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livre de Gigi Riva
Résumé : Le destin de la Yougoslavie aurait-il changé, et son unité aurait-elle été préservée, si Faruk Hadzibegic avait marqué son pénalty décisif, en quarts de finale de la Coupe du monde de football contre l'Argentine de Maradona, le 30 juin 1990, à Florence ? C'est ce que le capitaine de son équipe, natif de Sarajevo, aurait tendance à penser, lui qui porte sur ses épaules l'inconsolable remords d'avoir vu son tir retenu par le gardien. Et c'est ce que tout le monde lui dit ou rappelle, lorsqu'il retourne au pays, lui qui s'est depuis longtemps établi en France. Mais les signes de fracture de l'ancienne fédération socialiste maintenue à flot par Tito étaient déjà nombreux, dix ans après la mort du dirigeant. Les virages des stades étaient chauffés à blanc par les slogans identitaires, et un match entre le Dynamo Zagreb et l'Etoile Rouge de Belgrade avait déjà mis le feu aux poudres. Croates et Serbes portaient le même maillot dans ce Mondial italien, mais pour la dernière fois. Bientôt, les supporters de football deviendraient les miliciens d'une guerre civile où les nationalismes s'affronteraient dans le sang et sous les bombardements.
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Le 19 janv. 2021
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Résumé : Le destin de la Yougoslavie aurait-il changé, et son unité aurait-elle été préservée, si Faruk Hadzibegic avait marqué son pénalty décisif, en quarts de finale de la Coupe du monde de football contre l'Argentine de Maradona, le 30 juin 1990, à Florence ? C'est ce que le capitaine de son équipe, natif de Sarajevo, aurait tendance à penser, lui qui porte sur ses épaules l'inconsolable remords d'avoir vu son tir retenu par le gardien. Et c'est ce que tout le monde lui dit ou rappelle, lorsqu'il retourne au pays, lui qui s'est depuis longtemps établi en France. Mais les signes de fracture de l'ancienne fédération socialiste maintenue à flot par Tito étaient déjà nombreux, dix ans après la mort du dirigeant. Les virages des stades étaient chauffés à blanc par les slogans identitaires, et un match entre le Dynamo Zagreb et l'Etoile Rouge de Belgrade avait déjà mis le feu aux poudres. Croates et Serbes portaient le même maillot dans ce Mondial italien, mais pour la dernière fois. Bientôt, les supporters de football deviendraient les miliciens d'une guerre civile où les nationalismes s'affronteraient dans le sang et sous les bombardements.
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Résumé : Le destin de la Yougoslavie aurait-il changé, et son unité aurait-elle été préservée, si Faruk Hadzibegic avait marqué son pénalty décisif, en quarts de finale de la Coupe du monde de football contre l'Argentine de Maradona, le 30 juin 1990, à Florence ? C'est ce que le capitaine de son équipe, natif de Sarajevo, aurait tendance à penser, lui qui porte sur ses épaules l'inconsolable remords d'avoir vu son tir retenu par le gardien. Et c'est ce que tout le monde lui dit ou rappelle, lorsqu'il retourne au pays, lui qui s'est depuis longtemps établi en France. Mais les signes de fracture de l'ancienne fédération socialiste maintenue à flot par Tito étaient déjà nombreux, dix ans après la mort du dirigeant. Les virages des stades étaient chauffés à blanc par les slogans identitaires, et un match entre le Dynamo Zagreb et l'Etoile Rouge de Belgrade avait déjà mis le feu aux poudres. Croates et Serbes portaient le même maillot dans ce Mondial italien, mais pour la dernière fois. Bientôt, les supporters de football deviendraient les miliciens d'une guerre civile où les nationalismes s'affronteraient dans le sang et sous les bombardements.
Et j'ai souvenir d'avoir tout de même admiré l'agilité d'un gardien de but yougoslave surnommé "le chat" (d'une des célèbres équipes, mais alors ne me demandez pas son nom). Disons que pour moi, le foot ne peut pas être ignoré, quoi qu'on en pense ;-)
Le 12 sept. 2019
@Donatien92600 @Thekla C'est un sport très populaire qui exalte les sentiments, les passions; et fédère, oui. Cocktail enivrant qui peut très rapidement devenir semblable, et devient souvent semblable à celui de l'eau (flots de sentiments exaltés) avec le césium (individus fédérés faisant bloc, tête dur), provoquant l'explosion ou jovial, festive; ou menaçante, agressive. (Oui parc'qu'en plus la consommation de boissons alcoolisées n'est jamais loin.)
Le 12 sept. 2019
En fait, c'est comme l'alcool : pour le meilleur ça peut rendre béat et hyperémotif; et pour le pire ça rend con et agressif. Donc à mon avis, globalement, ça a bel et bien ses vertus et ses vices s'induisant les unes les autres.
Le 12 sept. 2019
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Résumé : Le destin de la Yougoslavie aurait-il changé, et son unité aurait-elle été préservée, si Faruk Hadzibegic avait marqué son pénalty décisif, en quarts de finale de la Coupe du monde de football contre l'Argentine de Maradona, le 30 juin 1990, à Florence ? C'est ce que le capitaine de son équipe, natif de Sarajevo, aurait tendance à penser, lui qui porte sur ses épaules l'inconsolable remords d'avoir vu son tir retenu par le gardien. Et c'est ce que tout le monde lui dit ou rappelle, lorsqu'il retourne au pays, lui qui s'est depuis longtemps établi en France. Mais les signes de fracture de l'ancienne fédération socialiste maintenue à flot par Tito étaient déjà nombreux, dix ans après la mort du dirigeant. Les virages des stades étaient chauffés à blanc par les slogans identitaires, et un match entre le Dynamo Zagreb et l'Etoile Rouge de Belgrade avait déjà mis le feu aux poudres. Croates et Serbes portaient le même maillot dans ce Mondial italien, mais pour la dernière fois. Bientôt, les supporters de football deviendraient les miliciens d'une guerre civile où les nationalismes s'affronteraient dans le sang et sous les bombardements.
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Résumé : Le destin de la Yougoslavie aurait-il changé, et son unité aurait-elle été préservée, si Faruk Hadzibegic avait marqué son pénalty décisif, en quarts de finale de la Coupe du monde de football contre l'Argentine de Maradona, le 30 juin 1990, à Florence ? C'est ce que le capitaine de son équipe, natif de Sarajevo, aurait tendance à penser, lui qui porte sur ses épaules l'inconsolable remords d'avoir vu son tir retenu par le gardien. Et c'est ce que tout le monde lui dit ou rappelle, lorsqu'il retourne au pays, lui qui s'est depuis longtemps établi en France. Mais les signes de fracture de l'ancienne fédération socialiste maintenue à flot par Tito étaient déjà nombreux, dix ans après la mort du dirigeant. Les virages des stades étaient chauffés à blanc par les slogans identitaires, et un match entre le Dynamo Zagreb et l'Etoile Rouge de Belgrade avait déjà mis le feu aux poudres. Croates et Serbes portaient le même maillot dans ce Mondial italien, mais pour la dernière fois. Bientôt, les supporters de football deviendraient les miliciens d'une guerre civile où les nationalismes s'affronteraient dans le sang et sous les bombardements.
À lire jusqu'au bout pour pouvoir rigoler un bon coup devant la note de la traductrice : "Je remercie Jean-Michel Segonds pour ses précieuses indications sur la pratique et le vocabulaire du football" : j'ai vu des formulations absolument désastreuses
Le 17 août 2018
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Résumé : Le destin de la Yougoslavie aurait-il changé, et son unité aurait-elle été préservée, si Faruk Hadzibegic avait marqué son pénalty décisif, en quarts de finale de la Coupe du monde de football contre l'Argentine de Maradona, le 30 juin 1990, à Florence ? C'est ce que le capitaine de son équipe, natif de Sarajevo, aurait tendance à penser, lui qui porte sur ses épaules l'inconsolable remords d'avoir vu son tir retenu par le gardien. Et c'est ce que tout le monde lui dit ou rappelle, lorsqu'il retourne au pays, lui qui s'est depuis longtemps établi en France. Mais les signes de fracture de l'ancienne fédération socialiste maintenue à flot par Tito étaient déjà nombreux, dix ans après la mort du dirigeant. Les virages des stades étaient chauffés à blanc par les slogans identitaires, et un match entre le Dynamo Zagreb et l'Etoile Rouge de Belgrade avait déjà mis le feu aux poudres. Croates et Serbes portaient le même maillot dans ce Mondial italien, mais pour la dernière fois. Bientôt, les supporters de football deviendraient les miliciens d'une guerre civile où les nationalismes s'affronteraient dans le sang et sous les bombardements.