Outre les diatribes régulières sur les beaux prolétaires musculeux, on y trouve un abracabrantesque mélo' sous fond de sacages de demeures d'exploiteurs, le tout narré par la plume en verve d'un jeune écrivain dalleux qui brûle son héritage scolaire et l'agite n'importe comment, tant que ça fait briller son égo fougueux et que ça étanche sa soif de dire l'époque. Et franchement, c'est trop bon. Avis aux pisses-froids actuels qui écrivent cent pages lavasses inspirés d'un article du Monde, en prenant des postures de sentinelle des temps modernes.