c'est supposément me faire peur ? Me faire ressentir de l'effroi ? Et le film ne ferme jamais sa gueule. Il n'y aucune subtilité. Dès qu'il se passe le moindre truc, la musique part à fond. Histoire de nous faire comprendre à nous, ignare spectateur, que l'on est sensé avoir peur parce que Orlok roule les R et fait hurler les loups. Murnau se retourne dans sa tombe. Et le pire, c'est qu'Eggers semble avoir une affection réelle pour ce film. Est-ce qu'il était obligé de lui faire subir cela ? Il n'y a rien à sauver dedans. Ce n'était même pas un nanar, juste un navet de 2h18. Tellement vide, qu'en fait, il n'y a rien à en dire.

C'est de la masturbation visuelle pour cinéphiles puceaux et les girl goths. C'était mieux avant, du temps du muet.

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Sympathique comédie

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Une proposition véritablement sublime. Le temps s'écoule et ne revient pas, la Chine se modernise (on passe des mineurs de fond au robot d'accueil de supermarché), l'amour se meurt mais les hommes demeurent. Pourtant, l'intrigue tient sur un post-it. Une femme et un homme s'aiment, se cherchent et se séparent. On filme l'errance de la femme à la recherche de son mari (les scènes où elle erre dans les chantiers de démolition sont véritablement sublimes). Ca parle peu. Le film laisse le temps faire son œuvre sous le regard d'une forme hybride, à la fois contemplative, documentaire (presque Wang Bing) et un peu (vraiment un peu) narrative. Si le film raconte une histoire, il ne le fait pas avec des mots mais avec ses images. C'est une plongée dans les deux dernières décennies chinoises, du point de vue d'une femme lambda de Datong avec comme fil conducteur, l'amour et le temps qui passe. Tout se marie parfaitement, sachant qu'il utilise des "chutes" de ses précédents films et des morceaux d'archives pour donner ce film centaure.

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Comédie pas si noire qu'on le dit. Parfois drôle, souvent ennuyeuse et molle.

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Difficile de regarder un film pornographique après ça.

Étrangement, les scènes de sexe réels (c'est-à-dire pas pour les films) sont les plus beaux moments du documentaire parce que, par contraste, elles dégagent une grande tendresse (surtout celle en rase campagne) face à ce qui n'est que simulacre.

L'expression de malaise de Puceau me fait rire et me peine en même temps. Je demande bien ce qu'il est devenu

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Eastwood n'est peut être plus dans ses grandes heures (encore que je ne crois pas qu'il ne l'a jamais été) mais il prouve qu'il peut toujours faire de bons films. C'est à la fois un film construit autour de personnages qui vont voir leur compas moral de faire tordre et accepter de le tordre au nom de la justice, de la politique ou de leurs intérêts. Et un film de procès qui dresse habillement la liste des injustices et problèmes qu'engendre le système judiciaire américain

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Le film m'a beaucoup fait penser au Trois samouraïs hors la loi mais avec une fin plus positive.

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Un rêve fiévreux qui ne va pas me laisser un souvenir impérissable

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Déçu. J'en attendais bien plus. Je n'ai eu droit qu'à un téléfilm avec peu de tension malgré une bonne idée de départ et l'absence total de superflu à l'intrigue.

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Un thriller érotique mou, qui ne traite même pas des thématiques dont il cherche à parler. Le mot érotique est fort. Il n'y a rien. Seulement des gros plans sur des visages qui jouent l'orgasme. A peine un bout de téton. Tout est propre. Ce n'est même pas subversif.

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Autant, je trouve que la thématique de la reconstruction, de la justice et du stress post-traumatique sont bien traités. Autant, j'ai encore le même problème qu'avec The Hitch-Hiker, j'ai vraiment l'impression de voir un téléfilm, avec des qualités, mais un téléfilm quand même.

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Moi *cherche à me détendre avec un film court*

Le film en question :

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Sympa mais sans plus

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Je suis resté froid devant ces 2h34. Le style de Du Welz ne m'émeut pas, le film est assez ridicule par moment.

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Drôle et touchant mais la fin est trop didactique et ça m'a sorti du film.

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Meh. Je suis complètement passé à côté. J'ai eu l'impression de voir en moins bien ce que j'ai déjà lu un paquet de fois sur la brutalité du capitalisme à l'aube du XX° siècle. Je n'ai pu ressentir qu'un profond ennui.

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Paradoxalement, je trouve ce film visuellement très beau. Presque tous les plans sont parfait. C'est d'une grande simplicité visuelle, ça ne va pas chercher dans la composition complexe, c'est épuré, rendant chaque scène touchante (les scènes sur la plage ou la scène où elle se peint à l'aide d'un miroir posé sur le pubis... le reflet, les draps blancs et la chair nue, ça donne un ton chaud et pur assez unique je trouve). J'ai été ému par une histoire simple qui ne va jamais chercher dans le complexe ou dans une narration vue et revue. J'ai eu le sentiment de voir un amour d'été, quelque chose de profond et d'intense mais où la séparation est inévitable. Et pour ça, chapeau. En revanche, le film est parfois assez ridicule (la masturbation d’aisselle) et un poil naïf peut-être mais c'est ce qui le rend davantage touchant.
7.5/10