Méconnaissance et pop culture déformante obligent — on pense à la comédie un peu simplette Good Morning England sortie en 2009 —, d'aucuns pourrait penser que l'ère des radios pirates anglaises, dans les années 60, s'est déroulée sans accroc. Que ces atteintes au monopole de la BBC par des stations offshore (basées depuis des navires ou des forts en pleine mer pour échapper à la législation anglaise) peu regardantes sur le droit d'auteur ont eu lieu dans une bonne ambiance, sur fond de Beatles, de Stones ou de Who. Il n'en est rien.
Et pis bon j'arrête de copier coller mon article d'Ecrans.fr, vous n'avez qu'à aller le lire.