Ce livre est le troisième tome d’une trilogie que j’aime beaucoup.
Dans ce roman, il n’y a pas un seul personnage central comme dans les deux tomes précédents à savoir Anna et Peter. Ici, ces deux personnages sont bien sur présents, mais il y a aussi d’autres points de vue comme Jude, le demi-frère de Peter et Richard, le PDG de Pincent Pharma, la firme qui fabrique les pilules de Longévité.
Le fait d’alterner plusieurs points de vue nous permet d’avoir plusieurs révélations sur la longévité. On comprend aussi que Richard est prêt à tout pour conserver son leardership sur le monde. On voit aussi que le gouvernement au pouvoir est aussi capable de tout pour masquer les problèmes que rencontre son système.
Ce que j’ai aussi beaucoup aimé dans ce livre, c’est qu’il commence avec un flashback de plus de cent ans avant les deux précédents tomes. On découvre ainsi la découverte par hasard du traitement de longévité.
Je dois dire que comme les autres tomes, ce roman met du temps à démarrer. Mais une fois parti, les découvertes et non les actions s’enchainent.
Comme je l’ai dit au début, les points de vue alternent donc difficile de s’attacher à un personnage. Mais je dois dire que Jude m’a bien surprise dans ce tome. J’ai aimé qu’il soit moins effacé que dans le tome précédent et qu’il prenne des risques.
La fin de ce roman est remplie de révélations et je dois dire que je ne les ai pas vu venir surtout concernant Paul, le chef de la révolte.
C’est une belle fin pour cette trilogie hors du commun. Cette dystopie sur le thème de l’immortalité est vraiment prenante. Dommage qu’il n’y ai pas eu beaucoup d’action.