Que dire sur ce roman ? Ni bon ni mauvais, ni bien ni mal écrit, ni passionnant ni ennuyeux, je dois confesser que j’ai du mal à coucher des mots sur le papier pour exprimer ce que j’ai ressenti pendant ma lecture, n’ayant justement pas ressenti grand-chose... Les éditions Préludes m’avaient jusqu’à présent habitué à mieux – nul n’est parfait.
Si le dénouement de Dis-moi que tu mens est plutôt inspiré et réserve son lot de surprises, tout ce qui le précède n’est malheureusement pas à l’avenant. Les personnages sont pourtant fouillés, l’étau qui se resserre sur le personnage principal, englué dans ses mensonges, implacable, mais l’intrigue manque cruellement de mordant !
Je vous conseille plutôt de lire les autres romans du catalogue de Préludes éditions (Guérilla social club, La sonate oubliée, Le cœur entre les pages, entre autres) qui sont autrement plus intéressants.