Un livre qui se passe au Japon et qui plus est à Tokyo ne pouvait qu’attirer mon attention. Et puis en cette période estivale, j’aime changer mes habitudes de lecture en lisant des livres plus “légers” qui parle d’amour, de vacances ou autres histoires du genre. Fini donc ma période dystopique, SF et bienvenue aux histoires d’amour !
Je me suis donc lancée dans Dernier été à Tokyo que j’ai dévoré en un après-midi. Je ne peux pas dire que j’ai adoré ce roman même si j’y ai trouvé mon compte. C’est toujours un plaisir d’entendre parler de mes lieux préférés de Tokyo qui me manquent tant. En plus, y vivre une histoire sympathique j’adhère ! Je ne m’attendais pas forcément à cela (oui des fois je ne lis pas forcément les quatrièmes de couverture et je suis attirée par un titre et/ou une couverture) mais se fut quand même une bonne surprise même si j’avais espérer peut-être un peu plus de flirt et de développement sur l’histoire des deux personnages principaux.
Ici, on se retrouve avec toute la partie existentielle du fait de déménager, de partir loin de tout, de quitter l’endroit où l’on se sent chez soi mais également la difficulté des familles recomposées. Bien entendu, l’histoire existe et est belle et bien là. En même temps, elle reste assez triste vu la durée courte qu’ils ont avant que notre héroïne parte de Tokyo. On se sentira frustré à la fin d’ailleurs. Est-ce que l’on peut espérer une suite ? Aucune idée !
En résumé, Dernier été à Tokyo est un bon roman qui se lit vite et facilement et qui nous fait nous évader au pays du soleil levant avec des personnages sympathiques et une histoire simple mais efficace qui sait toucher des sujets importants ! Une bonne lecture pour cet été !