Tout comme In the After, In the End se souffre d’aucun temps de répit. Les actions s’enchaînent à un rythme relativement effréné et, même si les rebondissements n’atteignent pas l’effet de surprise escompté dans ce tome-ci, ils sont, là aussi, plutôt nombreux. C’est bien simple, à 20 pages de la fin (les deux romans faisant ensemble environ 800 pages), tout est encore irrésolu. Cela donne un récit intense et terriblement divertissant qui se dévore sans effort. L’écriture fluide de Demitria Lunetta n’est certes pas inoubliable mais elle a la qualité de se lire plus qu’aisément. Sans fioritures, ce récit hyper rythmé est aussi très cinématographique. On imagine aisément un film avec cette histoire et on passe, de fait, un agréable moment, comme on le passe devant un bon film du genre film de super-héros. J’ai apprécié rencontrer de nouveaux personnages dans ce récit, notamment la [...]
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