Au pays de mes histoires
Fiche technique
Auteur :
Michael MorpurgoGenres : Roman, JeunesseIllustrateur :
Peter BaileyDate de publication (pays d'origine) : Langue d'origine : AnglaisTraducteur :
Diane MénardParution France : novembre 2007Éditeur :
Gallimard JeunesseISBN : 9782070611942, 9782070611942Résumé : «Après avoir été ambassadeur du livre pour enfants, j'ai souhaité réunir dans un recueil mes meilleures histoires - la plupart écrites au cours de ces deux années -, en y mêlant des réflexions sur le métier d'écrivain ainsi que sur mon travail de conteur.Je me disais qu'un tel mélange répondrait à bien des questions. Je vous souhaite autant de plaisir à le lire que j'en ai eu à l'écrire.» Généreux, authentique, émouvant Michael Morpurgo est aussi un merveilleux auteur, qui raconte ici ses plus belles histoires.Michael Morpurgo est né en 1943 en Angleterre. ÿ vingt ans, il épouse Clare et devient professeur. En 1982, il écrit Cheval de guerre, qui lance sa carrière d'écrivain. Il a, depuis, signé plus de cent livres, récompensés de nombreux prix et qui font de lui l'un des auteurs les plus célèbres de Grande-Bretagne. En 2006, Michael Morpurgo est devenu officier de l'Ordre du British Empire pour services rendus à la littérature. Il défend la littérature pour la jeunesse avec énergie et générosité et a créé la fonction de Children's Lauréate, mission dédiée à la promotion du livre pour enfants.L'illustrateurPeter Bailey est né en Inde. Il habite aujourd'hui près de Liverpool en Angleterre. Après avoir suivi des études d'art à Brighton, il a enseigné pendant plusieurs années. Il a illustré de nombreux livres pour enfants parmi lesquels Le dragon des mers, de Dick King-Smith, Le poisson de la chambre 11, de Heather Dyer et les aventures d'Akimbo, d'Alexander McCall Smith (Folio Cadet).Extrait du livre :Rencontre avec Cézanne Je ne me rappelle pas pourquoi ma mère avait dû aller à l'hôpital. Je ne suis pas sûr qu'elle me l'ait jamais dit. Elle m'avait expliqué qu'après l'opération, elle aurait besoin d'un mois de repos complet. C'est pourquoi elle avait dû s'arranger pour