Les homosexuelles ont des droits, les putes non
Dans cet essai l'auteur analyse, à travers la loi de pénalisation des clients de prostitués, ce qui semble être une nouvelle étape vers une société puritaine, ouvertement androphobe et totalitaire dans sa conception de la société et des individus.
In fine le néoféminisme y est aussi décortiqué.
Les prostitués, selon la thèse développé et que je partage, ont été sacrifié par pur idéologie, chose paradoxal partagé avec les extremistes cathos(le nid) qui sont contre le mariage homosexuelle.
Mais une alliance de circonstance contre tout ce que représente la prostitution(l'auteur fait la distinction entre esclavage et prostitution, qui elle est choisit) comme liberté de corps et d'esprit ne pouvait qu'être bienvenue.
Les prostituées femme(les hommes prostitués et les femmes clientes ne collant pas à l'idéologie victimaire voulu) subissant une double peine, celle d'être femme et donc victime perpétuelle, et celle d'être nié en temps qu'individus et citoyens, infantilisé, dénué de toute réflexions, jugé comme des délinquantes, des parias à reconditionner.
Les néoféministes ne voyant la vie que sous le prisme de la domination, et de la victimisation teinté d'une haine envers l'hétérosexualité, dont le projet de pénalisation n'est que le début.
S'ensuit la pornographie et certaines vont jusqu'à qualifier le mariage, hétéros of course, de violence envers les femmes.
En fait seul une sexualité homosexuelle est toléré, une sexualité jugé parfaite enlevé de toute sa part d'altérité ou "d'impureté". On rejoint là les théories marxiste d'une société parfaite qui finit inévitablement en dictature.
Bien qu'on ne sache pas où s'arrête ce délire de rapports dit égalitaire.
La sexualité a été transformé en lutte des classes et des sexes.
Les néoféministes considérant les femmes comme une classe sociale, la sexualité hétéro un projet de domination d'hommes, et si ils sont blanc c'est encore mieux. L'affaire de Cologne est en cela révélateur.
Durant la lecture à travers de nbs exemples assez surprenant, on découvre que le god michet lui est approuvé.
On apprend aussi à travers des propos tenu, que certaines ont dans ce combat un désir de pénis, trouvent scandaleux que les hommes puissent naitre naturellement avec un pénis, niant au passage la sexuation des femmes qui pour être libre devrait être des hommes.
Radicalité, psychiatrie et passage à l'acte semblent être lié. Une des thèses du livre.
Un système hygiéniste sécuritaire infantilisant.
Une partie du livre analyse le néoféminisme avec noms et concepts, les thèses, mouvements du début jusqu'à maintenant.
Les personnes s'intéressant à ce sujet ne seront pas dépaysé, y trouveront même quelques infos ayant pu leur échapper.
On y apprend que la thèse de l'élimination de l'homme est une réalité, certes marginal, mais bien là. Qui s'infuse, on peut le voir à travers toute les actions actuels menés du "féminisme", ayant la bénédiction du pouvoir.
Le programme Scum en est le parfait exemple, visant à l'éradication des hommes, monté par Valérie Solanas qui tentât d'assassiner Andy Warhol.
Bien que cette dernière était jugé psychologiquement malade, son "but" est prit très sérieusement par de nbs néoféministes agissant de manière moins extremes, plus prudemment, visant par les sanction et la lobotomisation des têtes ou l'ingénierie sociale notamment promu par les gender theory, à tenter de détruire ce qu'elles ont en horreur, cad l'hétérosexualité et surtout les hommes et femmes libre vivant leur sexualité de manière non idéologique.
L'auteur plonge profondément dans les thèses et courants néoféministe, ce qui est l'un des points fort de l'ouvrage, qui ont amené cette loi.
La suite du livre traite de la prostitution, notamment non officielle, de l'esclavage sexuelle, et divers sujets ayant un rapport avec la sexualité, les rapports des individus à la sexualité dans la société. Très intéressant.
Pour finir sur une réflexion sur la liberté, l'émancipation sexuelle, avec à l'appui des réflexions menés par des psychiatres, philosophes.
Le style est parfois en "surrégime", comme un spectacle de plus de 2h de Pierre-Emmanuel Barré(excellent dans le style chroniques) mais se laisse toutefois lire le plus souvent agréablement.
Enormément d'index, peut être même un peu trop. Il y en a à chaque pages. Trop documenté à mon sens.
Le livre est volontairement à charge, ce qui peut déranger parfois, et surtout destiné aux déjà convaincu du danger du néoféminisme/féminisme radical.
Les personnes voulant étudier, ou comprendre la mutation d'une partie du féminisme, les implications dans la société ne trouveront pas, à mon avis, là un livre satisfaisant.
Une petite réflexion personnel sur la prostitution, mise en "spoil", afin de ne pas interférer avec la critique du livre:
La parole des principaux intéressés n'a pas été écouté(femmes, hommes et trans ayant choisit la prostitution), mettant dans le même sac esclavage sexuel, proxénétisme et prostitution choisit, relève de la malhonnêteté intellectuelle délibéré, ou pire l'idéologie moralisatrice, qui ne peut être que du fascisme, même soft.
Tout le monde est contre la traite d'être humains, le choix, la liberté de son corps tant que ça ne porte pas atteinte à la personne ou aux personnes concernés n'a pas à être contrôlé par un état qui ne sait plus quoi faire pour masquer l'inertie sur les grands projets de société, et les promesses non tenues des "élus".
Le fait de ne pas parler de la prostitution masculine montre la volonté idéologique des féministes radicales qui ont parasité ce sujet de société, difficile d'expliquer en quoi une société patriarcale peut amener des hommes à se prostituer, et des femmes à avoir recourt à des prostitués. Va t-on interner aussi les femmes qui partent dans les iles se payer des jeunes locaux pour les vacances?! Ou seront elles considéré comme étant des humanitaires?!
On ne parle que de l'homme, comme d'un être malsain à reconditionner absolument, on stigmatise via cette loi les prostitués et les femmes ayant choisit librement ce métier, pas anodin, mais choisit. On cristallise encore plus la société.
Les assoc' tirent la sonnette d'alarme, les syndicats de policiers disent que cette loi est totalement absurde, personne ne les écoute.
Ne rien entendre de la colère qui gronde. Prétendre s'immiscer, sous prétexte de bons sentiments, dans tous les domaines, même les plus intimes, de nos vies quotidienne. Pénaliser, enfin, les comportements jugés non conformes à l'idéologie dominantes. Voilà le nouveau visage du véritable totalitarisme.
Le féminisme radicale, c’est le Tea Party , la stupidité, le fascisme. C’est certainement pire que le machisme. Obama fait l’éloge d’une député “belle femme”, et c’est un tollé, et il a dû s’excuser : on en est là ! Ca suffit A bas le féminisme réac, paravent des frustrées de tout poil et qui jouent avec le feu.
Les féministes radicales veulent détruire la sexualité tout court pour arriver à leurs fins égalitaires.
tellement évident que cela mène à un échec assuré ! On reparlera sérieusement de la liberté sexuelle des femmes le jour où elles auront leurs propres bordels, le jour où les clubs échangistes auront autant de femmes que d’hommes.
Ce féminisme n’est pas un féminisme : c’est le paravent de la pire ldeologie puritaine qui a trouvé une peuplade assez crédule pour la manipuler.
Le gouvernement défendait bec et ongle la liberté sexuelle durant la campagne du mariage pour tous, le droit de chacun de disposer de son corps, etc.
Les prostituées revendiquent le droit de travailler et donc d'être payées en retour. C'est la nouvelle hypocrisie de la gauche "bobo" de stigmatiser les hommes et les femmes qui auraient recours aux charmes de ces Dames.
Le féminisme radicale n'est que pure misandrie ; la haine du masculin en est désormais le seul moteur et l'envie de détruire purement et simplement l'homme l'unique projet. Sexiste et sectaire, il avance comme les pires mouvements de notre histoire, et suscite chaque jour davantage de peur à s'y opposer. Lisez les textes d'Andrea Dworkin, Kate Millet, Germaine Greer et autres, ça informe beaucoup.
La socièté a reconnu l'existence légale des homosexuels et lesbiennes avec le mariage, eux qui furent stigmatisés persécutés culpabilisés et sans statut légal social durant des siècles.Une grande solidarité devrait se lever pour retirer les prostituées de leur no-mansland social et les faire enfin exister légalement, car le phénomène reclus encore plus dans la misère et la peur ne se tarira pas. Si la gauche, hors genre "gouvernement du vice et de la vertu", veut faire une loi sur la prostitution la seule solution humaine et intelligente c'est de les faire sortir de l'underground stigmatisés et méprisés de fait,les libérer de leur peur et de leur honte sociale (car on n'annulera jamais le phénomène qui entrera encore plus dans la misére ) de légaliser et encadrer et donc de leur donner un statut social légal pour les personnes adultes qui l'ont choisi librement enfin reconnues et à respecter: cotisations, retraites etc..de les secourir socialement si elles veulent en sortir .
De plus si on tentait de les racketter ou de les "proxénétiser" elles pourraient ainsi porter plainte immédiatement à la police afin d'arrêter le ou les individus, très efficace ,tout comme quand on est agressé ou cambriolé. Ensuite traquer impitoyablement les reseaux proxénétes qui exploitent les femmes venues de l'Est ou de l'Afro-Maghreb. Là la gauche veut nous faire une loi inquisitoriale à la Saint Louis grand pourfendeur en son temps de la prostitution pour des raisons "religieuses", aujourd'hui clairement idéologique de Tartuffes qui se servent souvent en caché d'escorts -girls mille fois plus discrétes que la prostituée lambda, peu de femmes minoritaires contre l'opinion génerale qui ont la haine de la prostitution pour diverses raisons souvent un transfert ou une impériorité ...pour imposer son point de vue aux autres. Sans compter des intégristes religieux masqués ou idéologiques en lobbies ou en parti .