Duo pas nus mais plutôt culottés.Pointe la paille des autres en préférant dormir sous des poutres.

__« Quand je repense à ma vie, ce qui m’a rendue heureuse, c’est les gens à qui j’ai rendu service » (dit par une sorte de Mme Bodin’s, qu'ils croisent; elle est très sympas et solidaire; et au moins, elle, ils ne se moquent pas de ses tenues ou origines)

__une autre "Dame âgée" lui ayant donné qu’une boite de thon, deviendra, elle, très vite le souvenir de « la vieille bourgeoise hautaine » (sic)

Série de remarques sur ce livre de randonneurs que j'ai publiées sur SC en 2021 mais que je corrige fin 2022 suite aux remarques légitimes d'un autre membre de SC arguant que je me "noierais dans des détails et passerais à côté des vrais sujets".

Je croyais pourtant avoir listé et aussi aimé ces vrais sujets, mais juste pas aimé parfois des commentaires et vannes sur les gens et lieux qu'ils croisent. Que je liste en détails, car j'ai lu le livre et suis passionné.

Je regrettais notamment des expressions contestables que certains qualifieront de "détails": je trouve que des expressions parfois maladroites, révèlent que l'auteur, comme dans la Parabole, a une tendance à voir la paille des autres, mais sa poutre langagière n’est pas toujours tendre. Comme la mode semble l'être au niveau national de la part d'hommes politiques.

Un auteur un peu harpie, chipie, qui se veut vagabond gentil.

Par exemple, il a des commentaires sur la « tenue légère » d’une jardinière. Elle est , elle..., en train d’arroser ses fleurs devant SON gîte où elle, elle TRAVAILLE, elle. (p83) Sans compter son temps, elle. Elle vagabonde pas, elle...
alors se moquer de sa tenue quand on va soi-même finir par puer et ressembler à une loque humaine, ne me semble pas très chrétien.

Et j'apprécierais que les religieux et croyants s'occupent pas trop de comment une femme doit s'habiller. Il la trouve pas assez couverte. J'avoue être devenu un peu épidermique à ce sujet, que l'autre membre de Sc appelle un "détail".

Justement, cet autre membre rappelait à juste titre que le livre est aussi "Une réflexion intéressante également sur ce qu'est devenu le christianisme et la nécessité de changement d'approche s'il ne veut pas disparaître." Qu'il commence peut-être par ne pas qualifier "de légère" la tenue d'une femme travaillant en plein soleil?

Surtout qu'après les vêtements, il pense qu’une esthéticienne dont il voit d’abord qu’une plaque, est sans doute une laide « minette maquillée comme un camion volé » (p85) avant d’être contredit. Ce n'est pas très gentil non plus.

Un autre "détail' sans doute pour ceux qui ont aveuglément adoré le livre.

J'ai quand même le droit d'être agacé qu'avant ma page 100 fatidique, l'auteur se moque de la tenue et maquillage de femmes. Ce n'est pas représentatif des croyants et religieux que je connais. J'ai quand même continué et aimé des parties.


Je restais assez positif envers le livre puisque je disais quand même qu'il "est une habile et souvent passionnante biographie croisée du poète Arthur Rimbaud et du multi cartes Charles de Foucauld, le tout au sein d'un récit de voyage (quasi) à pied par deux amis en France".
Apparemment sans argent, misant sur la générosité des gens, un aspirant jésuite, Charles Wright, et un ami, Benoit Parsac (non cité dans quatrième de couverture)
"s’échappent de la ville et de la modernité avec le désir de renouer avec l’élémentaire.
Il s’offre une virée buissonnière à travers le Massif central...sept cents kilomètres à pied".

Des moments très émouvants, "véritable hymne à la vie" dit trop sa pub.

Il me rappelle la série documentaire ‘Nus et culottés’ de France 5 (auquel il fera enfin allusion au cours du récit).
Un duo parfois marrant, comme dans ‘L’arme fatale’ : L’âme fatale ?

Mais lui, Charles Wright, est parfois très culotté justement dans ses opinions et descriptions.
Je parle du livre: je n'ai vu ou entendu aucun interview de lui.
Sans doute ai-je mis trop longtemps à voir que c’était surtout de l’humour, mais je maintiens qu'il y a aussi de la maladresse, qui répétée, révèle comme chez d'autres personnes connues...une condescendance, même si niée.
Un beau duo parfois odoriférant. Mais très ‘Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais ou ce que j'écris’ tant le ton moqueur m’a hélas paru parfois très maladroit, voire condescendant par accident sans doute.
De la suffisance et moquerie transpirent sans doute involontairement, pas toujours qu'entre les lignes, si on veut bien les voir.
Livre adoré par ma famille et qui a reçu des prix, donc mon ressenti n'est sans doute pas représentatif. Mon père l’a lu avant moi car je crois il en avait entendu parler: il me dit qu'il est adoré par la presse et France Inter.
Je découvrais donc que je serais très minoritaire. Que j’ai sans doute encore mauvais goût ou pas la culture. C’est une question de perception: j’ai peut-être mal pris l’humour de l’auteur. Je retenterai un jour.
Le livre que j’avais parfois le moins plaisir à retrouver les soirs, surtout à son début, comparé à tous ceux que j'avais en cours. Je préfère sa deuxième moitié.

Des conditions dures à vivre...mais surtout ‘sans carte bancaire et portable’.
Et des principes durs à tenir : "pas d’auto stop ou d’hébergement religieux".
Il est aussi très amusant que, quand épuisés, ils contreviennent très exceptionnellement à ces règles, ils ont alors la malchance de tomber sur un entrepreneur local raciste et une camionnette « remplies de culottes » éparses!
Van qui semble appartenir à une sorte d’Adjudant Chanal et ses tristes disparus de Mourmelon...(il est un serial killer et violeur Français).
Mais ici, le conducteur du van est Allemand, et faisant tout aussi froid dans le dos.
Il m'est alors revenu que les deux marcheurs seuls, sont en effet dans la belle Ardèche, connu pour son 'Auberge rouge' sanglante...(un gîte dont les proprios tuaient et volaient les clients).

  • Charles Wright se présente vite soi-disant en lutte contre la dépression et tristesse (page 62).
    Mais je n'arrivais alors pas encore à savoir si ce ne serait pas un mensonge pour se rapprocher de ses lecteurs.
    Car très vite il me semble repérer des mini incohérences qui me font douter: comme par exemple, lorsque l’un d’eux, soi-disant ne parle pas Anglais (page 66).
    Et n’aime pas le fromage (mais ça , c'est plus crédible même si me parait inimaginable...).
    Mais il parle pas Anglais? Alors qu’il est hyper diplômé, a voyagé dans le monde, et même en Inde?
    Sans l’anglais ? ...j’ai du mal à le croire.
    Il a aussi été Conseiller politique, éditeur et journaliste ?
    Et il ne serait pas capable d’échanger avec une anglaise parlant français ?
    Ou bien c’est vrai, ou il ment, pour faire simple et c’est alors de la démagogie racoleuse.
  • En plus, il «’out’ »/révèle qu'une personne croisée est un "juif". Vus les détails qu'ils donnent, c'est local, reconnaissable et localisable.
    Il est vrai qu'il les a, lui, pris pour des témoins de Jéhovah (p70).
    Mais pourquoi dire soudainement qu’il est "juif" ? ...ça tombe comme un cheveux sur la soupe.
    Et, sauf erreur, ce n'est pas du tout la manière dont ce "juif" s'est présenté.
    Cette scène a au moins le mérite de me rappeler un des meilleurs sketchs d'Elie Kakou sur la mamie harcelant un passager de son compartiment, voulant absolument le convaincre qu'il est juif: "vous pouvez me le dire, vous zzzz'êtes juif?" (meilleur quand Kakou le joue seul).
  • Parfois, des livres de témoignages (ou des documentaires) commencent par une maladresse puis deviennent exaltants (je pense dernièrement au bon doc sur Jean-Pierre Bacri qui commençait mal mais finissait en apothéose très émouvante.)
    Un mot ou passage peuvent un peu me heurter ou choquer, mais d'autres ont réussi à me faire passer cet obstacle.
    Ce livre ne s’est pas encore relevé de mes doutes et premières impressions.
    Même si je découvre, qu'il est très populaire et prisé, et ce quasi sans réserve!
    Mon père me dit que même la chaîne télé KTO l’adore, mon père l’a dévoré, il est aimé à la radio etc.
    Donc c'est sans doute ma perception susceptible.
  • Mais je n'ai, par exemple, pas aimé non plus une pique/vanne banale et cliché à un « Parisien en vacances»,
    à qui Charles Wright a le culot de reprocher son discours accordant "des couleurs aux différentes régions": lui faisant parler de « marketing électoral » de « capitalisme émotionnel » voire « vulgaire » ‘publicitaire’…
    Je trouve que c’est un culot agressif d’un récent converti au vagabondage.
    Lui qui n’a passé que ses vacances dans la région depuis son enfance et certainement pas sa vie professionnelle.
    Puisqu’il dit acheter son pain tous les matins rue …Mouffetard (p.81) à Paris donc.

    Alors se moquer d’un parisien cinq pages plus tôt (p75) semble culotté.
    Ou encore une forme de démagogie pour plaire au plus grand nombre.


  • Autre exemples de "L’hôpital qui se moque de la charité"?
    Avant la page 100, il commente les tenus et maquillage de femme mais c'est le même qui jugera d’ « un gout contestable » (p107) le crayon géant rendant hommage aux victimes des attentats de Charlie Hebdo; Semblant même au passage contester le statut de martyrs à ces victimes puisqu’il met ce mot entre guillemet.
    Sous-entendant même, avec un certain culot, que cette initiative de la commune et ses habitants, serait une pathétique tentative de faire partie de « la grande chronique nationale » alors que « l’histoire ne passe pas souvent ses terres ». Quel culot ! Que fait il lui? à ce moment précis.
    Il trouve d' « un gout contestable » ce crayon, mais c'est pourtant un village où se tient chaque année « le salon du dessin de presse et d’humour » (Saint-Just-le-Martel ?).
    Humour dont l’auteur se prétend pourtant amoureux, pratiquant, même et surtout chez les Jésuites.
    Ces villageois le font depuis...1982. Pas 2015! Ces habitants soutiennent la caricature depuis 1982 et un, certes érudit en Rimbaud et Foucauld, vient faire la fine bouche à l'ombre de leur initiative, en 2020? Ils n'ont pas attendu ces quasi nuits de cristal massacrant dessinateurs à Paris ou enfant dans cour d'école pour soutenir la liberté et démocratie.
  • Village dont déjà notre nouveau Jésus/Rimbaud/St-François n’aimait pas dés son approche, les maisons neuves car « ressemblant à des cubes de lego » (sic). Il parle de « Cube de lego, tenue légère, minette maquillée » : mais il reprochera , lui, de la « condescendance » et du « mépris » à une dame très âgée (p108).
    Elle était en train de recevoir une amie, il lui reproche de ne pas lui avoir ouvert la porte mais juste donné qu’une boite de thon. Encore avec un certain culot car c'est le moment où il dit comprendre le « mépris » que subissent les SDF clochards.
    Il se compare alors assez maladroitement à ces clochards: « je me suis senti proche de ces grands voyageurs du vide » . Alors que lui est à un coup de téléphone de retour au confort (p 109).
    Il a un filet de sécurité.
    Et il vanne les tenues des habitants, leurs maisons, leur ancestrale solidarité avec dessinateurs tués.
    Mais qu'une vieille dame, ayant déjà une visite, ne lui donne que du thon, et elle est, elle, "condescendante" et "méprisante".
    Pourtant son propre regard n’est pas des plus tendres non plus : « tenue légère, minette maquillée » etc.
    Plus tard il se moquera des « Niaiseries volontaristes des magazines féminins » sur le deuil (p151) et pourtant, il ouvre ce que tant d'autres, hélas, considèrent aussi comme des "niaiseries" (sic):

« comme souvent après une déconvenue, j’éprouve le besoin d’ouvrir "l’Imitation" où l’auteur encourage à suivre sa route sans se laisser troubler par le poison du regard des autres ».
Il cite ce livre très souvent:
Wiki dit:
_"L'Imitation de Jésus-Christ (en latin : De imitatione Christi) est une œuvre anonyme de piété chrétienne...XIVe siècle ou XVe siècle". Il se compare à des SDF, Jésus/Rimbaud/St-François et maintenant il se compare à l'auteur du "livre le plus imprimé au monde après la Bible".

Tartuffe?

Pour moi, l'auteur (que je ne connais pas) m'a semblé tout aussi atteint du virus du ‘benchmarking’ des vies et des jugements moraux sur la tenue et l’esthétique. Il ne pratique pas tant que cela ce qu’il prêche ou ce qu’il écrit même s’il l’habille de citations de L’imitation, de Rimbaud, de Nietzsche etc.

D’autant que par exemple, la "Dame âgée" qui quelques pages plut tôt lui tendaient qu’une boite de thon, devient très vite le souvenir de « la vieille bourgeoise hautaine » (sic).

"C’est peut-être pas bien chrétien ça"? était ce réplique le curé à Valérie Lemercier dans ‘Les Visiteurs’ (Curé joué par l'excellent François Lalande. On a les références qu’on peut). C'est lorsqu'elle lui fait appeler la police dés son premier contact avec Jean Reno, comte de Montmirail, qu’elle n’a alors pas reconnu mais pris pour un SDF en crise psychotique.
"C’est aussi peut-être pas bien chrétien" de dire d’un dame très âgée, interrompue, qui donne quand même, que c’est une « vieille bourgeoise hautaine ».

  • D’autant que l'auteur se révèle plutôt très gentil avec les franchises commerciales, aux moyens et marges plus grandes qu'une retraitée.
    Dont un magasin Coop qu’il épargne tant: son commerçant « qui pourtant sommeillait derrière le comptoir » lui a donné des fruits et produits pourris. Or la petite vieille avait sans doute toute sa vie payé plus d’impôt que cette Franchise de grandes surfaces qui pressurisent les fournisseurs et ruinent nos terres cultivables etc.
    Il me semble facilement 'acheté’ et aveuglé le vagabond volontaire soi-disant éclairé.

Les nouveaux pauvres - Quand travailler ne suffit plus:
L'auteur me semble maladroit, même quand il fait quand même pleurer.

Des passages moins autocentrés ou sarcastiques m'ont bien plus touché: notamment la rencontre avec un rugbyman, géant papa d’ados, qui se révèle fragile et dépressif
Comme d’ailleurs la maman d’ado aussi, qui se révèle infirmière dépressive.
Tous deux à cause "du travail" (ils l'expliquent très bien).

Mais l'auteur cite alors Emmanuel Mounier et parle de désir « d’opulence et de consommation effrénée » (sic).

C'est un rapprochement, un résumé, qui trahissent une interprétation très personnelle et biaisée qui semble même accuser les victimes.
Dont les soucis sont liés à leur travail et leurs conditions de travail, pas leur désir « d’opulence et de consommation effrénée » (sic) ?

Il n'y a pas de preuve que ces dépressifs là et accidentés du travail, avaient eux des désirs « d’opulence et de consommation effrénée » (ils veulent juste vivre et de nos jours, "travailler ne suffit plus").
Alors pourquoi de suite sous entendre que ces deux blessés qu'ils croisent le sont car ils visaient une sorte de 'La Grande Bouffe' de Marco Ferreri et de sur-consumérisme: pas d’opulence et de consommation effrénée chez ces deux naufragés temporaires, mais un travail déjà au salaire suffisant pour vivre.



  • Charles Wright: une touche de jet-set dans un Ardèche à sec?
    J’ai récemment croisé, entre autres, Henri Jean Servat... à une fête du livre de Nice : alors que je lui parlais de ses informées chroniques Dvds et films que j’aime tant, surtout par les découvertes de films et actrices …il s’est soudain interrompu pour s’affliger à mon grand dam, de la tenue d’une autre visiteuse du salon, « regardez, regardez, non mais c’est incroyable de porter ça ! » (la personne obèse avait des vêtements trop courts et de mauvaise taille).
    Eh bien, Charles Wright, soi-disant moins jetset et paillettes et superficiel que le sus nommé, tombe dans le même travers mais de manière juste plus intellectuelle, plus écrite et plus ‘high brow’, comme disent les Anglais.
  • En parlant de jetset, il est aussi un peu Brigitte Bardot en St François:
    J’aime beaucoup ses tentatives de communication avec les animaux « au seuil de la parole ».
    J’imagine son compagnon de voyage, moins fan du procédé, en lever les yeux au ciel.
    Mais dès que je commence à l’aimer, il me re-fouette de son culot ou de sa maladresse :
    _« Pour moi, l’Eglise n’est jamais aussi resplendissante que lorsqu’elle s’avance ainsi dans le dénuement des béatitudes. Celle qui racole, organise des shows à l’américaine, des congrès comme le Parti socialiste, floque des t shirts, agite des banderoles, et transforme le christianisme en marque de savon, me met mal à l’aise ».
    …et bien, moi, je ne suis pas si d’accord et trouve ça ingrat, maladroit et crachant un peu dans la soupe. Car après tout, il n'est pas publié par un petit éditeur Ardéchois, alors qu'il y en a des passionnés... mais il est publié par Flammarion. Et il n'est pas si absent des studios médiatiques de Paris (quand je repense à son propre plan marketing et tournée des plateaux télé et radio, on se demande qui est "le savon").
    Il dit qu'il vit "entre l'Ardèche et Paris": du dénuement au shows à l’américaine?
    Je connais des ex participants aux J.M.Js (journées mondiales de la jeunesse), aux pèlerinages et de jeunes brancardiers quasi laïc à des Pèlerinages à Lourdes...qui ne seraient pas d'accord avec lui. Car les t shirts, les drapeaux, les casquettes même, sont tout aussi bien qu’un livre chez Flammarion.
  • Au sujet de son reproche de "l’Eglise...qui racole, organise des shows à l’américaine, des congrès comme le Parti socialiste"...
    je note aussi au passage, en mini détail, qu’il ne choisit QUE de comparer à la gabegie des « congrès du Parti socialiste ». Dont je ne suis pas fan non plus, mais vu son niveau de culture et d’information, et l’actualité, l'auteur devrait savoir que ce sont factuellement les moins couteux du grand cirque politique, surtout comparés aux gabegies bien plus Tartuffe et gargantuesques de la clique Bygmalion et des shows eux à l’Américaine quo-ti-diens lors de la campagne du partie de Sarkozy/RPR, LR puis Fillon…etc.

etc. etc.


Pardon pour tous ces "détails" mais pour une fois que je lis un livre, j'ai tenté d'argumenter pourquoi des passages et infos passionnantes et justes, m'ont été gâchées par des expressions moqueuses.

En randonneur qui aime le pays et ses habitants, je conseille mieux le méconnue 'Marcher à cœur ouvert, de l'Auvergne vers Compostelle' d'une Claire Colette (d'aussi 2021).

Son amour à elle de la marche et de La France m'ont paru plus sincères et beaux. Et ancien.

Claire Colette, elle, tente de marcher chaque année depuis au moins 12 ans, ce n'est pas juste pour le dit de l'avoir fait une fois.

Et, elle, elle ne qualifie pas de "trou" certains lieux qu'elle traverse et elle ne se moque pas des tenues des Français qu'elle croise... https://www.senscritique.com/livre/marcher_a_coeur_ouvert_de_l_auvergne_vers_compostelle/critique/250936367

Créée

le 20 nov. 2022

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