Après Faber (Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent) et Gueguen (Pour une enfance heureuse), poursuite de l'éducation à la parentalité avec ce livre relativement court (250 pages, lu en une grosse soirée).
C'est par le prisme de situations du quotidien qu'Isabelle Filliozat nous montre que non, notre progéniture n'a pas vocation à nous pourrir la vie, et que la majorité des situations conflictuelles peuvent souvent être désamorcées par une meilleure compréhension de ce que veulent exprimer les enfants, sans pour autant céder à toutes leurs demandes.
Côté bémols, un petit côté féministe sous-jacent avec la mère représentée comme LA figure sécuritaire et le père plusieurs fois taclé comme un lourdaud ou présenté avec un rôle moindre que la mère dans l'éducation.
Le découpage par tranches de 6 mois est assez pratique et aidera sans doute à la relecture.
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le 3 déc. 2018
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