On attendait beaucoup du tome 2 : l’intrigue qui apparaît à la fin du premier livre nous avait laissée en haleine. On a compris que les personnages font un rêve commun et que Faustine en est le leader. Dans ce second volume, on en apprend plus sur le personnage de Zapruder, génie scientifique à l’origine de ce simulacre virtuel, et quels sont ses objectifs finaux. Faustine est un personnage attachant. On évolue entre le Paris du Second Empire avec elle, et cette envie de connaître le (ou les) meurtrier(s), et le monde d’aujourd’hui où tout est dirigé du laboratoire C.I.T.E.. Un monde virtuel qui demain pourrait devenir réel … oui, mais à quel prix !!!
Le rythme est plus soutenu que dans le premier tome. Des lenteurs se glissent quand même par-ci par-là et il faut les dépasser pour arriver au dénouement final ! Un peu laborieux donc par moment et c’est dommage car l’idée est originale. C’est un dyptique mais la fin peut laisser envisager une suite …