Vus - Eté 2013

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"De la vacuité cinématographique en 7 minutes".
Et dire que takeshi29 m'avait prévenue.

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Ou le regret de l'avoir re-visionné.

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Le degré 0 de la nullité.
C'est même devenu une référence.

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Un point positif : le film ne dure qu'1h.

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Grotesque.

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Ne vaut pas la peine qu'on attende 23h pour le visionner.

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Sans intérêt.

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Je ne résiste jamais à une adaptation de Jane Austen.

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Je ne me suis pas retrouvée dans les critiques.
De l'image de soi.

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Touchant.

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Une très belle surprise.

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Bien sûr, la mise en scène est belle. On pourra également poser sur la toile toutes les interprétations qu'on veut, mais le jeu d'Auteuil et Binoche est désastreux et ces plans fixes (ces putains de plans fixes) poussent l'ennui à son paroxysme. A revoir, sans doute.

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La prestation de Ben Stiller n'est pas si terrible que ça, et la scène où Gus et Jerry se projettent, complètement défoncés, contre les vitres d'un building est mythique.

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Je n'aurais du tirer de l'oubli ce film de F. F. Coppola ; sans être franchement déplaisant, il n'a pas grand intérêt.

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Les Smith sont de retour.

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Enfin.

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6,5

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Quelqu'un a dit : "Il y a certains jours où j’ai l’envie irrépressible de me plonger dans un bon vieux film français d’une époque où ça ressemblait encore à quelque chose, où les acteurs savaient jouer, les cinéastes filmer, les dialogues tomber juste et ou on avait encore l’impression que l’histoire était indispensable à l’œuvre."

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Une romance aux airs de "Ma Sorcière bien aimée". C'est gentillet, mais ça n'emballe pas. Et les faux sourcils de Kim Novak sont ridicules.

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Une douce légèreté portée par la délicieuse Audrey Hepburn.

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Loin d'être un film bavard, comme j'ai pu le lire sur la page dédiée au film, 'Soudain l'été dernier' est porté par des personnages-narrateurs (Mrs Venable vs Catherine Holly sublimement incarnées par K. Hepburn et E. Taylor) dont le récit métadiégétique* emballe le spectateur dans un spectable qu'il soutient mais dont il est impuissant. Le caractère performatif de la narration a quelque chose d'étouffant tant il est rendu vivant par l'excellente interprétation (et le corps) d'E. Taylor : Catherine fait, à proprement parlé, surgir ce qui s'est passé, matérialisé par cette coupure de l'écran en deux. Nous sommes hypnotisés par l'irruption de ces images qui s'entrechoquent aux violentes émotions exorcisées par sa narratrice. Je suis encore prisonnière de ce film, de cet accouchement douloureux permis par la présence déjà oubliée (et c'est là sa force) du Dr Cukrowiez (Montgomery Clift).

*je regrette parfois de connaître de tels mots tant il est difficile de s'en séparer lorsque le langage (mon langage) manque de créativité.

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Hasard / Surprise