C’est définitivement la rentrée des premiers romans sur Lettres it be. Après Emmanuel Brault et Les Peaux rouges, après Emmanuelle Caron et Tous les âges me diront bienheureuse, après Victor Pouchet et Pourquoi les oiseaux meurent, c’est au tour de Gaël Octavia, une jeune auteure martiniquaise, d’envahir les librairies. Avec La fin de Mame Baby publié chez Gallimard, celle qui fut d’abord tournée vers le théâtre nous emmène dans le « Quartier ». Une plongée à laquelle vous convie Lettres it be.
La bande-annonce
Le Quartier est une petite ville de banlieue où se croisent les destins de quatre femmes. Mariette, recluse dans son appartement, qui ressasse sa vie gâchée en buvant du vin rouge. Aline, l'infirmière à domicile, qui la soigne et l'écoute. Suzanne, la petite Blanche, amante éplorée d'un caïd assassiné. Mame Baby, idole des femmes du Quartier, dont la mort est auréolée de mystère. À travers la voix d'Aline, de retour dans le Quartier qu'elle a fui sept ans auparavant, les liens secrets qui unissent les quatre héroïnes se dessinent...
La fin de Mame Baby raconte avant tout, avec finesse, grâce et passion, l'art qu'ont les femmes de prendre soin les unes des autres, de se haïr et de s'aimer.
L'avis de Lettres it be
Un premier roman chez Gallimard publié pour la rentrée littéraire, une auteure qui prit ses marques d’abord dans le théâtre avec des pièces souvent couronnées de succès, une thématique abordée autour des femmes, des nominations retentissantes pour d’importants prix littéraires … Gaël Octavia a tout pour être l’étoile qui brille au firmament de cette rentrée littéraire 2017.
La suite de la chronique sur le blog de Lettres it be : https://www.lettres-it-be.fr/critiques-de-romans/auteurs-de-k-%C3%A0-o/la-fin-de-mame-baby-de-ga%C3%ABl-octavia/