La vie sans fards par Nina in the rain
Maryse Condé, pour moi, c’est un grand souvenir. C’est Tituba, avant tout et pour toujours. La grande baffe que ce roman avait été à l’époque pour moi. Du coup quand, au sein du prix du roman France Télévisions, j’ai reçu ce texte, je me suis à la fois réjouie et inquiétée. Réjouie parce que je pensais lire un texte que j’aimerais beaucoup, inquiétée parce que j’avais bien vu que ce n’était pas un roman (ben oui, c’est une autobiographie) et que je n’aime pas trop les autobiographies. Pour tout dire, ça ne m’intéresse pas.[...]