Titre déprimant pour ouvrage pas du tout déprimant

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire quelques pages de L'Hiver de la Grande Solitude chaque matin et chaque soir dans le métro. La déprime des transports parisiens s'est transformée (malgré ce titre trompeur en terme d'ambiance) en une joie de retrouver l'Albanie communiste et sa métamorphose au moment de sa rupture avec l'Union soviétique en 1971. Un moment historique raconté à la première personne et à hauteur d'homme. Pas de tristesse à l'horizon. Juste un morceau de vie et la découverte d'un quotidien au rythme des personnages se baladant dans les rues froides de Tirana (et un peu de Moscou aussi). À découvrir