Carl Norac et Emmanuelle Eeckhout associent leur talent pour mettre en scène une tradition que les femmes de mineurs et d’ouvriers en Belgique respectaient chaque soir. Avant le coucher, elles racontaient à leurs enfants une histoire dans l’obscurité totale. Ce moment se nommait le Noir quart d’heure.
Ils mettent en scène dans ces pages, une petite fille et sa maman qui se racontent tour à tour des petites histoires durant ce noir quart d’heure. En attendant le retour du papa travaillant à la mine. L’obscurité fait place à l’imagination. Avec une jolie mise en abîme, des histoires dans l’histoire, on découvre des petits contes plein de poésie et jouant toujours avec cette idée d’obscurité.
LIRE LA SUITE SUR MON SITE