Le livre blanc de l'armée francaise en Algérie
Fiche technique
Auteur :
CollectifGenre : Culture & sociétéDate de publication (pays d'origine) : Langue d'origine : FrançaisParution France : 1 décembre 2001Éditeur :
ContretempsISBN : 9782911792236Résumé : Quarante ans après la fin de la guerre d'Algérie, l'armée française est aujourd'hui mise en accusation. Lancée par le parti communiste, soutenue par les anciens porteurs de valises, les professionnels de la repentance et leurs relais, une campagne de presse d'une violence inouïe vise à mettre au pilori ceux qui ont dû, dans des circonstances dramatiques, assumer la responsabilité du rétablissement de l'ordre face au terrorisme. A cette nouvelle offensive contre l'honneur de l'armée française, il n'est qu'une réponse, celle de la Vérité. C'est elle qu'ont cherché à retracer, dans sa complexité, les historiens, les journalistes et les témoins de l'époque qui se sont associés, à l'initiative d'un groupe d'officiers de réserve, pour réaliser ce " Livre Blanc de l'armée française en Algérie ". Il ne masque rien des cruautés de l'époque, et des nécessités d'une guerre contre un ennemi sans visage. Il s'est efforcé de s'en tenir aux faits, en les éclairant par les circonstances, dans le contexte politique et militaire créé par la guerre révolutionnaire conduite par le FLN. En le lisant, on en revivra les principales étapes, on se remémorera quelques vérités occultées (sur les crimes de l'ennemi, les épurations à l'intérieur du FLN, ou l'affreux massacre des harkis après l'indépendance de l'Algérie), on mesurera l'ampleur des cas de conscience qu'eurent à affronter soldats et officiers. On comprendra surtout que l'armée française n'a en lien à rougir de la façon dont elle mena une guerre qu'elle n'avait ni voulue ni choisie et où elle donna, dans le sang et les larmes, le meilleur d'elle-même. Ce livre voudrait donner à tous ceux qui ont été blessés par l'injustice des calomnies répandues sur elle un instrument de combat. Il s'adresse aussi aux nouvelles générations. Pour qu'il ne soit pas dit que la désinformation a eu le dernier mot.