Si certaines nouvelles pourront êtres oubliées, d'autres sont excellentes et marqueront les esprits, à l'instar de Trois pièces dans un patio d'Elsa Osorio — la seule qui évoque la dictature et ses disparus. J'ai particulièrement apprécié, avec l'envie de découvrir dans une traduction française les autres oeuvres de leurs autrices, Orange ,c'est joli comme couleur de Verónica Abdala, L'homme qui se tait d'Inés Fernández Moreno, et Onzième étage de Gabriela Cabezón Cámara.
Critiqué pour Un Dernier Livre : http://www.undernierlivre.net/buenos-aires-noir-asphalte/