Jeunesses autochtones

Résumé : S’interrogeant sur ce qu’est d’être jeune et autochtone dans un monde globalisé, cet ouvrage collectif rassemble sept contributions (dont trois sur l’Océanie) : - « La négociation de l’enfance dans les rues de Quito : les jeunes quechua face à l’idéal de l’unicef », par Marie-Pierre Girard - Les « stratégies et processus de construction identitaires des jeunes Mélanésiens à Nouméa » dans les « quartiers-tribus », lieux d’une revitalisation identitaire pour les Kanak, par Sophie Barnèche - Comment « être jeunes parents kanak en Nouvelle-Calédonie », par Marie Salaün, qui pose dans son texte la question de savoir si la parentalité kanak est aujourd’hui disqualifiée - L'université, « un site d’affirmation et de négociation de la coexistence pour les jeunes maaori de Nouvelle-Zélande », par Natacha Gagné, qui revient sur le cas des étudiants maaori à l’université - « Les voix du tambour : traditions et innovations musicales chez les jeunes Atikamekw Nehirowisiwok, Québec », par Laurent Jérôme - « La construction sociale de la jeunesse chez les Mayas du Yucatán, Mexique », par Marie-France Labrecque - « Jeunesse européenne et zapatiste : une rencontre solidaire et alter-native », par Sabrina Melenotte (précédées : - d'une préface de Mona Belleau, jeune Inuk d’Iqaluit au Nunavut - et d’une introduction de Sylvie Poirier, spécialiste des Aborigènes d’Australie, sur « Les dynamiques relationnelles des jeunes autochtones ».)