Witch You Were Here

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Du beau boulot! Du moyen-âge à l'inquisition, sorcières, diables, érotisme, torture....

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Et la sorcière en Bava ! Un film beau esthétiquement où le noir et blanc met en valeur les traits, les cryptes et les paysages gothiques. La première partie du film nous embarque dans un conte macabre, et puis ça se gâte au vu du scenario assez faible et on nous assomme avec des séquences excessivement explicatives. Ce premier film de Mario Bava vaut quand même le détour pour son imagerie fantastique.

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Ambiance gothique avec des british en Amérique. Un petit film qui installe bien son atmosphère brumeuse, surtout dans ce petit village à l'aura diabolique soulignée par une belle photography. Il y'a un petit côté simpliste et trop répétitif parfois, et certaines scènes font vraiment penser à Psychose alors qu'il est sorti la même année (coïncidence apparemment), mais le film est tout à fait recommandable aux amateurs de sorcellerie, de malédiction et de brouillard... et puis il y'a l'inquiétant Christopher Lee qui fait coucou :)

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Ma sorcière bien-aimée. Film très sympathique qui raconte une histoire de sorcellerie implantée dans les années 60 britanniques. Une idée qui oppose l'esprit rationnel de l'homme aux élucubrations de la femme (dans le contexte de l'époque)... Et qui aura raison à la fin, hein?! En tout cas, il est intéressant de suivre la transformation de "I do not believe" à "I do...believe". Le plus intéressant reste toutefois cette belle mise en scène qui nous embarque dès le début du film (on en gardera de belles séquences, celles de la plage en tête), ainsi qu'un rythme soutenu qui nous garde accrochés malgré la petite déception sur la fin un peu trop chargée.
Et merci au monsieur de l'introduction qui a jeté un sort protecteur aux spectateurs ^^

"You may doubt the effectiveness of these spells, but through every civilization, people have believed in witches. Could they all be wrong? I don't think so."

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Une belle atmosphère d'horreur gothique se dégage de ces longs cheveux de la mort. Il y'a tout ce qu'il faut: La malédiction, le bûcher, le château et sa chapelle creepy, et bien sûr Barbara Steele... Il y'a pourtant aussi des choses qui ne vont pas: le doublage terrible, un plot assez faible et un ventre mou qui fait croire que le film dure trop longtemps. Sympathique quand même dans le genre et je dis chah aux pervers sadiques.

"I will haunt you to your grave !"

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Le village damné. Mario Bava nous régale avec un conte gothique aux visuels prenants dans des cadres magnifiques, avec des merveilles de couleurs, le tout dans une belle ambiance brumeuse et cauchemardèsque. Le scénario n'est certes pas le plus original et les acteurs pas très convaincants, et pourtant on se perd volontiers dans les ruelles embrumées de ce village perdu, ou à l'intérieur de cette villa fantômatique, à la poursuite de la malédiction vaporeuse de Operazione paura.

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Petit conte folklorique soviet qui pose son ambiance et qui vire vers un fantastique assez inattendu dans un final délirant. Grosse partie déjà réussie grâce au décor de la chapelle. Buvons un coup, les yeux écarquillés devant Vij (coucou vilaine créature).
+1 pour le folklore

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Moi je suis pour l'exécution des sadiques en tout genre. C'est la réflexion que je me fais à chaque référence à l'inquisition. Et ce cher Witchfinder General le vaut bien, un homme ambitieux qui a trouvé le moyen d'assouvir ses désirs (sexuels et meurtriers) avec un pouvoir factice, et en plus on le paye... Vincent Price, emotionless, l'incarne très bien. Le film est bien rythmé, on a la panoplie des "interrogations" avec les personnages détestables qui vont avec, la population irrationnelle, le hunt and revenge, et avec un petit coup d'œil sur la guerre civile anglaise.

"They swim... the mark of Satan is upon them. They must hang."

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Tout en subtilité !

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Bon j'ai une grosse envie de cramer de l'inquisiteur là !!! Film tchécoslovaque s'inspirant de vrais procès pour sorcellerie avec une inquisition que rien ne peut arrêter. Apparemment allégorie des parodies de procès communistes, ce film hérisse le poil et ne laisse pas indifférent tant la mécanique et l'exécution formelle sont soignées.

Encore une dose de f*** l'Humanité ^^

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Intense et baroque, déchaînement artistique et hystérie libératrice pour signaler le pouvoir de manipulation, parler d'amour et de haine et passer de la vertu au vice, ou inversement. Les Diables sont partout, l'espoir nulle part... Burn ! Burn ! Burn !

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Segment 3: Sweets to the Sweet. Meilleurs segment de ce petit film à sketch de la Amicus, avec un bon Christopher Lee et une enfant qui joue de la sorcellerie :)

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Le giallo des champs. Bon déjà, le titre français je ne sais pas où ils sont allés le chercher mais alors rien à voir. Fulci nous offre un thriller de campagne avec fausses pistes, multiples suspects, superstition et meurtres glaçants. Même si, comme d'habitude, les acteurs ne sont pas toujours "habités", certaines scènes sont vraiment réussies. Et une petite taloche à l'Eglise catholique pour couronner le tout ;)

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Expérimental-érotique-psychédélique et bien barré avec des influences visuelles diverses. Il y'a de très belles séquences et d'autres assez éprouvantes. Mais alors la fin a fini d'achever mes capacités d'enchaînement o_O
Une expérience bizarre qui mérite un coup d’œil prévenu ;)

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Angoisse haute en couleurs !!!

(Trilogie des trois mères)

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Ah non mais ça ne voulait rien dire là Dario... On est loin de Suspiria.
Au moins certaines mises à mort sont assez drôles et créatives :D

(Trilogie des trois mères)

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Sous le genévrier en pleurs. Un conte cruel au noir et blanc onirique sur les terres d'Islande. Le vent souffle et la mer se brise, la superstition rencontre la sorcellerie, la dureté côtoie la beauté et la magie opère dans un murmure.

"...but he knew what the birds knew."

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Of Mice and Witches. J'imagine que ça devait être assez cool de découvrir ce film étant enfant. Dès le début on est happé par la desciption de ces sorcières terrifiantes, avec la belle idée des tableaux particulièrement appréciable. Ensuite, on entre dans une partie complètement loufoque, et on suit cette aventure drôle et effrayante avec des yeux d'enfants. Sous les manettes de Nicolas Roeg, avec des maquillages réussis et une high witch horrible (Anjelica Huston), on passe un bon moment devant The Witches et on oubliera son rythme inégal et sa toute fin embellie.

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L'effet caméra réaliste a laissé sa trace sur moi à l'époque !

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Il y'a des scènes vachement réussies et d'autres un peu moins, mais je trouve que le film est en accord avec ce qu'il propose.

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Belle atmosphère et cette immersion dans la vie d'une famille et de ses croyances est fort appréciable. Le jeu avec les enfants est aussi un grand atout du film.
La dernière séquence m'a paru un peu too much. J'aurais préféré que le film s'arrête une séquence avant, plus mystérieuse.

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Bouh bouh bouh ! Bien dommage car le début promettait un mystère alléchant. Malheureusement ça part un peu en cacahuètes et le film s'embourbe dans des scary noises, du bla bla, et au final ça ne résout rien... La fin s'emballe et tout devient de moins en moins subtil. Même le dernier truc de la dernière scène, je le sentais venir à des kilomètres. Enfin bon, pas trop convaincue -_-
Par contre la Jane Doe joue très bien son rôle :)

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Étrange film estonien au noir et blanc mystique, où les légendes se croisent. Des influences diverses: Faust, loup-garou, sorcière, Roméo et Juliette... Des outils avec une âme, des âmes mortes au sauna, des idées saugrenues pour duper la peste. Un beau folklore nordique (et chelou), mais du mal quand même à tout suivre... Je n'avais sûrement pas les bons codes. Belle découverte quand même, surtout pour certains plans superbes.

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Une façon de résister contre les démons inquisiteurs, en jouant à leur jeu, en se jouant d'eux, en dansant frénétiquement autours d'un feu sauveur, et puis de s'envoler, libres !

"There is nothing more dangerous than a woman dancing."