Quelques mots pour vous le décrire : village perdu, nature, montagne, autarcie quasi-totale, xénophobie, secrets de village et surtout secrets de famille.
Des ravins envahis par les forêts, des villages de vieilles pierres accrochées au flan des montagnes au milieu des arbres, une rivière qui coule en contrebas, les rayons du soleil qui peinent à percer ce petit monde feutré et isolé. Honnêtement je m’y croyais. Je sentais presque l’odeur des pins et des ifs.
L’atmosphère de ce village et de ces forêts est extrêmement pesante. On a l’impression d’assister à un huis-clos, l'histoire du village nous captive. On veut découvrir les secrets du passé.
Un véritable page turner qui vous soufflera un air frais et pur emprunt de montagne et de forêts. Une fois que vous lisez une phrase du « Coeur des Louves », plus rien ne se passe autour de vous. Vous êtes plongés dans le récit, difficile d’en sortir.
Ma chronique complète