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Désorceler

livre de Jeanne Favret-Saada

Résumé : « Le jour où un ancien ensorcelé m'annonça que j'étais "prise", que mes symptômes et l'état de ma voiture en témoignaient à l'évidence, et qu'il me demanderait un rendez-vous chez sa désorceleuse, Madame Flora, j'en fus presque soulagée. »L'anthropologue et psychanalyste Jeanne Favret-Saada rapporte dans Désorceler la suite de ses travaux sur la sorcellerie dans le Bocage de l'Ouest français. Dès ses premiers livres publiés chez Gallimard, les travaux de Jeanne Favret-Saada ont frappé les esprits en ce qu'ils s'opposaient à la doxa anthropologique ainsi qu'à un usage conventionnel de la psychanalyse : l'auteur s'était en effet laissé impliquer dans les processus qu'elle étudiait et, bon gré mal gré, elle était devenue désorceleuse.Presque trente ans ont passé et la démarche comme le travail de l'anthropologue n'ont rien perdu de leur originalité. Le présent livre est donc un retour sur les matériaux relatifs au désorcèlement - description des éléments empiriques, étude du désorcèlement comme thérapie du collectif des habitants d'une ferme, description de l'invention de cette thérapie au cours du XIXe et du XXe siècle, illustration du travail (très inquiétant) de Madame Flora, magicienne-thérapeute, etc.-, et pose la question de savoir comment le fait d'« être affecté(e) » permet paradoxalement de construire un discours scientifique ... ici sur la sorcellerie.Bref, un ouvrage...envoûtant, accessible à tous et, au sens propre, extra-ordinaire.Jeanne Favret-Saada est anthropologue. Elle a été connue dès ses premiers livres Les Mots, la mort, les sorts. La sorcellerie dans le Bocage (1977, Gallimard, « Bibliothèque des Sciences humaines ») et Corps pour corps. Enquête sur la sorcellerie dans le Bocage (1981, Gallimard, « Témoins », journal de terrain relatif au premier, écrit avec Josée Contreras). Elle a depuis publié d'autres ouvrages dont Le Christianisme et ses juifs: 1800-2000 (Le Seuil, 2004), en collaboration toujours avec Josée Contreras, Algérie 1962-1964 : essais

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livre de Jeanne Favret-Saada

Résumé : « Le jour où un ancien ensorcelé m'annonça que j'étais "prise", que mes symptômes et l'état de ma voiture en témoignaient à l'évidence, et qu'il me demanderait un rendez-vous chez sa désorceleuse, Madame Flora, j'en fus presque soulagée. »L'anthropologue et psychanalyste Jeanne Favret-Saada rapporte dans Désorceler la suite de ses travaux sur la sorcellerie dans le Bocage de l'Ouest français. Dès ses premiers livres publiés chez Gallimard, les travaux de Jeanne Favret-Saada ont frappé les esprits en ce qu'ils s'opposaient à la doxa anthropologique ainsi qu'à un usage conventionnel de la psychanalyse : l'auteur s'était en effet laissé impliquer dans les processus qu'elle étudiait et, bon gré mal gré, elle était devenue désorceleuse.Presque trente ans ont passé et la démarche comme le travail de l'anthropologue n'ont rien perdu de leur originalité. Le présent livre est donc un retour sur les matériaux relatifs au désorcèlement - description des éléments empiriques, étude du désorcèlement comme thérapie du collectif des habitants d'une ferme, description de l'invention de cette thérapie au cours du XIXe et du XXe siècle, illustration du travail (très inquiétant) de Madame Flora, magicienne-thérapeute, etc.-, et pose la question de savoir comment le fait d'« être affecté(e) » permet paradoxalement de construire un discours scientifique ... ici sur la sorcellerie.Bref, un ouvrage...envoûtant, accessible à tous et, au sens propre, extra-ordinaire.Jeanne Favret-Saada est anthropologue. Elle a été connue dès ses premiers livres Les Mots, la mort, les sorts. La sorcellerie dans le Bocage (1977, Gallimard, « Bibliothèque des Sciences humaines ») et Corps pour corps. Enquête sur la sorcellerie dans le Bocage (1981, Gallimard, « Témoins », journal de terrain relatif au premier, écrit avec Josée Contreras). Elle a depuis publié d'autres ouvrages dont Le Christianisme et ses juifs: 1800-2000 (Le Seuil, 2004), en collaboration toujours avec Josée Contreras, Algérie 1962-1964 : essais

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livre de Jeanne Favret-Saada

Résumé : « Le jour où un ancien ensorcelé m'annonça que j'étais "prise", que mes symptômes et l'état de ma voiture en témoignaient à l'évidence, et qu'il me demanderait un rendez-vous chez sa désorceleuse, Madame Flora, j'en fus presque soulagée. »L'anthropologue et psychanalyste Jeanne Favret-Saada rapporte dans Désorceler la suite de ses travaux sur la sorcellerie dans le Bocage de l'Ouest français. Dès ses premiers livres publiés chez Gallimard, les travaux de Jeanne Favret-Saada ont frappé les esprits en ce qu'ils s'opposaient à la doxa anthropologique ainsi qu'à un usage conventionnel de la psychanalyse : l'auteur s'était en effet laissé impliquer dans les processus qu'elle étudiait et, bon gré mal gré, elle était devenue désorceleuse.Presque trente ans ont passé et la démarche comme le travail de l'anthropologue n'ont rien perdu de leur originalité. Le présent livre est donc un retour sur les matériaux relatifs au désorcèlement - description des éléments empiriques, étude du désorcèlement comme thérapie du collectif des habitants d'une ferme, description de l'invention de cette thérapie au cours du XIXe et du XXe siècle, illustration du travail (très inquiétant) de Madame Flora, magicienne-thérapeute, etc.-, et pose la question de savoir comment le fait d'« être affecté(e) » permet paradoxalement de construire un discours scientifique ... ici sur la sorcellerie.Bref, un ouvrage...envoûtant, accessible à tous et, au sens propre, extra-ordinaire.Jeanne Favret-Saada est anthropologue. Elle a été connue dès ses premiers livres Les Mots, la mort, les sorts. La sorcellerie dans le Bocage (1977, Gallimard, « Bibliothèque des Sciences humaines ») et Corps pour corps. Enquête sur la sorcellerie dans le Bocage (1981, Gallimard, « Témoins », journal de terrain relatif au premier, écrit avec Josée Contreras). Elle a depuis publié d'autres ouvrages dont Le Christianisme et ses juifs: 1800-2000 (Le Seuil, 2004), en collaboration toujours avec Josée Contreras, Algérie 1962-1964 : essais

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Résumé : « Le jour où un ancien ensorcelé m'annonça que j'étais "prise", que mes symptômes et l'état de ma voiture en témoignaient à l'évidence, et qu'il me demanderait un rendez-vous chez sa désorceleuse, Madame Flora, j'en fus presque soulagée. »L'anthropologue et psychanalyste Jeanne Favret-Saada rapporte dans Désorceler la suite de ses travaux sur la sorcellerie dans le Bocage de l'Ouest français. Dès ses premiers livres publiés chez Gallimard, les travaux de Jeanne Favret-Saada ont frappé les esprits en ce qu'ils s'opposaient à la doxa anthropologique ainsi qu'à un usage conventionnel de la psychanalyse : l'auteur s'était en effet laissé impliquer dans les processus qu'elle étudiait et, bon gré mal gré, elle était devenue désorceleuse.Presque trente ans ont passé et la démarche comme le travail de l'anthropologue n'ont rien perdu de leur originalité. Le présent livre est donc un retour sur les matériaux relatifs au désorcèlement - description des éléments empiriques, étude du désorcèlement comme thérapie du collectif des habitants d'une ferme, description de l'invention de cette thérapie au cours du XIXe et du XXe siècle, illustration du travail (très inquiétant) de Madame Flora, magicienne-thérapeute, etc.-, et pose la question de savoir comment le fait d'« être affecté(e) » permet paradoxalement de construire un discours scientifique ... ici sur la sorcellerie.Bref, un ouvrage...envoûtant, accessible à tous et, au sens propre, extra-ordinaire.Jeanne Favret-Saada est anthropologue. Elle a été connue dès ses premiers livres Les Mots, la mort, les sorts. La sorcellerie dans le Bocage (1977, Gallimard, « Bibliothèque des Sciences humaines ») et Corps pour corps. Enquête sur la sorcellerie dans le Bocage (1981, Gallimard, « Témoins », journal de terrain relatif au premier, écrit avec Josée Contreras). Elle a depuis publié d'autres ouvrages dont Le Christianisme et ses juifs: 1800-2000 (Le Seuil, 2004), en collaboration toujours avec Josée Contreras, Algérie 1962-1964 : essais

Loci Incerti

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gomarttt

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Mercutiolebarman

Eske c les cours :o ?

Le 22 oct. 2020

gomarttt

Héhé entre autre, on doit bosser un reportage sur cette dame ;))

Le 22 oct. 2020

Mercutiolebarman

Oooh très très intéressant !

Le 22 oct. 2020

Arnoo

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a attribué 9/10 au livre

Désorceler

livre de Jeanne Favret-Saada

Résumé : « Le jour où un ancien ensorcelé m'annonça que j'étais "prise", que mes symptômes et l'état de ma voiture en témoignaient à l'évidence, et qu'il me demanderait un rendez-vous chez sa désorceleuse, Madame Flora, j'en fus presque soulagée. »L'anthropologue et psychanalyste Jeanne Favret-Saada rapporte dans Désorceler la suite de ses travaux sur la sorcellerie dans le Bocage de l'Ouest français. Dès ses premiers livres publiés chez Gallimard, les travaux de Jeanne Favret-Saada ont frappé les esprits en ce qu'ils s'opposaient à la doxa anthropologique ainsi qu'à un usage conventionnel de la psychanalyse : l'auteur s'était en effet laissé impliquer dans les processus qu'elle étudiait et, bon gré mal gré, elle était devenue désorceleuse.Presque trente ans ont passé et la démarche comme le travail de l'anthropologue n'ont rien perdu de leur originalité. Le présent livre est donc un retour sur les matériaux relatifs au désorcèlement - description des éléments empiriques, étude du désorcèlement comme thérapie du collectif des habitants d'une ferme, description de l'invention de cette thérapie au cours du XIXe et du XXe siècle, illustration du travail (très inquiétant) de Madame Flora, magicienne-thérapeute, etc.-, et pose la question de savoir comment le fait d'« être affecté(e) » permet paradoxalement de construire un discours scientifique ... ici sur la sorcellerie.Bref, un ouvrage...envoûtant, accessible à tous et, au sens propre, extra-ordinaire.Jeanne Favret-Saada est anthropologue. Elle a été connue dès ses premiers livres Les Mots, la mort, les sorts. La sorcellerie dans le Bocage (1977, Gallimard, « Bibliothèque des Sciences humaines ») et Corps pour corps. Enquête sur la sorcellerie dans le Bocage (1981, Gallimard, « Témoins », journal de terrain relatif au premier, écrit avec Josée Contreras). Elle a depuis publié d'autres ouvrages dont Le Christianisme et ses juifs: 1800-2000 (Le Seuil, 2004), en collaboration toujours avec Josée Contreras, Algérie 1962-1964 : essais

Elidilsah

a attribué 8/10 au livre

Désorceler

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Résumé : « Le jour où un ancien ensorcelé m'annonça que j'étais "prise", que mes symptômes et l'état de ma voiture en témoignaient à l'évidence, et qu'il me demanderait un rendez-vous chez sa désorceleuse, Madame Flora, j'en fus presque soulagée. »L'anthropologue et psychanalyste Jeanne Favret-Saada rapporte dans Désorceler la suite de ses travaux sur la sorcellerie dans le Bocage de l'Ouest français. Dès ses premiers livres publiés chez Gallimard, les travaux de Jeanne Favret-Saada ont frappé les esprits en ce qu'ils s'opposaient à la doxa anthropologique ainsi qu'à un usage conventionnel de la psychanalyse : l'auteur s'était en effet laissé impliquer dans les processus qu'elle étudiait et, bon gré mal gré, elle était devenue désorceleuse.Presque trente ans ont passé et la démarche comme le travail de l'anthropologue n'ont rien perdu de leur originalité. Le présent livre est donc un retour sur les matériaux relatifs au désorcèlement - description des éléments empiriques, étude du désorcèlement comme thérapie du collectif des habitants d'une ferme, description de l'invention de cette thérapie au cours du XIXe et du XXe siècle, illustration du travail (très inquiétant) de Madame Flora, magicienne-thérapeute, etc.-, et pose la question de savoir comment le fait d'« être affecté(e) » permet paradoxalement de construire un discours scientifique ... ici sur la sorcellerie.Bref, un ouvrage...envoûtant, accessible à tous et, au sens propre, extra-ordinaire.Jeanne Favret-Saada est anthropologue. Elle a été connue dès ses premiers livres Les Mots, la mort, les sorts. La sorcellerie dans le Bocage (1977, Gallimard, « Bibliothèque des Sciences humaines ») et Corps pour corps. Enquête sur la sorcellerie dans le Bocage (1981, Gallimard, « Témoins », journal de terrain relatif au premier, écrit avec Josée Contreras). Elle a depuis publié d'autres ouvrages dont Le Christianisme et ses juifs: 1800-2000 (Le Seuil, 2004), en collaboration toujours avec Josée Contreras, Algérie 1962-1964 : essais