L'actualité sur Le Rituel du serpent

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Kurt-Kotsco

a attribué 9/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

Noumfé

a attribué 8/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

188Z

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Maria-H

a attribué 8/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

emile_wld

a attribué 7/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

LOG_IN

a attribué 8/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

Vishnou

a attribué 8/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

CORPS-ANTI

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Tempsperdu

a attribué 10/10 au livre

Le Rituel du serpent

livre de Aby Warburg

Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.

15h28

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Le Rituel du serpent

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Résumé : Il se pourrait que Le Rituel du serpent soit la meilleure introduction à l'œuvre profonde et singulière d'Aby Warburg (1866-1929), le chemin le plus direct pour atteindre le cœur de sa pensée. Entreprise à 29 ans, son équipée chez les Hopis nous apparaît comme l'expression spatialisée d'un désir incoercible d'échapper aux confinements, aux conditionnements de son milieu et de sa discipline académique : " J'étais sincèrement dégoûté de l'histoire de l'art esthétisante. " Pour ce spécialiste déjà réputé du Quattrocento, attentif à la grande voix impérieuse de Nietzsche, " la contemplation formelle de l'image " ne pouvait engendrer que " des bavardages stériles ". Warburg passera cinq mois en Amérique. Il observe, dessine, photographie les rituels indiens. Rentré à Hambourg, il organise trois projections dans des photo-clubs. Puis plus rien. Silence. Il reprend sa vie de chercheur, publie des essais qui feront date : " Art italien et astrologie... " (1912), " La divination païenne et antique dans les écrits et les images à l'époque de Luther " (1920), etc. L'épisode indien est oublié, refoulé. Mais voici qu'en 1923, vingt-sept ans après son enquête chez les Hopis, Warburg, interné dans la clinique psychiatrique de Ludwig Binswanger, à Kreuzlingen, pour de graves troubles mentaux accentués par la guerre, demande avec insistance à prononcer une conférence. Alors ressurgissent devant soignants et malades tous les détail du voyage américain : danses, sanctuaires, parures, gestes, habitats, dessins, rencontres ; mais aussi la chaîne d'associations qui, sur le thème ambivalent du serpent - cruel avec Laocoon, bénéfique avec Asclépios, séducteur et mortifère avec les nymphes serpentines de Botticelli ou de Ghirlandaio - n'a cessé d'entraîner Warburg d'une Antiquité millénaire jusqu'aux pratiques cérémonielles des " primitifs " (et vice et versa). Du même coup deviennent inséparables dans sa bouche la part de l'œuvre et la part du rite, la part de " l'énergie naturelle " et la part de " l'intelligence organisée ", la part de l'art et la part de l'anthropologie.