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Adrien DLP
342 heures dans les Grandes Jorasses

1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Bruno Hibou
342 heures dans les Grandes Jorasses

1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Doctorspot
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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Edward Benz

a attribué 8/10 au livre

et l'a ajouté à sa liste

Livres de dahu

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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Gaëtan Baron
342 heures dans les Grandes Jorasses

1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Azur-Uno

a attribué 7/10 au livre

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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

lartunz
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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Benjamin_Tudoret
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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

upheavals
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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Nonmanon
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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

MonsieurLee

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et lui a attribué 9/10

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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.

Icomeforyou
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1973 • livre de René Desmaison

Résumé : Un drame où le temps ne se compte plus en jours mais en heures... Le 11 février 1971 : René Desmaison entreprend avec Serge Gousseault une grande première hivernale sur la face nord des Grandes Jorasses : la voie directe qui mène au sommet, la Pointe Walker (4 208 m). Dès les premiers jours, l'ascension se révèle difficile, mais les deux compagnons sont l'un et l'autre des grimpeurs au palmarès éloquent. Peu à peu néanmoins, leur progression se complique. Le 15 février, à 300 mètres du sommet, les deux hommes n'ont plus que deux jours de vivres. La météo s'assombrit, la neige tombe, les pitons viennent à manquer et les cordes sont endommagées. Au sixième jour, la fatigue s'installe. Désormais, chaque mètre gagné est devenu un combat. Le froid glacial des bourrasques a produit ses effets : les mains enflent, celles de Serge Gousseault démesurément. Bientôt, la peau partira en lambeaux. Le drame se noue. Impossible de redescendre. Ils n'ont plus qu'une seule solution pour survivre : sortir au plus vite de la paroi. Serge Gousseault s'épuise, il va mourir au 12e jour.