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Comment habiter la terre

livre de Yona Friedman

Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

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Comment habiter la terre

livre de Yona Friedman

Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

RMjuice

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Comment habiter la terre

livre de Yona Friedman

Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

zgd

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livre de Yona Friedman

Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

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livre de Yona Friedman

Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

komedar

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Amandiers nus

Comment habiter la terre

livre de Yona Friedman

Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

Maxime De Crocket
Comment habiter la terre

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Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

Vishnou

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Matthieu Lemarié
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Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.

Maram_

a attribué 9/10 au livre

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Résumé : Ce petit livre, paru à l’origine sous forme ronéotée, sommairement broché et avec une couverture en papier kraft, a été publié pour le première fois en 1976, en version bilingue français-anglais, à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur l’Habitat Humain (Vancouver), à partir d’un manuel écrit et dessiné par Yona Friedman dans le courant des années 60. Il a été réalisé, à l’époque, avec le concours du ministère français de la « Qualité de la Vie », qui a existé de 1974 à 1981, et qui fut remplacé par un secrétariat d’État de 1983 à 1984, puis définitivement abandonné après 1984, pour se fondre dans le premier ministère de l’Environnement. Il portait la mention suivante : « Le but de la brochure est d’amener le lecteur à reconsidérer la place de l’homme-habitant dans un écosystème et de l’amener à réfléchir, dans un contexte de pénurie ou de crise durable ou temporaire, à des solutions de survie de son espèce. Si le langage utilisé permet de stimuler cette réflexion, alors le but de cet ouvrage sera atteint. » Et il était précisé : «Toute reproduction non commerciale de ce document est encouragée. » Quarante ans plus tard, dans un contexte de crise non plus durable ni temporaire, mais endogène, nous le reproposons aux lectrices et lecteurs de ce nouveau siècle qui pourront constater que les problèmes alors évoqués par Friedman, comme les solutions qu’il proposait, sont très exactement ceux auxquels nous sommes confrontés encore aujourd’hui, et celles que, sous d’autres formes peut-être, il serait urgent de prendre en compte si l’on veut continuer d’habiter la terre.