Un roman psychologique qui vous emmène Dans les ténèbres d’un esprit pervers.

Mark Sexton vient d’acquérir une maison. Mais avant de s’installer, l’entrepreneur chargé des travaux lui signale un problème avec le mur mitoyen de la maison voisine. En voulant se rendre compte par lui-même, Sexton donne quelques coups dans le mur et les briques tombent les unes après les autres révélant un visage…
Une femme et un enfant sont prostrés dans la cave du voisin, un vieil homme sénile. Hospitalisée, la jeune femme reste muette. Impossible pour les enquêteurs de savoir qui elle est, depuis combien de temps elle était enfermée dans cette cave, qui est cet enfant et surtout qui était son geôlier.
Une affaire complexe qui va mener l’inspecteur Fawley Dans les ténèbres d’un esprit pervers…

Après Sous nos yeux, Cara Hunter nous plonge Dans les ténèbres, plus complexe qu’il n’y paraît en quatrième de couverture.
Un deuxième roman un peu long à se décanter. L’auteure nous dirige vers un suspect, puis un autre puis revient au premier, d’où l’impression d’un manque de rythme voire même de casser le rythme de sa lecture.
Les 100 dernières pages sont dans l’intrigue et le dénouement de ce nouveau roman. Avec un épilogue qui pourrait, pourquoi pas donner l’occasion à l’inspecteur Fawley et son équipe de croiser à nouveau le chemin de certains personnages présents Dans les ténèbres.