Deuxième tome de la saga de Catherine Bardon. Un roman qui se lit très facilement où j’ai pris beaucoup de plaisir de retrouver les Rosenheck : Almah, Friizzie mais surtout Ruthie.
Dans ce deuxième opus, nous suivons les péripéties de vie de Ruth, qui décide de partir à New-York pour suivre des études de journalisme, dans les traces de son père. Elle quitte donc son île qui l’a vu naître, et s’exile chez ta tante et son oncle qui vivent à Brooklyn.
Durant ces années new-yorkaise, Ruth s’interroge sur ces racines : est-elle davantage dominicaine (terre d’exil de ses parents), américaine d’adoption, autrichienne de par ces racines ou encore un enfant d’Israel ?
Un roman tout en légèreté malgré un fond politique houleux (gueere du Vietnam, crise de Cuba, putsh dominicain).
Une suite très agréable même si moins envoutant et émouvant que le premier tome.
Je recommande tout même ce beau livre.
Vivement le tome 3