Punchline page 103 : "Tandis qu'il réfléchissait dans le noir en écoutant les bruits de la rue, il se sentait aussi heureux qu'un homme capable de goûter à la fraîcheur du vent, même en l'absence de vent."
Extrait très représentatif de l'extrême pauvreté du style. L'auteur ne connaît que les verbes être et avoir, se répète à toutes les lignes et nous gave de lieux communs. Si encore l'histoire était intéressante... mais quel ennui, sous prétexte d'observer dans sa lenteur la naissance de l'amour ! Les personnages sont fades et barbants. Leurs sentiments, disséqués avec maladresse. C'est pire que du Marc Lévy (ma référence du Grand Nul littéraire).