Un bon livre facile à lire écrit par un spécialiste. Mais pour éviter d’avoir, il me semble, une vision partielle du conflit, il vaut mieux que les néophytes commencent par d’autres ouvrages comme ceux d’Alain Dieckhoff ou Frederic Encel. Ces derniers ont eux aussi forcément leur vision du conflit mais ils ont une approche plus adaptée aux non spécialistes.
La seule lecture de cette ouvrage ne permettrait pas de tout comprendre. Ce n’est d’ailleurs pas sa prétention. L’auteur souhaite juste démontrer que la victoire militaire d’Israël en 1967 s’est transformée en défaite diplomatique et morale. Idée (qu’il n’est pas dans mon intention de critiquer ni d’approuver) qui est somme toute partagée par une partie de la gauche israélienne et des médias français entre autres mais qui peut être aussi nuancée par la prise en compte de données historiques, géographiques, stratégies et bien entendu (pour qui veut bien l’entendre) religieuses.
Créée
le 5 sept. 2018
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Bon je dois avouer que je suis allé jusqu’au bout par curiosité malsaine. Un peu comme on lit voici ou gala chez le dentiste. Histoire aussi de voir à quel point j’ignorais certaines pratiques...
Par
le 5 sept. 2018
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C’est mon dixième roman de Murakami et mon préféré. Comme d’habitude, il faut renoncer à ce qu’il nous serve une fin limpide et dénuée d’ambiguïtés, mais quelle belle histoire !
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le 4 sept. 2018
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J’ai adoré « La vie devant soi » et « La promesse de l’aube » mais alors là...je ne suis pas parvenu à m’intéresser à un vieux beau de 60 ans qui a des problèmes avec sa nouille...et sa tête....
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le 4 sept. 2018
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