Hyacinthe, la plus jeune de la bande, n’arrive pas à se marier : probablement parce qu’elle n’arrive pas à trouver chaussure à son pied… probablement, aussi, parce qu’elle n’arrive pas à taire sa franchise. La voilà pourtant partie pour aider le beau Garrett Saint-Clair dans une chasse au trésor bien étrange...
Honnêtement, c’est à partir de ce moment-là que je me suis dit que Julia Quinn se répétait un peu trop. Si l’idée de la chasse au trésor est intéressante -bien qu’elle se conclue d’une manière drastiquement nulle, toute l’intrigue autour du père bourreau m’a beaucoup rappelé Simon dans le premier tome. Comme Garrett, son père est un petit connard qui lui pourrit la vie même mort. Ici, Lord Saint-Clair remporte haut la main la palme du pire père de l’univers… et du coup, son intrigue fait doublon…
L’histoire se répète d’autant plus que Garrett est, devinez-quoi, un libertin !
Mais bon, dans l’ensemble, ça reste un bon roman. Juste, Hyacinthe n’est pas un personnage assez approfondi pour qu’on s’intéresse pleinement à son histoire et le Syndrome d’Arya Stark risque d’arriver dans la série Netflix : qu’est-ce que ce syndrome ? Et bien, c’est quand on a passé une série entière à voir un personnage enfantin très attachant grandir… pour le voir devenir adulte de la pire des manières : en perdant sa virginité à l’écran !
Du coup, dans le cas de Hyacinthe, je me demande ce qu’ils vont faire : changer d’actrice ou se calmer avec les scènes de sexe (bon, ils auront le temps de réfléchir à cette question puisqu’ils sont qu’à la saison 2) ?