Comment faire pour se reconstruire après avoir vécu une douleur aussi déchirante que la perte d’un enfant en cours de grossesse ? Dolores décide de partir se réfugier dans la maison vide de ses parents en région. Là-bas, elle va pouvoir compter sur l’aide de la petite voisine d’en face, Olivia, et de la vieille madame Labelle, son ancienne gardienne, pour faire le deuil de Céleste.
Difficile de parler d’Après Céleste avec des mots justes ; la lecture de ce roman m’a chamboulée. Les lecteurices se retrouvent plongé·e·s dans la réalité de Dolorès, au cœur de sa souffrance la plus intime, et mon cœur s’est de nombreuses fois serré. Mais ce roman c’est aussi une superbe histoire d’amitié entre trois générations de femmes, pleine de douceur et de merveilleux. On en tourne la dernière page avec un sourire apaisé et une sensation de réconfort cotonneuse.