Electrons libres
Fiche technique
Auteur :
James FlintGenre : RomanDate de publication (pays d'origine) :Traducteur :
Alfred BoudryParution France : 2006Éditeurs :
Le Livre de Poche, Au Diable VauvertISBN : 9782846260961, 9782253119647Résumé : Extrait :«- Et les initiales DCD ? Vous connaissez une organisation qui porte ce sigle ?»Je secoue la tête. Daniels se penche vers l'avocat le plus maigre et reprend ses messes basses. Après quoi, il prend la boîte et la tend vers moi en me montrant le dessous. Sur le fond, au même marqueur violet que sur l'enveloppe, il est écrit : REEVER Jack, DCD. - Papa.» Je dis. Et je m'évanouis.Cooper James est programmeur-encodeur dans un complexe militaire britannique où la plupart des employés sont américains ; comme tout le monde, il ignore la finalité de sa fonction. Convoqué après une fausse alerte à l'anthrax par son chef de section, Cooper se voit remettre une boîte métallique dans laquelle se trouvent les cendres de son père. Mis à pied, Cooper décide de partir sur les traces de ce père inconnu qui a abandonné sa femme et son tout jeune fils. L'aventure lui fera quitter l'Angleterre pour les USA marchant dans les pas de ce sculpteur farfelu qui a fréquenté diverses communautés pour le moins étranges. James Flint nous entraîne une nouvelle fois dans une quête passionnante à la découverte d'univers insoupçonnés, de microcosmes surprenants issus d'une réalité qui appartient bel et bien à notre monde. Une enquête qui réunit avec bonheur l'humour et la précision du propos, avec une verve digne d'Habitus, son premier roman.Le personnage de Jack Reever est inspiré de la vie de l'artiste James L. Acord : ses photos émaillent le récit, lui confèrent une authenticité époustouflante et font d'Electrons libres un objet d'art multidisciplinaire d'une qualité rare. Car, malgré les apparences de la plus grande crédibilité, dans ÿlectrons libres, tout est faux : Atomville n'a jamais existé. ÿtrange synthèse du Cryptonomicon, du Monde selon Garp et du Pendule de Foucault, ÿlectrons libres est un vif hommage à la mémo