Inquisition - Aquasilva, tome 2
Fiche technique
Auteur :
Anselm AudleyGenre : RomanDate de publication (pays d'origine) :Traducteur :
Luc CarissimoParution France : juillet 2007Éditeur :
J'ai LuISBN : 9782290347614Groupe :
AquasilvaRésumé : Seule la magie du feu peut encore repousser les ténèbres, mais ceux qui la possèdent, les prêtres fanatiques du Domaine, tiennent le monde entier sous leur coupe. Cathan Tauro rentre chez lui après la bataille qui a rendu la liberté à sa province, Lepidor, et le pouvoir au comte, son père. Mais le jeune homme doit repartir, cette fois pour découvrir le secret qui se cache derrière la tempête magique qu'il a si opportunément levée pour sauver son clan. Des forces qu'il ne maîtrise pas menacent de prendre le contrôle de sa destinée. S'il se laisse submerger par les événements, Cathan risque de se retrouver à la tête des forces rebelles à l'autorité de l'Inquisition du Domaine.Anselm Audley Bien qu'âgé de seize ans lorsqu'il se lance dans la trilogie d'Aquasilva, Anselm Audley n'en fait pas moins preuve d'une grande maturité d'écriture. Dès la parution du premier tome, Hérésie, les critiques n'ont pas hésité à comparer la richesse de son univers à celui de Dune de Frank Herbert.Extrait du livre :C'est précisément parce que nous étions en hiver que nous pûmes trouver un hôtel d'assez bonne catégorie pour un prix modique. Mon père m'avait confié tout ce qu'il pouvait comme fonds, mais cela ne faisait pas une somme très importante, car il avait dû beaucoup dépenser pour reconstruire les parties de la ville que Corvina et moi avions démolies lors de l'invasion. Et, même si Palatine et Corvina avaient gagné un peu d'argent en travaillant pour lui, et si j'avais reçu une avance de la Maison Canadrath, nous allions devoir faire attention si nous voulions faire durer le tout.Surtout que nous ne connaissions toujours pas notre destination finale. Cela risquait de nous prendre du temps pour établir le contact avec les dissidents du Qalathar, et ensuite il nous faudrait encore trouver Tanaïs. Et l'AEon, dont le seul nom semblait