100 pages pour rien sur 263.
100 pages pour arriver au twist qu'on a deviné 50 pages avant. En plus écrites platement. A la manière d'un George RR Martin mais en nettement plus bref, chaque chapitre est écrit selon le point de...
Par
le 22 mars 2020
La fraternité fait parti de ces romans qui ne reposent sur rien, ou plutôt sur du vent. Vous savez, ce genre de roman où tout le monde sait tout sauf le personnage principal, et que lorsque ce dernier pose une question on lui répond "je ne peux pas encore te le dire".
En effet, comble de l'ironie, on demande à notre personnage principal, Hans, de s'infiltrer dans une fraternité de boxe étudiante (à Cambridge). Il est missionné par sa tante qui ne veut pas lui donner plus de détails. Pourquoi ? Difficile de réellement le comprendre, tant cela va à l'encontre du bon sens commun.
Il sera aidé dans sa quête par une étudiante, Charlotte, qui elle aussi n'arrêtera pas de dire au héros que pour le moment elle ne peut rien lui dire.
Sauf que malheureusement il n'y a aucune raison à ces non dits, à part celui que le roman se serait terminé en l'espace de 10 pages si les situations avaient été clarifiées dès le début.
Franchement ce livre est tout sauf subtil. La description de la fraternité est ridicule, on a forcément le beau riche de la fraternité qui passe son temps à dire à quel point son pénis est énorme. C'est un peu gênant par moment. Le livre se veut mystérieux avec des personnages troubles, sauf que les personnages n'existent absolument pas, ils ne sont que de papier, jamais des gens ne se comporteraient ainsi dans la réalité. On a bien du mal à croire que l'auteur s'est inspiré d'une expérience personnelle.
Créée
le 22 mai 2020
Critique lue 41 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Fraternité
100 pages pour arriver au twist qu'on a deviné 50 pages avant. En plus écrites platement. A la manière d'un George RR Martin mais en nettement plus bref, chaque chapitre est écrit selon le point de...
Par
le 22 mars 2020
Si un jour j’ai eu envie de faire partir d’une sororité, croyez-moi après la lecture de La fraternité, l’idée m’a définitivement quitté. Le jeune Hans, orphelin, solitaire n’ayant pour seule passion...
Par
le 11 oct. 2018
C’est un autre premier roman de cette rentrée littéraire de septembre 2018 et qui devrait retenir l’attention : La fraternité de Takis Würger publié chez Slatkine & Cie. Dans un récit largement...
le 22 août 2018
Du même critique
Oui, Au coeur des ténèbres est un roman culte. Roman que FFC a adapté pour réaliser un de ses meilleurs films (le meilleur même, peut-être) en faisant Apocalypse Now. J'avais envie d'aimer le roman,...
Par
le 13 déc. 2014
10 j'aime
Non. Glacé de B. Minier m'avait plutôt emporté. Le Cercle m'a laissé sur le côté. Pourquoi ? Tout n'est pas à jeter. Je crois que le principal intérêt chez Minier réside dans sa description d'un lieu...
Par
le 1 févr. 2015
6 j'aime
Le roman est un peu laborieux à son démarrage, mais il finit par emporter le tout. En effet, le début est souvent confus, beaucoup de personnages, de petits détails qui reviendront, d'éléments à se...
Par
le 14 août 2020
5 j'aime