L'actualité sur L'Imposture intellectuelle des carnivores
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livre de Thomas Lepeltier
Résumé : Alors que la consommation de produits d'origine animale (viande, lait, oeufs) est de plus en plus remise en cause de nos jours, des « intellectuels » français s'en prennent régulièrement aux végétaliens et véganes qui militent pour l'arrêt total de cette consommation. Citons, sans être exhaustif, Raphaël Enthoven, Luc Ferry, Élisabeth de Fontenay, Périco Légasse, Dominique Lestel, Marylène Patou-Mathis, Natacha Polony, Jocelyne Porcher, Francis Wolff. À travers des livres, des articles ou en intervenant sur des plateaux de télévision, ils critiquent, dénoncent et moquent les défenseurs des animaux. Ce n'est pas sans conséquences. De nos jours, peu de personnes restent insensibles au sort des animaux de rente. Quand un film est tourné à l'intérieur d'un abattoir et diffusé dans les médias, la plupart des gens sont choqués. Puis, confrontés aux arguments des végétaliens et véganes, ces personnes cherchent des réponses. Que penser ? Que faire ? Que manger ? Or voilà que ces intellectuels viennent leur dire que les végétaliens et véganes ont tort. À chaque fois, le principe de base de l'éthique qui avance que nous ne devons pas faire souffrir et tuer un être sensible, juste pour notre plaisir, est oublié ou mal interprété. À la place, ces intellectuels avancent des arguments qui défient la logique, ne reposent sur aucun fondement rationnel et encouragent la cruauté. Mais ils confortent ainsi une société qui, parce qu'elle ne veut pas changer ses habitudes culinaires, tue sans nécessité une quantité faramineuse d'animaux. Aussi ce livre prend-il le parti de les dénoncer haut et fort ; pas pour le plaisir de critiquer, mais dans l'espoir que cette mise au point contribue à faire cesser le grand massacre des animaux de rente et serve à lancer un débat constructif sur leur place dans la société.
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livre de Thomas Lepeltier
Résumé : Alors que la consommation de produits d'origine animale (viande, lait, oeufs) est de plus en plus remise en cause de nos jours, des « intellectuels » français s'en prennent régulièrement aux végétaliens et véganes qui militent pour l'arrêt total de cette consommation. Citons, sans être exhaustif, Raphaël Enthoven, Luc Ferry, Élisabeth de Fontenay, Périco Légasse, Dominique Lestel, Marylène Patou-Mathis, Natacha Polony, Jocelyne Porcher, Francis Wolff. À travers des livres, des articles ou en intervenant sur des plateaux de télévision, ils critiquent, dénoncent et moquent les défenseurs des animaux. Ce n'est pas sans conséquences. De nos jours, peu de personnes restent insensibles au sort des animaux de rente. Quand un film est tourné à l'intérieur d'un abattoir et diffusé dans les médias, la plupart des gens sont choqués. Puis, confrontés aux arguments des végétaliens et véganes, ces personnes cherchent des réponses. Que penser ? Que faire ? Que manger ? Or voilà que ces intellectuels viennent leur dire que les végétaliens et véganes ont tort. À chaque fois, le principe de base de l'éthique qui avance que nous ne devons pas faire souffrir et tuer un être sensible, juste pour notre plaisir, est oublié ou mal interprété. À la place, ces intellectuels avancent des arguments qui défient la logique, ne reposent sur aucun fondement rationnel et encouragent la cruauté. Mais ils confortent ainsi une société qui, parce qu'elle ne veut pas changer ses habitudes culinaires, tue sans nécessité une quantité faramineuse d'animaux. Aussi ce livre prend-il le parti de les dénoncer haut et fort ; pas pour le plaisir de critiquer, mais dans l'espoir que cette mise au point contribue à faire cesser le grand massacre des animaux de rente et serve à lancer un débat constructif sur leur place dans la société.
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Résumé : Alors que la consommation de produits d'origine animale (viande, lait, oeufs) est de plus en plus remise en cause de nos jours, des « intellectuels » français s'en prennent régulièrement aux végétaliens et véganes qui militent pour l'arrêt total de cette consommation. Citons, sans être exhaustif, Raphaël Enthoven, Luc Ferry, Élisabeth de Fontenay, Périco Légasse, Dominique Lestel, Marylène Patou-Mathis, Natacha Polony, Jocelyne Porcher, Francis Wolff. À travers des livres, des articles ou en intervenant sur des plateaux de télévision, ils critiquent, dénoncent et moquent les défenseurs des animaux. Ce n'est pas sans conséquences. De nos jours, peu de personnes restent insensibles au sort des animaux de rente. Quand un film est tourné à l'intérieur d'un abattoir et diffusé dans les médias, la plupart des gens sont choqués. Puis, confrontés aux arguments des végétaliens et véganes, ces personnes cherchent des réponses. Que penser ? Que faire ? Que manger ? Or voilà que ces intellectuels viennent leur dire que les végétaliens et véganes ont tort. À chaque fois, le principe de base de l'éthique qui avance que nous ne devons pas faire souffrir et tuer un être sensible, juste pour notre plaisir, est oublié ou mal interprété. À la place, ces intellectuels avancent des arguments qui défient la logique, ne reposent sur aucun fondement rationnel et encouragent la cruauté. Mais ils confortent ainsi une société qui, parce qu'elle ne veut pas changer ses habitudes culinaires, tue sans nécessité une quantité faramineuse d'animaux. Aussi ce livre prend-il le parti de les dénoncer haut et fort ; pas pour le plaisir de critiquer, mais dans l'espoir que cette mise au point contribue à faire cesser le grand massacre des animaux de rente et serve à lancer un débat constructif sur leur place dans la société.
Le 15 févr. 2018
1 j'aime
Vous m'avez carrément vendu du rêve, belle brochette de losers dans ce résumé de bouquin. Hâte de les maudire en suçant des cailloux (pour la B12)
Le 16 févr. 2018
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Le 15 févr. 2018
1 j'aime
@Leyhane Bien sûr, la viande n'est pas primordiale pour notre vie ou notre survie. Un apport en protéines, il y en a beaucoup dans les légumineuses, oui. La malbouffe est liée à ce que les industriels veulent nous imposer. Solution de facilité à court terme qui a créé des habitudes difficiles à corriger. C'est une question économique, sociale, sociétale, politique, écologique. il n'en va pas de la seule survie des animaux et de la planète mais aussi de notre propre survie. Le combat sera rude p...
Le 15 févr. 2018
@ManuKat Exactement, mais le problème c est que nous avons tous été pris pour des idiots par des industriels qui par un astucieux procédé ont réussi à nous faire croire que nous devions "obligatoirement" manger des laitages et de la viande tous les jours pour être "en bonne santé". Et depuis, c est entré dans les mœurs et pas vraiment remis en question par la plupart des gens car " c est comme ça", qu on a toujours entendu ça. Oui je suis vraiment d accord avec tout ce que tu dis, c est un prob...
Le 15 févr. 2018
@Leyhane Ce fut la même chose pour le sucre, les industriels en ont vanté les bienfaits alors qu'il s'avère être au quotidien un poison violent pour l'organisme. Aux vues de la domination masculine sous toutes ses formes et des inégalités H/F, le féminisme est légitime. Cela évolue lentement certes mais espérons.
Le 15 févr. 2018
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a envie de lire le livre
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